Utilisateur:Waterluvian/KCI
Surnom | Kitchener Collegiate Institute (KCI) |
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Fondation | 1855 |
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Type | École secondaire |
Population scolaire | 1 645 élèves (2021) |
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Diplômes délivrés | Diplôme d’études secondaires de l’Ontario |
Ville | Kitchener, Ontario |
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Pays | Canada |
Site web | kci.wrdsb.ca |
Coordonnées | 43° 27′ 21″ nord, 80° 30′ 31″ ouest |
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La Kitchener-Waterloo Collegiate and Vocational School, communément appelé Kitchener Collegiate Institute (KCI), est une école secondaire en Kitchener, Ontario, Canada. Dans les années 2010, sa périmètre a été changé pour attirer davantage d'élèves. Dès 2021, il sert 1,645 adolescents autour de la Région de Waterloo. KCI suit le diplôme d’études secondaires de l’Ontario et ont des programmes de « Fast Forward » et « French Immersion ».
Historique
[modifier | modifier le code]Le Berlin County Grammar School a ouvert le 2 avril 1855 sur 163 East King Street, Berlin, Ontario, Canada. Une ancienne imprimerie d'Henry Eby[1], le bâtiment était en brique et petit[2],[3]. Au début, le conseil avait six hommes et le directeur, clergé Henry McMeekin, avait un salaire annuel de 150 £, lorsque les 30 garçons inscrivent ont payé un frais de scolarité mensuel de cinq shillings[2],[4]. Le Berlin County Grammar School était la première école secondaire dans la région et l'historien H. W. Brown a décrit son commencement comme modeste[4],[5].
Les autorités provinciales ont découvert que McMeekin n'avait pas un diplôme d'enseignement[1], donc jusqu'à 1857, l'école a reçu trois autres directeurs[3]. Ce janvier, le nouveau Central School sur Frederick Street leur accueillir dans une pièce nord-est en haut comme paiement à leur accueil qui possédait la terre[1],[6]. Le Berlin County Grammar School a commencé avec 35 garçons et, au long de ses 14 ans là-bas, il a parcouru huit autres directeurs[6]. À savoir, en 1861, le secrétaire M. Stimson a supposé que le directeur Charles Camidge lui était impoli pendant une sortie. Stimson a démissionné quand le conseil a averti, mais réengager Camidge. Cela a créé des bavardages plaidant que Camidge soit renvoyé, pour que le conseil lui demande d'accrocher une liste de règles comportementales dans la salle. À sa place, il a épinglé une annonce de sa démission. En 1863, l'école a commencé les annonces dans les journaux à Hamilton et Toronto. L'allemand, le français et les mathémathiques étaient des matières enseignées lorsque les filles ont été admises en 1866[7].
En 1871, le Berlin County Grammar School est devenu trop grand pour sa pièce. Avec un nouveau nom, le « Berlin High School », il a déménagé à la New Jerusalem Church, proche des rues Benton et Church. Le loyer mensuel était peu cher, de 5,30 $[8]. Ce changement l'a empêché d'être confus comme un simple département du Central School. De plus, les frais de scolarités sont devenus gratuits et les étudiants plus investissent, au lieu de fréquenter jusqu'à ce qu'elle trouve un emploi[9]. Le nombre d'élèves ont diminué initialement à cause des mobiliers maigres[7], mais la population s'est fini par augmenter à 66 en 1875[2]. D'ici là, un troisième professeur, G. E. Shaw, a commencé à enseigner les mathématiques, sciences et Langue vivantes. L'école a suscité aussi un sentiment que le cadre ecclésial était intrinsèquement inadapté[10].
En 1874, la conseil scolaire à laquelle le Berlin High School appartient à acheter la terre surplombant King Street, et a construit une école là-bas pour 5 804 $[11]. La ville était fière en janvier 1876 quand les 91 étudiants ont emménagé. Les langues, lettres classiques et mathématiques étaient des piliers du programme comme en 1855[12]. L'enseignante David Forsyth a remplacé Shaw cette année-là et introduit la science et les expériences laboratoire[13]. Les premiers 25 ans du Berlin High School ont été caractérisés par une adhésion à ses débuts et aux valeurs économiques des fermes[12]. Mais au cours des deuxièmes 25 ans, le trio de Forsyth, directeur James Connor et chef des langues Adolph Mueller ont transformé l'école dans un centre industriel et commercial[14]. Appelé le « triumvirat », ces trois étaient amicales et tellement active dans la communauté[15]. En 1880, ils ont organisé le Western Football Association, concernant les écoles du Sud de l'Ontario. L'équipe de Forsyth a remporté les quatre premiers tournois et de nombreux diplômés ont organisé et sont passés par un club, les Berlin Rangers, qui a parcouru l'Amérique et la Grande-Bretagne[16]. Les sujets technologiques ont rejoint le programme en 1884, ainsi que la musique, car de nombreux étudiants jouaient dans les Sängerfests locaux[17]. Parmi 103 étudiants, un chef de commerce a été engagé en 1885[2]. Par ailleurs, l'éducation physique était introduite en 1891. Vers cette date le premier ministre William Lyon Mackenzie King a reçu son diplôme de l'école et dirigé vers Toronto[17]. De nombreux diplômés ont émigré vers les prairies lorsque l'école a accepté des centaines d'immigrants européens[18].
Le janvier 1898, Mueller est mort, et une un groupe d'étudiants lui a dédier une tablette de bronze dans le couloir d'entrée. Il avait anticipé la construction d'une aile ouest finalisé en 1905[18], coût de 30 000 $[19]. Cela a coïncidé avec un nouveau nom ; le « Berlin Collegiate and Technical Institute », un nouveau directeur ; Connor a pris sa retraite et Forsyth a pris la suite et un banquet ; les sciences ont cuisiné pour les 100 invités[18],[20]. Les étudiants de cette année, environ 225[19], ont partagé l'optimisme que leur premier ministre Wilfrid Laurier a brandi. En 1910, beaucoup d'entre eux ont vu la première lumière hydroélectrique des chutes du Niagara inonde un auditorium sur Queen Street et, en 1912, Berlin s'est devenu une ville[21]. Les élèves et enseignants se sont lentement remplis jusqu'à 1914, quand l'école a permis aux étudiants de toute Waterloo et est devenu le « Berlin and Waterloo Collegiate and Technical Institute »[22].
Tout-a-coup, la Première Guerre mondiale a choqué les 354 élèves et 14 enseignants en 1914[23],[24]. Cela a apporté du sentiment antiallemand, et par 1916, l'école s'est retrouvée à la ville de Kitchener. Lorsque les diplômés de 1910 vivants sont revenus de la guerre, Forsyth a pris sa retraite et était remplacé par R. N. Merritt de Owen Sound. Il a développé les plans de démolition du bâtiment initial pour le remplacer par un gymnase, auditorium, couloir d'entrée et des salles. Merritt souhaitait aussi moderniser l'aile ouest et ajouter une aile est. Une ouverture s'est passée l'avril 1924[25], dont l'école a été déclarée le « Kitchener-Waterloo Collegiate and Vocational School ». Durant cette décennie, il a recueilli le sténo « Kitchener Collegiate Institute » (KCI)[26]. La façade mature a rendu la communauté fière et l'auditorium a ensuite été utilisé pour des rassemblements politiques, spectacles de magie, lectures poétiques et concerts, entre autres[27]. L'école a retrouvé sa confiance et est devenue occupée par les jupes et cheveux courts, cigarettes, voitures et le jazz[28]. Mais ensuite, la Grande Dépression a laissé moins d'argent pour de nouveaux bâtiments et enseignants et Merritt a priorisé seulement le logement de ces 1 418 étudiants[29]. La « duration » était un terme pour le reste de la Seconde Guerre mondiale dont ils devaient retarder leurs souhaits et, par exemple, transférer la neuvième année dans les écoles voisines[30]. Merritt a été remplacé en 1944, et l'été suivant, pleines d'hommes de l'école sont revenus de la guerre, mais 115 n'aient pas[31].
Vidéo externe | |
K.C.I.: Beyond the Three R's (1982), réalisé par Scott Barrie et produit par l'Office national du film du Canada. |
Avec un petit retour à la normale, une nouvelle aile ouest a été construite en 1947, contenant des machines à écrire et additionner et les ateliers de menuiserie. Les cours adultes ont eu lieu ici pendant la nuit[31]. En 1955, KCI a célébré son centenaire et, l'année suivante, la deuxième école secondaire de la région c’est ouvert, Eastwood[32]. Dans les 17 années prochaines, six autres sont apparus et plusieurs de leur personnel est originaire de KCI[33]. Durant cette période, la salle du personnel à KCI est remplie de diplômés d'université et travailleurs plus âgés, lorsque six chambres, un gymnase bleu et brièvement une patinoire dans l'arrière-cour ont été ajoutés. La structure interne a changé aussi. Dans les années 1960, ils ont introduit un « Revised Programme », « Credit System », « Symester System », et un programme d'alternance[34]. Surtout, en 1969, l'école s'est intégrée dans la Waterloo County Board of Education, remplaçant leur groupe d'administrateurs spécialisés par un groupe de tout le comté[35]. KCI a célébré son 125e anniversaire en 1980. Plus de 6 000 anciens élèves ont organisé des fêtes, se sont retrouvés dans des clubs locaux et ont chanté la chanson d'école au Kitchener Memorial Auditorium[36]. Une bibliothèque de 800 000 $ a été conçu en 1984, suivi des améliorations de la sécurité incendie en 1988[37].
Par 1995, selon la journaliste Luisa D'Amato, KCI a acquis l'image d'une école académiquement détendue avec des bizarres. Elle n'a pas affirmé, mais a remarqué que les étudiants étaient intensément loyaux et « se coloraient leurs cheveux avec des tampons de bingo violets, faisaient la roue dans les couloirs — et personne ne rien sourcille. » L'effectif fluctuent souvent, il nombre 1 562 cette année-là, une baisse de 1 702 pendant l'année précédente. Les nombreux étudiants adultes l'ont fréquenté en fonction de l'économie[38]. Après 20 ans, le programme coopératif pour adultes de KCI a pris fin en 1996, à cause des réduites des subventions accordées au Waterloo County Board of Education[39].
En 2003, la Waterloo Region District School Board (WRDSB)[a] a recommandé la fermeture de KCI et Southwood Secondary School dans Cambridge pour généré les fonds requis pour ouvrir une école secondaire dans le sud-ouest de Kitchener[41]. Un tollé général s'ensuit et les partisans de KCI ont plaider que l'école était un monument architectural important, avec une communauté et histoire diverse[42],[43]. Lorsque la législature conservateur de l'Ontario a autorisé WRDSB de garder l'argent de la vente de sites scolaires, il pouvait sauver une école et a choisi KCI[44]. Entre 2005 et 2011, WRDSB a investi 10 $ million à la rénovation de l'école parmi le programme de financement « Lieux propices à l'apprentissage » du Ministère de l'Éducation. Ils ont remplacé les chaudières et le système de ventilation, amélioré l'infrastructure électrique et réparé les fenêtres et le toit. Les laboratoires de sciences et la salle de musique ont été rénovés et une serre a été construite[45]. Vers l'automne 2015, l'entrée de l'école a été remodelée dans le cadre de la construction du système de train Ion le long de King Street[46]. Pendant la pandémie de Covid-19, KCI est passée à l'enseignement à distance et à la fin de l'année scolaire 2020, les diplômés sont passés en voiture et ont reçu des panneaux routiers commémoratifs[47].
Inscription
[modifier | modifier le code]Entre les années scolaires 2001 et 2004, l'effectif a augmenté de 1 306 élèves à 1 540, soit 18 %. Mais pendant le reste de la décennie, l'effectif a diminué de 1 452 élèves à 1 168, soit 24 %, en raison d'une baisse du nombre d'élèves aux écoles primaires et préscolaires dans son périmètre[48]. Cette fin de la décennie, l'école a utilisé seulement 74 % de sa capacité[49]. Le Waterloo Region District School Board a prévu une autre baisse de 10 % entre 2010 et 2014. Le périmètre de KCI a prévue une croissance en population, mais principalement à travers les appartements, considérés peu susceptibles d'attirer les familles avec des enfants d'âge scolaire[50]. Pour équilibrer la faible population de KCI et la bondé Sir John A. Macdonald Secondary School à proximité, le conseil a modifié leurs périmètres, permettant les résidents de Westvale, Waterloo, à inscrire dans KCI[51]. Ensuite, son nombre d'étudiants est passé de 1 150 en 2013 à 1 220 en 2015, avec des projections à long terme de 1 529 étudiants en 2025[52].
En 2013, environ 36 % des étudiants de de vivre hors du périmètre et fréquenter l'école dans le cadre de ses programmes « Fast Forward » et « French Immersion ». D'autre part, 51 % vivaient quelques minutes à pied[53]. Dès l'année scolaire 2021, KCI a un effectif de 1 645 élèves. Entre eux, 32 % recevoir les services d'éducation spéciale, double la moyenne provinciale. Un peu moins de cette moyenne, 14 % vivait dans des ménages à faible revenu et 19 % ont une première langue autre que l'anglais[54].
Programme
[modifier | modifier le code]KCI suit le diplôme d’études secondaires de l’Ontario et a des classes de 9e a 12e[55],[56]. Aux côtés de 40 heures de service public et un test d'alphabétisation, 17 crédits sont obligatoires, y compris quatre en anglais, trois en mathématiques et deux en sciences. De plus, les étudiants doivent obtenir 13 crédits optionnels[57]. KCI a plusieurs départements académiques : les arts, affaires, l'anglais, les langues, la santé et éducation physique, les mathématiques, sciences, sciences humaines et les technologies[56]. Semestriellement, les cours de musique organisent un concert s'intituler « OSSIA »[58], qui est commercialisé par des étudiants de graphisme[59]. La logique, pensée critique et les enjeux mondiaux sont enseignées en philosophie en 11e et 12e années, tandis qu'un cours de sciences de la terre et de l'espace partagent un programme de double crédit avec l'Université Wilfrid-Laurier et l'Université de Waterloo. De nombreux cours liés à la fabrication offrent aussi des doubles crédits avec le Conestoga College[58]. KCI est réputé pour ses cours d'horticulture, où les élèves cultivent des produits dans le jardin scolaire, recueillent l'eau de pluie et s'occupent de poussins, ou parfois de chèvres, dans un enclos[60],[61].
KCI est une « magnet school » parmi ces programmes de « Fast Forward », « French Immersion » et « Extended French »[62]. Les cours de « Fast Forward » priorise les compétences au lieu de travail. De la même manière, les cours automobiles, culinaire, de coiffure et de l'horticulture peuvent être suivis dans le cadre du « Ontario Youth Apprenticeship Program ». KCI fournit aussi les études coopératives et le « Specialist High Skills Majors », un autre programme de l'école à l'emploi[58]. Le programme « French Immersion » réalise 10 crédits dont l'objectif est la maîtrise universitaire et professionnelle[63]. Les élèves qui font partie peuvent passer le test du Diplôme d'études en langue française en 12e année et ont l'occasion de faire un échange à Neuchâtel, Suisse, ou Montpellier, France[64].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Anciennement le « Waterloo County Board of Education »[40].
Références
[modifier | modifier le code]- Uttley 1975, p. 121.
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Bibliographie
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