Discussion:Allographe

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Rectification, il ne s'agit ici que d'allographes alphabétiques.

Voir ce lien : http://monsu.desiderio.free.fr/curiosites/allographe.html

--Guillome 30 décembre 2006 à 19:19 (CET)[répondre]


Pour ce qui concerne "ERVCLNAK1VQOPIDPOQLROWCAVKC2NOQPHIÉ7NRJ/TAIQSM2KPDPHTOPTTC+KCJV" et qui est apparemment le plus long allographe alphanumérique français qu'on puisse trouver sur le net, je précise que c'est avec fierté j'en détient la paternité unique et totale (oui y'en a qu'on rien à foutre la nuit). Voilà pourquoi je me suis permis de me mentionner en tant qu'auteur, en espèrant que ça ne fera pas trop prétentieux... Je précise aussi que je suis bien conscient que sa publication sur Wikipedia le soumet aux conditions de la licence GFDL et que j'approuve cela parfaitement.

Choplair (d) 2 février 2008 à 04:31 (CET)[répondre]

Pourquoi s'arrêter là ?[modifier le code]

L'allographe du Chevalier de Boufflers peut être prolongé (en évitant des des expressions grivoises comme : LAQFS, LFSU ou LHIEDKK) : remplaçons "ÉLIARIT" par : LAÉTACAJTÉHAUT. LAMÉRVROG. RVCNRVAQVÉCKCROGÉDCD: LAÉTMU. LCOQPÉAÉTÉD. LAUDZÉARIT.

Maintenant, si quelque disciple d'Oulipo veux continuer, voire en faire un livre : Bravo !

Jean-François Clet (discuter) 7 octobre 2023 à 15:30 (CEST)[répondre]

Pertinence du nom « allographe »[modifier le code]

J'ai de sérieux doutes quant à la pertinence du nom « allographe » pour désigner la notion énoncée au point 2 de l'intro, et développée dans le reste de l'article, à savoir celle de « suites de lettres à prononcer littéralement ».

En effet, Bourquin et Jeanneret 2006, p. 95, parle de ce procédé dans le langage SMS (bon, certes, dans le cadre de logogrammes, c'est-à-dire lorsqu'il n'y a qu'une seule lettre pour représenter un seul mot, et non une suite de lettres représentant une phrase, mais c'est la même idée) ; or le terme « allographe » n'est pas utilisé, il est simplement dit qu'il s'agit d'un « usage autonymique de la lettre » (avec un renvoi à Rey-Debove 1978 et Authier-Revuz 1979). Alors qu'« allographe » est utilisé une demi-page plus bas dans le sens que lui donne le point 3 de notre intro (celui de variante).

Au final, j'ai l'impression que la seule source qui atteste de l'emploi du terme « allographe » pour désigner cette notion, c'est [1], qui n'est qu'un site personnel. A-t-on d'autres sources ? — Hr. Satz 15 mai 2009 à 16:59 (CEST)[répondre]

Références :

  • Céline Bourquin et Thérèse Jeanneret, « Nouvelles technologies et pratiques d'écriture chez les jeunes : entre créativité verbale et contraintes techniques », dans Savoir lire, un défi permanent : Actes du séminaire 2005 de l'AIDEP : Neuchâtel, 24 et 25 novembre, sous la dir. de Jacques Weiss, Institut de recherche et de documentation pédagogique (IRDP), Neuchâtel, février 2006, 117p., p. 89–110
  • Josette Rey-Debove, Le Métalangage : Étude linguistique du discours sur le langage, Paris, Le Robert, coll. « L'Ordre des mots », , 318 p. (ISBN 2-85036-062-7)
  • Jacqueline Authier-Revuz, « Parler avec des signes de ponctuation ou de la typographie à l'énonciation », DRLAV, vol. 17,‎ , p. 76–87

Paratextualité[modifier le code]

La paratextualité = « la relation que le texte entretient, dans l'ensemble formé par une œuvre littéraire, avec son paratexte : titre, sous-titre, intertitres; préfaces, postfaces, avertissements, avant-propos, etc., notes marginales, infrapaginales; [etc.] », tous les signaux autographes ou allographes qui procurent au texte un entourage.—> G. Genette, Seuils, 1989.--Spiessens (d) 25 novembre 2009 à 00:11 (CET)[répondre]