Discussion:Formation et évolution du Système solaire

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Autres discussions [liste]

refonte ?[modifier le code]

J'envisage de reprendre en profondeur l'article sur la base de la version anglaise, qui est AdQ. Quand je dis "reprendre", j'envisage une traduction "complète", même si elle doit altérer le plan de la version actuelle. Mais je voudrais d'abord m'assurer que les précédents contributeurs n'y voient pas d'objections ? Si quelqu'un suit l'article, merci de se signaler ici. Nous pourrons peut-être travailler de concert ? Je pense aussi apporter mes modifications, directement sur l'article d'origine, qui sera donc "en travaux" pendant un certain temps. pas trop longtemps j'espère, mais la version anglophone fait quand même 18 pages pdf soit 89Ko de wiki (la version francophone fait pour l'instant 3 pages/10ko). Un fois débutée, la traduction me prendra probablement plusieurs semaines, seul. Sans compter (l'important) travail de relecture et celui de refonte graphique qui risque d'être nécessaire... Ce sera donc un travail de longue haleine. PST (d) 10 mars 2010 à 10:41 (CET)[répondre]

refonte ![modifier le code]

A priori le plan sera le suivant, je reporte mes débuts de traductions de chaque sections en indiquant les ajouts successifs, merci à d'éventuels autres contributeurs d'en faire autant :

PST (d) 11 mars 2010 à 09:14 (CET)[répondre]

Traduction terminée. Il ne s'agit que d'un premier jet. Il serait bon que le texte soit relu et reformulé autant que nécessaire. J'ai l'intention de présenter cet article au label "Bon article" prochainement.

Bon terme ?[modifier le code]

Bonjour,

Est-ce bien « ligne de gèle » ?

Cantons-de-l'Est 21 mars 2010 à 10:59 (CET)[répondre]

Oui, il s'agit de "ligne de glace" ou de "ligne de gèle". Mais l'idée est assez simple, il s'agit d'une ligne (d'un cercle en fait) audelà duquel le rayonnement solaire n'est plus assez dense pour sublimer l'eau présente dans le disque d'accrétion. Il s'agit d'un traduction relativement "collée" à l'anglais, je n'ai pas trouvé de texte francophone se référents à ce concept ou valider la traduction. Il faudrait que j'aille faire un tour à la Bibliothèque... PST (d) 21 mars 2010 à 13:27 (CET)[répondre]

Titre en gras ?[modifier le code]

Bonjour,

En ce qui concerne Wikipédia en français, il me semble que le texte introductif reprend toujours en gras les mots du titre de l'article.

Cantons-de-l'Est 21 mars 2010 à 11:12 (CET)[répondre]

Oui, en effet, j'ai reporté sur l'article. Merci pour tout le travail. PST (d) 21 mars 2010 à 13:22 (CET)[répondre]

Label BA ?[modifier le code]

J'ai l'intention de proposer cet article au label "Bon Article". Merci aux différents relecteurs, patient et compréhensif avec ma piètre orthographe. Tout commentaire, et toute contribution/suggestion visant à consolider l'article est la bienvenue. Pour information, l'atelier graphique ont déjà traduit les figurent qui le nécessitaient et ils ont accepté de faire réaliser une frise illustrant les différents épisodes le histoire du système solaire. Cette frise (en cours de réalisation) devrait encore amélioré la qualité d'illustration de l'article. PST (d) 21 mars 2010 à 21:03 (CET)[répondre]

C'est du bon travail. Les concepts sont exprimés avec suffisamment de précision pour faciliter le travail de relecture. Cantons-de-l'Est 22 mars 2010 à 01:22 (CET)[répondre]
Merci. Il y a encore du travail néamoins. Émoticône PST (d) 24 mars 2010 à 00:06 (CET)[répondre]
J'ai toiletté l'article. Il y a quelques sections qui me semblent longues, mais je ne suis pas l'expert ;-). L'article est BA en l'état. Cantons-de-l'Est 26 mars 2010 à 03:26 (CET)[répondre]

Erreur ?[modifier le code]

Je lis « Dans 50 milliards d'années, si elles survivent à l'expansion du Soleil ». Voulait-on écrire « Dans 50 5 milliards d'années, si elles survivent à l'expansion du Soleil » ?

Cantons-de-l'Est 23 mars 2010 à 20:10 (CET)[répondre]

Non, je comprends bien que ce chiffre semble bien élevé, mais il ne s'agit pas d'une erreur. Il s'agit simplement du temps qu'il faudra(it) à la lune et à la terre pour être en résonance complète. Ceci étant dis, les évènements bien plus violents qui sont sensés avoir lieu d'ici là. Je pense principalement à l'explosion en géante rouge du soleil vers 12 Milliards d'années. Même si le hasard voulait que notre belle planète ne soit pas complètement engloutie par la géante, le couplage terre-lune en sera forcément perturbé. Une note de bas de page serait peut-être utile ? A méditer. PST (d) 24 mars 2010 à 00:04 (CET)[répondre]

Faute d'othographe ?[modifier le code]

Dans 2 des frises chronologiques ( EvolutionSystèmeSolaire-fragment5.png et EvolutionSystèmeSolaire.png ) je crois détecter une faute d'orthographe; ne faut-t-il pas écrire "Les formes de marées brisENT Triton" plutôt que "briseS" ? Kambei

Grand Tack[modifier le code]

J'ai lu cette théorie sur Jupiter qui serait venu faire une incursion plus près du soleil, théorie nommée Grand Tack par ses auteurs. http://www.cieletespace.fr/node/7330 Je laisse une personne compétente placer ça correctement dans l'article... — Boism 16 juin 2011 à 02:48 (CEST)[répondre]

La publication scientifique qui est rapportée dans ce lien est accessible au DOI doi:10.1038/nature10201. Je finirais sans doute par intégrer cette source dans l'article Formation et évolution du système solaire, mais pas dans l'immédiat. Donc, si quelqu'un trouve l'inspiration d'ici là, qu'il ne se censure pas! Je laisse la référence wiki ci-dessous pour copié-collé.
  • (en) Kevin J. Walsh, Alessandro Morbidelli1, Sean N. Raymond, David P. O’Brien et Avi M. Mandell, « A low mass for Mars from Jupiter’s early gas-driven migration », Nature, Nature Publishing Group, a division of Macmillan Publishers Limited,‎ (DOI doi:10.1038/nature10201)
@++ PST (d) 16 juin 2011 à 15:49 (CEST)[répondre]

Historique des hypothèses[modifier le code]

Tout le passage qui suit (précédé du titre historique des hypothèses) a été ajouté en juillet 2013, sans grand souci de mise en forme alors que l'article était labellisé. Il comprend à la fin un grand pavé sur une théorie considérée comme totalement farfelue (Van Flandern). Il y a néanmoins de la matière dans les autres paragraphes éventuellement réutilisable dans cet article labellisé pour un contributeur qui disposerait du recul nécessaire (ce n'est pas mon cas). Pline (discuter) 8 janvier 2014 à 23:56 (CET)[répondre]


  • Descartes, 1664, Le Monde ou Traité de lumière: l'univers était rempli de vortex de particules tourbillonnantes et le Soleil et les planètes avait condensés d'un particulièrement grand tourbillon qui avait d'une façon quelquonque contracté ce qui expliquerait le mouvement circulaire des planètes. Il était sur la bonne voie avec la condensation et la contraction, mais c'était avant la théorie de la gravité de Newton et nous savons maintenant que la matière ne se comporte pas de cette façon.
  • nébuleuse solaire: Emanuel Swedenborg, en 1734, dans son Philosophical and Mineralogical Works, Vol. 1. (Principia) après la découverte des "étoiles embrouillis," appelées aussi nébuleuses, donne naissance à l'idée de nébuleuse solaire. Immanuel Kant, en 1755, emboite le pas, dans son Allgemeine Naturgeschichte und Theorie des Himmels ("histoire naturelle général et théorie des cieux"). Pierre Simon, marquis de Laplace, 1796, Exposition du systéme du monde, fournit un cadre détaillé.
  • Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon, 1745, De la formation des planètes, première théorie dualiste (un 2me corps, cette fois-ci une comète, entre dans le portrait)
  • Edouard Roche, 1854[1], modifie l'hypothèse laplacienne avec une condensation centrale et une configuration initiale
  • Thomas Chamberlin et Forest Moulton, 1904, théorie des planétisimaux
  • T.J.J. See, 1910, "Researches on the Evolution of the Stellar Systems: v. 2. The capture theory of cosmical evolution", les planètes se forment en dehors du système solaire et sont capturées par le Soleil.
  • Svante Arrhenius, 1913[2], collision de front entre le soleil et une étoile passante, menant à une étoile et un filament gazeux.
  • Jeans (en 1928)[3] reprend l'idée du filament et montre que les "gouttelettes" formeraient donné une densité de filament favorable et a suggéré que le filament se développe en raison des effets de marée d'une étoile passante entraînant une instabilité de rotation dans le Soleil. Le filament pourrait être en forme de cigare de sorte que les planètes plus massives se formeraient dans le centre.
  • Jeffreys, en 1929[4], est retourné à l'idée d'une collision, mais seulement d'un frottement minine et à partir de laquelle un filament se forme entre les 2 étoiles qui finirait par se détacher et, en raison de l'instabilité, s'effondrerait en «gouttelettes» qu'un certain nombre est resté capturé par le Soleil et a condensé en planètes. Il a montré que ce processus serait de produire des masses en concordance approximatives avec les masses planétaires observées.
  • Le travail de Henry Russell en 1935[5] a montré que si la matière solaire avait été arrachée du soleil avec la force nécessaire pour tenir compte du moment angulaire de Jupiter, le matériel aurait continué en dehors du système solaire entièrement.
  • Lyman Spitzer, en 1939[6], a démontré que si du matériel suffisamment devait être tirée du Soleil pour former les planètes, il aurait dû avoir son origine dans le Soleil, où la température serait de l'ordre de plusieurs millions de degrés. De toute évidence, avec des températures aussi élevées que cà, aucune quantité de modification de la masse ou du rayon en utilisant cette thèse pourrait maintenir la plausibilité du processus de fragmentation sous les présupposés d'interaction actuels. Il a également montré qu'une colonne de matériel tirée du soleil se dissiperait plutôt que de se condenser. Une autre objection importante aux planètes formant de la matière solaire super-chaude, vient de la répartition du lithium, béryllium, et bore, des éléments légers. Tous ces éléments sont rares dans le Soleil, puisqu'ils sont consommés dans les réactions nucléaires, mais ils sont comparativement abondants dans la croûte terrestre.
  • Ray Lyttleton, 1937, 1940, 1941, une compagne du soleil est frappé par une étoile passante[7].
  • Hannes Alfven, lauréat Nobel, 1954[8], propose la structure des zones plasmiques ou on distingue un nuage A, qui contient l'hélium pour la plupart, mais avec de la "pluie météorique", et oû les impurités se condensent pour former Mars et la Lune (par après capturée par la Terre); un nuage B, contenant l' hydrogène pour la plupart, oû les impurités forment Mercure, Vénus, et la Terre; un nuage C, contenant plutôt du carbone, oû les impurités forment les planètes extérieures; et un nuage D, comprenant principalement du silice et du fer, où les impurités forment Pluton et Triton.
  • Harold Urey, 1951, 1952, 1956 et 1966[9], qui a fondé la cosmochimie, repose en grande partie sur les météorites et en utilisant les équations de stabilité de Chandrasekhar a obtenu la distribution de densité dans le gaz et le disque de poussière entourant le Soleil primitif. Afin que les éléments volatils comme le mercure pourraient être conservés par les planètes telluriques il a postulé un gaz modérément épais et un halo de poussière protégeant les planètes du Soleil. Afin de former des diamants, les objets de taille lunaire, des sphères de gaz qui sont devenus gravitationnellement instable, auraient à se former dans le disque avec le gaz et la poussière se dissipant à un stade ultérieur. La pression est tombée sous forme de gaz a été perdu et les diamants ont été converties en graphite, pendant que le gaz était devenu illuminé par le soleil. Dans ces conditions une ionisation considérable serait présent et le gaz serait accéléré par des champs magnétiques, par conséquent, le moment angulaire pourrait être transféré à partir du Soleil. Il a postulé que ces corps de taille lunaire ont été détruits par les collisions avec le gaz se dissipant, laissant derrière des solides recueillis au noyau, avec les plus petits fragments résultants poussés loin dans l'espace et les fragments plus grands restant derrière pour se former en planètes par accrétion. Il a suggéré que la Lune était un tel noyau survivant.
  • Fred Whipple, 1948[10], un nuage de fumée d'environ 60 000 UA de diam. et avec 1 masse solaire se contracte et produit le Soleil. Il a un moment angulaire négligeable ce qui explique le trait semblable du Soleil. Ce nuage de fumée capte un petit nuage de fumée avec un grand moment angulaire. Le temps d'effondrement de la grande nébuleuse de fumée et gaz est d'environ 100 millions d'années, et le taux est lent au début, augmentant dans les étapes ultérieures. Les planètes se condensent à partir de petits nuages développés dans, ou capturé par, le 2ème nuage. Les orbites seraient presque circulaire parce que l'accrétion réduirait excentricité due à l'influence du milieu résistant, les orientations orbitales seraient semblables parce que le petit nuage était à l'origine petit et les mouvements seraient dans une direction commune. Les protoplanètes auraient chauffées à des degrés tellement élevés que les composés plus volatiles auraient été perdus et la vitesse orbitale diminue avec augmentation de la distance de sorte que les planètes terrestres auraient été plus touchés. Les faiblesses de cette idée sont que pratiquement tous les régularités finales sont introduites comme des suppositions a priori et la plupart de la hypothétisation n'était pas étayée par les calculs quantitatifs. Pour ces raisons, il n'a pas gagné une large acceptation.
  • Le Baron Karl Friedrich von Weizsäcker, 1944[11], rappelle la théorie cartésienne, un motif de turbulence induit par des tourbillons dans un disque nébuleux laplacien. Dirk Ter Haar, physicien théorique néerlandais, 1948, modifie le théorie de Weizsacker en rejetant les tourbillons réguliers et les remplaçant avec une turbulence aléatoire qui produit une nébuleuse très épaisse oû la l'instabilité gravitaionnelle advienerait.
  • Gerard Kuiper, 1944, la distribition de densité déterminerait ce qui pourrait se former: soit un système planétaire ou une compagne stellaire; la nébuleuse solaire pourrait être soit cogénétique avec le Soleil ou capturé par lui; les 2 types de planètes étaient assumées être dû à la limite de Roche.


  • L'astronome russe Otto Schmidt, en 1944[12], a proposé l'hypothèse de coaccrétion de la Terre et la Lune en 1959. Dans celle-ci le Soleil passe à travers un nuage de gaz et de poussière capturant une partie pour former la nébuleuse solaire avec des collisions le réduisant à un disque en forme de chignon. La masse et le moment angulaire de cette nébuleuse sont postulés plutôt que dérivées, ce dernier étant le cas pour la plupart des thèses dans cette catégorie. La différence de température explique la différence de composition. Il a expliqué la rotation coplanaire et par un postulat la masse et le moment angulaire sont également en accord avec les conditions requises. Des extensions de la théorie, qui forment ensemble l'école russe, comprennent Gurevich et Lebedinsky en 1950, Safronoff en 1967 et 1969, Safronoff et Vityazeff en 1985, Safronoff et Ruskol en 1994, et Ruskol en 1981, entre autres.
  • Ray Lyttleton modifia la théorie en montrant qu'un 3me corps n'était pas nécessaire et proposant un mécanisme d'accrétion linéaire décrit par Bondi et Hoyle en 1944 permettrait la matière du nuage à être capturé par l'étoile[13]
  • Dans l'hypothèse de Hoyle datant de 1944[14] la compagne du Soleil devient une nova avec le matériel éjecté capturé par le Soleil et les planètes formant à partir de ce matériel. Dans une version un an plus tard il s'agissait d'une supernova. En 1955, il a proposé un système similaire à Laplace, et avec des détails plus mathématiques en 1960. Elle diffère de Laplace en ce qu'un moment de torsion (la force qui applique la rotation) magnétique se produit entre le disque et le Soleil, qui entrera en vigueur immédiatement ou bien de plus en plus de la matière serait éjectée résultant en un système planétaire beaucoup trop massif, comparable à celui du Soleil. Le moment de torsion provoque un couplage magnétique et sert à transférer le moment angulaire du Soleil sur le disque. L'intensité du champ magnétique serait forcément 1 gauss. L'existence du moment de torsion dépend des lignes de force magnétiques étant gelés dans le disque (conséquence d'un théorème MHD (magnétohydrodynamique) bien connu sur les lignes de force figées). Comme la température de condensation solaire lorsque le disque a été éjecté ne pouvait pas être plus de 1000 degrés K., un certain nombre de réfractaires doivent être solides, probablement en fines particules de fumée, qui croîtrait avec de la condensation et de l'accrétion. Ces particules seraient balayés avec le disque seulement si leur diam. à l'orbite de la Terre était inférieure à 1 m. de sorte que le disque déplacé vers l'extérieur d'un disque subsidiare constituée uniquement de réfractaires reste derrière où les planètes terrestres se forment. Le modèle est en bon accord avec la masse et la composition des planètes et la distribution du moment angulaire à condition que le couplage magnétique est une idée acceptable. C'était Alfvén qui a formulé le concept de lignes de champ magnétique figées.
  • Edgeworth [15], qui était un des 3 qui ont découvert la ceinture de Kuiper, a démontré en 1946 que la condensation directe du Soleil et des planètes n'est pas possible, la même conclusion que Jeffreys. Mais il a également présenté une supposition, en 1949, dans lequel il y avait un disque en rotation comme dans l'idée de Laplace mais, comme il considérait que les champs magnétiques étaient trop spéculatives, il a proposé des forces visqueuses pour transférer le moment angulaire. Des tourbillons se formeraient dans le disque avec les collisions entre eux provoquant une augmentation de la taille moyenne. Il a calculé qu'il faudrait 100 000 années pour une masse de taille planétaire à se former à l'orbite de la Terre et 5 millions à l'orbite de Neptune. Dans une version de 1963 il y a une méthode de couplage essentiellement la même que Hoyle.
  • Louis Jacot, astronome suisse, 1962[16],[17]continue l'idée de base cartésienne mais en proposant une héirarchie de vortex ou des vortex en dedans des vortex, c'est-à-dire, des systèmes vortex lunaires, un vortex système solaire, et un vortex galactique. Il véhicule la notion que les orbites planétaires sont en spirales, non pas des cercles ou ellipses, en d'autres mots, que le système solaire est en expansion (les planètes s'éloignent du soleil), les systèmes lunaires sont en expansion (les lunes s'éloignent de leurs planètes), et que la galaxie est aussi en expansion (les étoiles s'éloignent du centre galactique). C'est un fait reconnu que les orbites des planètes sont en spirales mais l'explication acceptée est le déplacement gravitationnelle, non pas un vortex. Il maintenait aussi que les planètes sont expulsées du soleil des renflements équatoriaux causés par la rotation. Une s'est mis en lambeaux laissant la ceinture astéroide. Il y a 4 phases aux planètes : 1) pas de rotation et maintien du même côté au Soleil "comme le fait Mercure maintenant" (on sait depuis 1965 que ce n'est pas le cas), 2) très lent, 3) acceleré, et 4) rotation quotidienne. Les lunes, comme les planètes, sont originaires d'expulsions équatoriales, mais, de leur planètes, avec quelques unes s'émiettant laissant les anneaux des planètes géantes, et la Terre est supposée expulser eventuellement une autre lune. Il expliquait les différences entre les planètes intérieurs et extérieurs par le comportement des vortex.

Jacot était au moins partiellement correcte concernant les vortex. George Vatistas, un chercheur et professeur de génie mécanique à Concordia à Montréal, a découvert des formes géometriques dans les centres de vortex dans le laboratoire, et quelques galaxies ont des formes centrales similaires--carreaux ou triangles. Les galaxies spirales sont, en effet, des vortex. D'autres formes géometriques ont été trouvées dans des vortex dans la nature: un hexagon au Pole Sud de l'atmosphère de Saturne observé par Cassini et un pentagon dans l'Ouragan Isabel vu en 2003. (la télésérie scientifique Code Chastenay)

  • William McCrea, en 1960 et 1978[18], inclut la fission d'un nebuleux protoplanetaire et il n'y a pas de nebuleuse solaire. Des agglomérations de floccules (qui sont présumées composer une turbulence supersonique assumée d'exister dans le matériel interstellaire du quel les étoiles sont nées) formèrent le soleil et les protoplanètes, ce dernier se fendant pour former des planètes. Les 2 parties ne peuvent pas rester liées gravitationnellement l'une à l'autre, ont une ratio de masse d'au moins 8/ 1, et pour les planètes intérieures elles assume des orbites indépendents pendant que pour les planètes extérieures elles sortent du système solaire. Les protoplanètes intérieures seraient Venus-Mercury and Earth-Mars. Les lunes des planètes géantes formèrent à partir de "gouttelettes" dans le cou connectant les 2 parties de la protoplanète en train de se divisée et les gouttelettes pourraient expliquer quelques unes des asteroides. Les planètes telluriques n'auraient pas de lunes ce qui laisse la Lune inexpliquée. La thèse prédit certaines observations comme la vélocité angualire, période de rotation, et inclinaison axiales similaires de Mars et la Terre. Les six planètes principales sont: 2 telluriques, Vénus et la Terre, 2 majeurs, Jupiter et Saturne, et 2 extérieures, Uranus et Neptune, et 3 planètes mineures, Mercure, Mars et Pluton.
  • A. G. W. Cameron, astronome américain, en 1962 et 1963[19], le protosoleil a une masse d'environ 1-2 soleils avec un diam. de quelque 100 000 UA, est gravitationnellement instable, s'effondre et se brise en petites sous-unités. Le champ magnétique est de l'ordre de 1/100 000 gauss. Lors de l'effondrement des lignes de force magnétiques sont tordues. L'effondrement est rapide et se fait par la dissociation des molécules d'hydrogène, suivie par l'ionisation de l'hydrogène et la double ionisation d'hélium. Le moment cinétique conduit à l'instabilité de rotation qui produit un disque laplacien. A ce stade, la radiaton va enlever l'excès d'énergie et le disque sera assez frais dans une période relativement courte (environ 1 million d'années). Et la condensation en ce que Whipple appelle cométisimales a lieu. L'agrégation produit des planètes géantes qui produisent à leur tour des disques au cours de leur formation à partir de laquelle évoluent des systèmes lunaires. La formaton des planètes telluriques, les comètes, et les astéroïdes impliqua la désintégration, le chauffage, la fusion, la solidificaton, etc. Il a également formulé le l'hypothèse "Big Splat" ou l'Impacteur Géant pour l'origine de la Lune.
  • Michael Woolfson[20], physicien britannique, déteneur de 2 doctorats, 1960, avait proposé une étoile de 10 masses solaires se déplaçant à 100 km / sec s'approchant du Soleil formerait des renflements de marée dans le second à partir de laquelle Pluton et les planètes s'échapperaient chacune à son tour. Après les critiques de Briggs en 1960, il a proposé, en 1964, que l'étoile approchante serait une supergéante à partir de laquelle un filament est étiré en raison des effets de marée du Soleil. Ce filament se briserait en gouttelettes comme dans les thèses de Jeans et Jeffreys. L'argument ici est numérique, en choisissant les conditions initiales d'un système adéquat est obtenu avec la masse et du moment angulaire qui sont d'accord avec les valeurs observées. Les objections de Spitzer s'appliquent ici encore une fois.

Dormand et Woolfson en 1974 et 1977 et Woolfson (loc. cit) proposent une collision entre planètes. Comme dans les versions antérieures de Woolfson, un filament est jeté par une proto-étoile passante qui est capturé par le Soleil et les planètes se forment à partir de ceci. Il y avait 6 planètes originales, correspondant à 6 points-masses dans le filament, avec les planètes A et B, les 2 les plus intérieures, entre en collision, le premier à deux fois la masse de Neptune, est l'éjectée hors du système solaire, et le deuxième à 1/3 de la masse d'Uranus, se fend en 2 pour donner la Terre et Vénus. Mars et la Lune sont d'anciennes lunes de A. Mercure est soit un fragment de B ou une lune échappé de A. La collision a également produit la ceinture d'astéroïdes et les comètes.

  • Van Flandern, spécialiste en mécanique céleste, qui raffine la notion de fission solaire de Jacot, mais exclut les vortex, et rejoint Woolfson mais seulement en ce que Mars était jadis une lune[21],[22],[23], est fondé sur 3 principes de base principaux: la fission, les contraintes de marées (interactions gravitationnelles), et l'implausibilité de collisions à cause des espaces trop énormes entre les corps célestes (à l'exception de conditions spéciales (à la suite d'explosions lunaires)). Dans cette théorie le système solaire original avait 6 paires de planètes jumelles chacune scindés des renflements équatoriales d'un soleil à rotation super-rapide (ou les forces centrifuges extérieurs dépassent la force gravitationnelle vers l'intérieur) à des moments différents donnant des températures, tailles, et compositions différentes, ayant condensé par la suite avec le disque nébuleux se dissipant après quelque 100 millions d'années. Six planètes explosent. Quatre d'entre elles étaient fluide, instable, et dominé par hélium (planètes de classe hélium): V (Bellatrix) (V signifiant la 5ème planète dans la cofiguration actuelle), K (Krypton), T (signifiant transneptunien), et la Planète X (10ème dans la configuration traditionnelle). Dans ces cas, les lunes plus petite ont explosé en raison de contraintes de marée en laissant les 4 ceintures composantes des 2 zones principales de planétoïdes. La planète GBT-A, l'explosion de la quelle est postulé avoir été responsable du premier bombardement tardif (il y a environ 4 éons), a été jumelée avec Jupiter, et GBT-B, l'explosion de la quelle est postulé avoir été responsable du deuxième bombardement tardif, était jumelée avec Saturne. Chez les planètes GBT -A, Jupiter, GBT-B, et Saturne, étant des planètes gigantesques, le partenaire interne et plus petit (soit GBT-A et B) dans chaque paire fut soumis à d'énormes contraintes de marée les amenant à exploser. Les explosions ont eu lieu avant qu'ils ne soient en mesure de fissionner des lunes. Comme les 6 étaient fluides ils n'ont laissé aucune trace. Les planètes solides fissionnent une seul lune. Mars était une lune de Bellatrix et Mercure était une lune de Vénus mais a dérivé loin à cause de l'influence gravitationnelle du Soleil.

Un argument majeur contre l' explosion des planètes et des lunes, est qu'il n'y aurait pas une source d'énergie assez puissante pour provoquer de telles explosions, mais, comme l'explique Van Flandern, les réacteurs de fission nucléaire naturels dans les noyaux pourraient avoir la capacité de fournir cette énergie et le mécanisme d'explosion serait la suivante: lorsque des contraintes de marée atteignent un maximum de conditions internes et sont par ailleurs appropriées, ils peuvent agir comme déclencheur pour un effondrement soudain du noyau planétaire bloquant la circulation normale de la chaleur de la planète et mènant directement à une explosion. Les explosions de supernovas sont également causés par effondrement du noyau et l'explosion d'une nova est un processus thermonucléaire[24] Et planètes et lunes nécessitent moins d'énergie pour exploser parce qu'ils sont moins massives que les étoiles.

L'autre argument majeur est qu'il n'y a pas assez de masse dans la ceinture principale pour tenir compte de la catastrophe, mais, dans ce type d'explosion, la majorité de la masse serait vaporisée, et Van Flandern présente plus de 100 points de données en 11 lignes des preuves pour ces explosions. La HPE (hypothèse de la planète explosée) a été appuyé également par Olbers, qui l'a inventée, Lagrange, Opik, Daly, Brown et Patterson, Krinov, et Ovenden.

Il est le seul modèle qui explique le jumelage des planètes (et des lunes), mais explique aussi les orbites coplanaires et circulaires, la distribution du moment angulaire, les ceintures d'astéroïdes, et la petite taille et les anomalies orbitales de Mars et Mercure. La fission est également proposée comme explication possible pour la formation des étoiles binaires proches et des explosions pour la formation des galaxies et des amas de galaxies (astronomie, John Fix 2006, McGraw-Hill).

La théorie de Van Flandern est aucunement farfelue. Elle correspond bien avec Weidenschilling (1981): un corps en surrotation se déformerait premièrement en sphéroïde de Maclaurin (une figure avec un renflement équatorial), puis en ellipsoïde de Jacobi (figure allongée, ovale), et finalement en un corps qui se fend en deux parties. Aussi, elle correspond bien avec le fait que les Jupiter chaudes très proches de leur soleil, comme elles émergent de l'étoile donc sont proches dans une première étape et par après d'autres planètes émergent de l'étoile et poussent les orbites des Jupiter chaudes plus loins. La migration des planètes, proposée ironiquement par Weidenschilling comme explication, est pas plausible parce que ça impliquerait trop de temps. Et la fission binaire a été proposé pour les étoiles binaires. Aussi, on voit des planètes jumelées dans d'autres systèmes solaires.

En plus, toutes les objections contre la gravité Le Sage ont été plausiblement ripostées, on pourrait dire réfutées, incluant celle de l'excès de chaleur (par Slabinski, Pushing Gravity, 2002) et celle de la vitesse luminale (il y a plusieurs articles rapportant la découverte de la propagation superluminale de la gravité, incluant l'expérience Walker-Dual--Propagation Speed of Longitudinally Oscillating Gravitational and Electrical Fields, 1997--voyez Van Flandern, 1999, Pushing Gravity, 2002). A part de ça, il y a des expériences qui ont corroborées la gravité Le Sage (par Quirino Majorana en 1919 et 1930, Liakhovets en 1986, et Podkletnov and Niemenin en 1992, voyez Pushing Gravity, 2002).

En plus, la vitesse superlumniale a été confirmée par les expériences de Georges Sagnac en 1913, Dayton Miller dans les années '20, Chappell en 1965, Silvertooth en 1987 et 1989, Maurice Allais en 1997, et Ruyong Wang en 2002. Et la rotation de l'electron a été trouvée être superluminale par Goudsmit et Uhlenbeck, ce qui ne va pas à l'encontre de la théorie quantique, comme le précisait George Gamow dans son livre de 1966, Thirty Years That Shook Physics: the Story of Quantum Theory. Il est a noter que le graviton classique (de Van Flandern) et le graviton quantique sont similaires dans les sens qu'ils sont tout deux sans masse et des particules qui transmettent une force, comme le photon d'ailleurs.--Capt. Ciel (discuter) 20 mars 2017 à 20:50 (CET)[répondre]

Références[modifier le code]

  1. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  2. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  3. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  4. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
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  6. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62.ads.abs.harvard.edu/abs
  7. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  8. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  9. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
  10. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
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  16. Éléments de physique évolutive, Editions du Scorpion.
  17. Jacot, L. 1981. Science et Bon Sens. Imprimerie Centrale, Neuchâtel, Suisse.
  18. Williams, I.O., Cremin, A.W. 1968. A survey of theories relating to the origin of the solar system. Qtly. Rev. RAS 9: 40-62. ads.abs.harvard.edu/abs
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  20. Woolfson, M.M. 1978. The evolution of the solar system pp. 199-217. In: S.F. Dermot Ed . Origin of the Solar System. Wiley, New York.
  21. Van Flandern, T. 1999. Dark Matter, Missing Planets, and New Comets, pp. N. Atlantic.
  22. Van Flandern, T. 2008. Our Original Solar System-a 21st Century Perspective. MetaRes. Bull. 17: 2-26.
  23. métarecherche (http://www.metaresearch.org/
  24. Fix, John. 2006. Astronomy, 4th ed. McGraw-Hill.

Erreur ?[modifier le code]

N'y aurait-il pas une erreur dans la frise chronologique intitulé " EvolutionSystèmeSolaire-fragment5 " dans le chapitre " Futur "

Sur la dernière image de cette frise, l'auteur parle de " retour de l'eau a l'état liquide sur Mars " avec une photo de notre belle Terre et en plus, sur l'image précédente il mentionne " l'eau a l'état liquide n’existe plus sur Terre "

Il n'y a que moi que sa turlupine ? --2A01:E35:8BB3:6200:F523:D961:E9EA:2527 17 août 2014 à 22:04

C’est correct. Le soleil se transformant en géante rouge, il vaporise toute l’eau sur Terre, et rends Mars, qui entre en zone habitable, semblable à la Terre. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 18 août 2014 à 23:53 (CEST)[répondre]

Réorganisation de la section "Les systèmes anneaux-lunes"[modifier le code]

La trame de cette section me semble faire des allers-retours entre les points qu'elle détaille. Je vais essayer d'éclaircir le tout. En attendant, bandeau apposé. --Vega (discuter) 29 novembre 2017 à 23:49 (CET)[répondre]

Bonjour Émoticône Notification Vega : le bandeau est posé depuis près de 3 ans. As tu fais les éclaircissements que tu proposais de faire ? Ender~frwiki (discuter) 10 octobre 2020 à 02:12 (CEST)[répondre]