Yasuharu Oyama

Biographie
Naissance	13 mars 1923; Kurashiki
Décès	26 juillet 1992 (à 69 ans)
Nom dans la langue maternelle	大山康晴
Nationalité	japonaise
Activité	Joueur de shōgi professionnel
Maître	Kinjirō Kimi (d)
Distinctions	Liste détaillée Prix d'honneur du Shogi (1965); Prix de la combativité au shogi (1972); Médaille au ruban pourpre (1979); Prix Kan-Kikuchi (1987); Personne de mérite culturel (1990)

Yasuharu Ōyama (大山康晴^?) (13 mars 1923 - 26 juillet 1992) est un joueur professionnel de shogi japonais. Il a remporté de 80 titres parmi les plus prestigieux^[1], record qui n'a été battu qu'en 2012 par Yoshiharu Habu ; il est en particulier Meijin honoraire, Jūdan honoraire (ja) , Ōi honoraire, Kisei honoraire et Ōshō honoraire. Il a également été président de la Fédération japonaise de Shogi de 1976 à 1989. Il totalise 1 433 parties gagnées en compétition officielle.

Oyama s'est également intéressé à d'autres jeux tels que le chu shogi^[2]^,^[3] ainsi que le go, le mahjong, les échecs et le xiangqi ; il est par ailleurs le fondateur et le premier président de l'Association japonaise de Xiangqi.

Liens externes

Parties commentées

(en) [vidéo] « Oyama - Masuda (22 avril 1958, finale du Meijin) », sur YouTube
(en) [vidéo] « Hanamura - Oyama (10 septembre 1962, finale du Ōi) », sur YouTube
(en) [vidéo] « Oyama - Masuda (30 avril 1971, finale du Meijin) », sur YouTube
(en) [vidéo] « Oyama - Iino (14 avril 1978) », sur YouTube
(en) [vidéo] « Oyama - Moriyasu (17 mai 1984) », sur YouTube
(en) [vidéo] « Oyama - Kamiya (22 décembre 1987) », sur YouTube

Références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Yasuharu Ōyama » (voir la liste des auteurs).

↑ Keiji Kobori et Chō Chikun (trad. du japonais par Motoki Noguchi et Toru Imamura), Itinéraire d'un maître de go : Sacre d'un champion [« Chō Chikun kessakussen 2, Chojo ni tatsu »], t. 3, Éditions Balat, 2015 (1^re éd. 1993), 314 p. (ISBN 978 2955115725), p. 168.
↑ « 故・大山康晴名人による中将棋のススメ », sur 中将棋連盟 (consulté le 28 février 2018)
↑ Jean-Louis Cazaux, L'odyssée des jeux d'échecs : 1 500 ans d'histoire du roi des jeux, Praxéo, 2010, 368 p. (ISBN 978-2952047289, lire en ligne), partie V, chap. 46 (« Le chû shogi »).

Notices d'autorité

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[1] Keiji Kobori et Chō Chikun (trad. du japonais par Motoki Noguchi et Toru Imamura), Itinéraire d'un maître de go : Sacre d'un champion [« Chō Chikun kessakussen 2, Chojo ni tatsu »], t. 3, Éditions Balat, 2015 (1^re éd. 1993), 314 p. (ISBN 978 2955115725), p. 168.

[chushogi-2] « 故・大山康晴名人による中将棋のススメ », sur 中将棋連盟 (consulté le 28 février 2018)

[Cazaux-3] Jean-Louis Cazaux, L'odyssée des jeux d'échecs : 1 500 ans d'histoire du roi des jeux, Praxéo, 2010, 368 p. (ISBN 978-2952047289, lire en ligne), partie V, chap. 46 (« Le chû shogi »).

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