Attaques de décembre 2013 en république démocratique du Congo

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Aéroport international de Ndjili, Nsele (Kinshasa)

Les attaques de en république démocratique du Congo ont débuté le par la prise en otage de journalistes de la Radio-Télévision nationale congolaise à Kinshasa par des hommes se réclamant du pasteur Paul Joseph Mukungubila Mutombo, dirigeant de « l’Église du Seigneur Jésus-Christ ».

Le même jour, des échanges de tir ont lieu à l'aéroport international de Ndjili, à l'état-major des Forces armées de la république démocratique du Congo ainsi qu'aux abords de la résidence de Mukungubila à Lubumbashi[1].

La presse qualifie ces attaques de tentative de coup d'État, le gouvernement congolais parle « d'offensive terroriste »[2] ce que Paul Joseph Mukungubila conteste en les définissant comme une action « spontanée » de « civils sans armes » « massacrés pour rien » par la police et l'armée[3].

Le bilan définitif de ces attaques est de 103 morts.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Dabadi Zoumbara, « Kabila doit garder l’arme au pied », Le Pays,‎
  2. « Coup d’état : « KABILA » introuvable à Kinshasa, Qui est derrière le Prophète MUKUNGUBILA ? », KongoTimes!,‎ (lire en ligne)
  3. Trésor Kibangula, « « Ils nous ont massacré pour rien » », Jeune afrique,‎ (ISSN 1950-1285, lire en ligne)