Discussion:Aile d'ange

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Suppression de la plus grosse partie d'un paragraphe[modifier le code]

Bonjour,

Il me semble que le paragraphe "Une conséquence de l'alimentation par les humains ?" est très largement hors-sujet pour l'article aile d'ange. On pourrait se contenter de mentionner qu'il peut exister un lien avec le nourrissage, mais toute cette partie me semble complètement HS :

"

Les oiseaux aquatiques sauvages (cygnes, canards, oies etc) n’ont pas besoin de l’homme pour se nourrir même en milieu urbain. Ces animaux trouvent suffisamment de nourriture dans l’eau et sur les pelouses. Certains sont herbivores, ils récupèrent l’herbe sur la pelouse et les algues au fond de l’eau toute l’année. Et d'autres comme les fuligules, les garrots, les harles, les macreuses… Sont des canards plongeurs qui captures des petits mollusques, insectes aquatiques et petits poissons pour les harles (jamais de végétaux !)

Un petit apport de nourriture peut être envisagé en cas de grosse vague de froid, sinon ces oiseaux s’adaptent.

Pour les oiseaux du ciel sauvages, la LPO considère qu'il est essentiel de les aider surtout l'hiver en leur apportant de la nourriture. Ils préconisent de débuter le nourrissage des oiseaux du ciel dès les premiers gels (octobre-novembre) et de le cesser dès les premiers jours de beaux temps (mars) afin d'une part, de ne pas accoutumer ces oiseaux aux apports humains et les rendre ainsi dépendants et d'autre part, d'éviter les maladies (salmonellose...) qui se propagent beaucoup plus facilement avec la chaleur. L’arrêt du nourrissage doit se faire en une quinzaine de jours, en diminuant progressivement les doses de nourriture chaque jour afin que les oiseaux du ciel sauvages puissent chercher l’apport dans la nature car un arrêt brutal les perturberait. Pour ne pas les mettre en danger, il ne faut surtout pas arrêter un nourrissage en plein hiver.

Les animaux sauvages doivent conserver leur instinct sauvage pour survivre. Car s’ils sont habitués aux humains (imprégnés) ils ne s’en méfieront pas, et pourront alors se mettre en danger, ne plus chercher à manger par eux-mêmes... Alimenter ces animaux en continu développe aussi chez certains sujets une dépendance à l’humain. Les parents n’apprennent plus aux jeunes à se nourrir par eux-mêmes."


On est plus dans des conseils pratiques sur le nourrissage ou non de animaux que sur un article encyclopédique sur la maladie.

2001:861:36C2:7690:D534:4C16:40D7:ECD1 (discuter) 24 avril 2024 à 20:36 (CEST)[répondre]