Discussion:Effet Pygmalion

Propositions de discussions

Pourquoi parle-t-on de surdoué? Nous avons tous des prédispositions EXTRA ordinaires qui sont neutralisées dès la naissance. L'évolution de la sensibilité aux stimuli en témoigne. Pourquoi n'en serait-il pas de même avec "l'intelligence" ou "la connaissance"?

Ainsi, pourquoi "sur"-doué (pourquoi ce sous-titre dans wikipédia, n'y en a-t-il pas un autre plus convenable? Avis à l'auteur): pourquoi serait-on plus doué qu'un autre? Parce qu'on serait moins normé? Cela signifierait que des signes aient été remarqués. Qui remarquera ces signes? Qui décidera du fait que ce soit déviance (voire folie) ou extraordinaire facultés? La déviance est-elle simplement ce qui est désutile à la société et la capacité de surdoué ce qui peut lui être utile? Je me pose la question suite à la lecture d'un article de courrier international (septembre) sur Daniel Tammer, un autiste "intelligent". Ils vantent (vendent) cette personne comme un prodige, une découverte scientifique... parce qu'on peut le comprendre. Alors il est utile. Alors il a raison d'être. Alors il peut faire de l'argent, etc. D'ordinaire, le monde est inepte avec ses inaptes.

Et si ce terme avait un sens, comment savoir qu'on aurait été surdoué? Et que faire de mon cas? Une psychothérapie? Parce que si ça continue, je pourrai commencer plein de choses, et ne jamais les terminer. Il y a une nature artistique derrière cette attitude... mais même les artistes finissent pas finir, au moins par étape, avec un tableau, un concert...

publicité personnelle

Dans quelle mesure la référence à "Alain Streck" et l'argumentaire qui va avec constitue-t-elle autre chose que de la publicité ? Qui à part l'auteur peut avoir fait cette référence ? Sanders (d) 28 janvier 2008 à 18:15 (CET)

Bonjour. Ayant été informé de votre commentaire, je viens apaiser vos craintes quant au sérieux de l'ouvrage et de son auteur, puisque je réalise des conférences sur ce thème en collaboration avec le Dr SERVANT, psychiatre, responsable de l'unité Troubles du Stress et de l'Anxiété au CHRU de Lille et auteur de nombreux ouvrages parus chez Odile Jacob. Sans vouloir vous offenser, il semblerait juste de lire l'ouvrage, avant d'incriminer les motivations de son auteur. Alain STRECK

Bonjour, il n'est pas du tout question du sérieux de l'ouvrage et de son auteur mais de la pertinence de le faire figurer sur cette page et sous quelle forme. L'ouvrage pourrait figurer dans une section Bibliographie à condition qu'il soit important parmis les ouvrages sur le sujet mais pas si il ne fait qu'évoquer l'effet Pygmalion. Si l'auteur est une référence dans le domaine, on peut s'en servir comme référence pour l'article (voir WP:ABS). Pour l'instant je retire cette phrase au ton promotionnelle qui ne parle que d'évoquer le sujet. –Akeron (d) 24 février 2008 à 15:08 (CET)

Fin de l'article peu satisfaisante

Je considère qu'un tel article est extrêmement important car il est lié à des enjeux majeurs dans le domaine de l'éducation. C'est pourquoi les deux dernières phrases "Ces résultats sont à nuancer. On voit qu’après la deuxième année, les élèves plus jeunes perdent ce résultat alors que les élèves plus âgés le conservent." me paraissent insatisfaisantes.

En effet, rien n'est dit sur le contexte de la deuxième année, notamment sur les enseignants concernés - sont-ils les mêmes qu'au début de l'expérience ? D'autre part, pourquoi cette différence entre les élèves en lien avec leur âge ?

Je remercie l'auteur, ou d'autres contributeurs disposant des informations pertinentes, de compléter cet article par ailleurs fort intéressant.

Suite : fin de l'article

Je suis d'accord concernant la fin de l'article. "Les résultats sont à nuancer" : d'accord, mais en quoi ? Quelles sont les données réelles obtenues par Rosenthal ? En fait, le vrai problème vient, je crois, du manque de littérature concernant cet effet Pygmalion... Il faut dire que d'autres données ont été à la mode ces dernières années (notamment les études de Bandura). Il y a néanmoins un article qui a l'air assez complet ici : http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/38/88/39/PDF/Trouil_Sar_RFP_2003.pdf

J'invite quiconque a le courage de compléter l'article Wikipédia à lire cet article. Par rapport à la nuance, une petite citation de l'article quand même (cf. à la conclusion) :

"Si l’effet Pygmalion n’a qu’un poids moyen relativement modeste, il semble approprié de le considérer comme un phénomène « probabiliste » (Babad, 1998) : il ne survient pas dans chaque classe, avec chaque enseignant et pour chaque élève ; il existe des situations où les élèves ne confirment pas les attentes initiales de leurs enseignants, voire même les contredisent (Hilton et Darley, 1991 ; Neuberg, 1996). À l’inverse, certains facteurs sont susceptibles d’augmenter ou réduire son importance. C’est la raison pour laquelle, les travaux actuels portent sur les conditions susceptibles de catalyser l’occurrence de l’effet Pygmalion (e.g., Madon et al., 1997). Ces derniers – encore trop peu nombreux – ne font pas ressortir des résultats toujours cohérents."

(Trouilloud & Sarrazin, 2003).

Je me suis permis de le rajouter à la fin de l'article, en lien :)

--Msieurduss 9 juin 2010 à 11:19 (CEST)

NCF ou NSF ?

« Il se présente dans une école de ce quartier avec une fausse carte de visite et explique qu’il dirige une vaste étude à Harvard financée par la NCF. ». Ne s'agirait-il pas plutôt de la 'NSF', dont c'est la mission ?

... et Jacobson

Bonjour, ça parle beaucoup de Rosenthal dans cet article. C'est effectivement lui dont on parle chaque fois qu'on parle de l'effet pygmalion. Et Lenore Jacobson dans l'histoire ? Son rôle est-il effectivement négligeable par rapport à celui de Rosenthal ou est-ce seulement que l'histoire ne retenant bien souvent que les hommes, son rôle est passé à la trappe ? Souleymane Keita (d) 15 août 2012 à 06:01 (CEST)

Articles connexes ?

Y a t'il un lien a faire avec l'effet placebo ? Je ne comprend pas trop la difference entre les deux a vrai dire.--Minuit-neuf (discuter) 29 février 2016 à 13:59 (CET)