Discussion:Félix Dupanloup

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[Il me semble que le paragraphe ci-dessous a plutôt sa place dans la page de discussion]

(1) « Saint-Félix (Savoie) » selon sa notice biographique sur le site de l'Académie française, ou « Saint-Félix, près de Chambéry » selon le Grand Larousse encyclopédique en 10 volumes. Faute de source plus probante, il est conseillé de ne pas placer de lien vers la commune. Faute de source pertinente, il serait intéressant :

  • de trouver une ressource fiable sur les communes supprimées avant 1943 (date de la codification INSEE),
  • sinon d'interroger une des associations généalogiques savoisiennes pour chercher à savoir s'il n'existerait pas, aux environs de Chambéry, une commune de ce nom supprimée au XIXe siècle (donc non mentionnée dans le Code officiel géographique de l'INSEE).
Un peu de google permet de trouver l'existence d'un Saint Félix en Haute-Savoie, à approximativement 30km de Chambéry d'après Michelin. De plus certains sites font bien naître Dupanloup dans le 74 ([1] par exemple). Je pense qu'on peut placer un lien. Par contre, pour trouver où est le château de Lacombe, ça a l'air plus coriace...Virgile 4 mar 2004 à 21:35 (CET)

Les origines de Mgr Dupanloup[modifier le code]

Le 13 octobre 2007, une I.P. a introduit un changement étrange, peu clair et non sourcé. Ce n'est vraisemblablement pas un vandalisme car je relève dans La Savoie de Christian Sorrel, p. 177 (Beauchesne, 2003) :

La protection de Mgr de Quélen et les amitiés aristocratiques du faubourg Saint-Germain ont nourri les légendes les plus folles sur ses origines. Il est en fait le fils d'un ouvrier tailleur d'Annecy, Jean-François Dupanloup (1766-1821), ou – si l'on suit la récente et hypothétique reconstruction de P. Dupenloup – de son frère Joseph (1760-1807), officier de l'année impériale, qui aurait convaincu Jean-François d'endosser la paternité. Quoi qu'il en soit, sa mère, Anne Dechosal (1779-1849). le déclare à l'état civil comme fils de J.-F. Dupanloup, qui récuse la paternité dans un acte sur papier timbré le 14 pluviôse an X.

Jean Marie Mayeur et al. écrivent de leur côté dans Les Immortels du Sénat 1875-1918 : les cent seize inamovibles de la Troisième, p. 329 (Beauchesne, 2003) :

Il est déclaré comme l'enfant d'une paysanne, Anne Dechosal et de l'ouvrier tailleur Jean-François Dupanloup. Celui-ci écrivit par la suite en marge de l'acte de baptême qu'il ne reconnaissait pas cette paternité. En fait, l'enfant était d'origine aristocratique. La protection de sa famille s'exerça sur celui-ci qui vint à Paris avec sa mère en 1809.

Je n'ai rien trouvé en dehors de ces deux sources. Je corrige comme je peux mais, si quelqu'un pouvait chercher en bibliothèque, il ferait œuvre utile. Merci d'avance. Gustave G. (d) 22 janvier 2012 à 14:02 (CET)[répondre]