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Pétrole pendant le Seconde guerre mondiale

Réflexions sur le plan[modifier | modifier le code]

Bonjour, je ne remets pas en cause le plan, mais je ne m'en sors pas avec ces différentes sources... En conséquence, je vais passer par une étape intermédiaire qui va suivre WW2 pour chacune des principales puissances, vu du côté pétrole. Dans un second temps je ré-attriburai les éléments selon le plan défini. A+ --Alcide Talon blabla ? 9 mai 2013 à 14:16 (CEST)

Allemagne[modifier | modifier le code]

Japon[modifier | modifier le code]

Italie[modifier | modifier le code]

Royaume Uni[modifier | modifier le code]

État-Unis[modifier | modifier le code]

Italie[modifier | modifier le code]

Neutres[modifier | modifier le code]

Ébauche[modifier | modifier le code]

Intro (comme il se doit d'être).

I - Le marché pétrolier en 1939.
A - Production et raffinage.
Europe
États-Unis et Amérique centrale
Asie et Moyen-Orient
Depuis 1890, l'Indonésie fournit du pétrole avec les gisements trouvés par la Royal Dutch Shell[1]. Elle fournit 170 000 barils par jour[1].
B - Transport.
Par pays ou zone géographique.
C - Consommation.
Allemagne nazie.
L'Allemagne est un consommateur limité de produits pétroliers. En 1934, sa consommation correspond à 40 litres par an et par habitant[2].
Italie.
Japon
Entre 1931 et 1937, la consommation de produits pétroliers passe à 100 000 barils par jour alors qu'il ne produit pratiquement rien sur son territoire[3],[note 1]. Il dépend des importations dont 80 % proviennent de Californie[3].
Grande Bretagne
En 1934, sa consommation correspond à 144 litres par an et par habitant[2].
France
En 1934, sa consommation correspond à 85 litres par an et par habitant[2].
États-Unis
En 1934, sa consommation correspond à 600 litres par an et par habitant[2].
II - Incidence des conquêtes nazies.
A - Europe de l'ouest.
L'Allemagne estime ses besoins pour le début de la guerre à 13,835 millions de tonnes de pétrole par an. Elle projette, pour 1942, un besoin de 23,85 millions de tonnes[5].
B - URSS.
C - Conséquences sur les approvisionnements.
Besoins de l'Allemagne.
Besoins de l'Italie.
Besoins du Royaume-Uni.
Besoins des pays neutres.
III - Le pétrole dans la stratégie japonaise.
A - Les besoins.
B - Les conquêtes.
C - Les problèmes.
IV - Le tournant de 1943.
A - Les problèmes de l'Axe.
B - Les besoins des Alliés.
C - Les problèmes des neutres.
V - Le rôle du pétrole dans la victoire des Alliés.
A - Une logistique impressionnante.
B - L'effet des bombardements.
1 - Théâtre européen.
a - Les actions alliées.
b - Les réactions allemandes.
2 - Théâtre Pacifique.
C - Logistique depuis D-day.
1 - PLUTO
2 - Red Ball Express
3 - L'approvisionnement en carburant des armées alliées à la fin 1944.
Conclusion.
Un problème sous-estimé par l'Axe.
Le germe d'une situation actuelle.

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

  • (en) Robert Goralski et Russell W. Freeburg (dir.), Oil & War : How the deadly struggle for fuel in WWII meant victory or defeat, New York, William Morrow & Cy, Inc., , 384 p. (ISBN 0-688-06115-X)
  • (en) Daniel Yergin, The Prize : The epic quest for oil, money and power, New York, Simon & Schuster, , 979 p. (ISBN 0-671-50248-4)
  • Adam Tooze (trad. Pierre-Emmanuel Dauzat), Le salaire de la destruction : formation et ruine de l'économie nazie [« The Wages of Destruction : the makind and breaking of the nazi economy »], Les Belles Lettres, (1re éd. 2006), 806 p. (ISBN 978-2-251-38116-9)
  • (en) Ronald C. Cooke et Roy Conyers Nesbit (dir.), Target : Hitler's Oil : Allied attacks on german oil supplies 1939-45, 223 p. (ISBN 978-0-7183-0573-4)
  • (de) Dietrich Eichholtz (trad. John Broadwin), War for oil : The nazi Quest for an Oil Empire [« Krieg um Öl ein ErdÖlimperium als deutsches Kriegsziel 1938-1943 »], Washington DC, Potomac Books, (1re éd. 2006), 175 p.
  • (en) Martin Van Creveld, Supplying War : Logistics from Wallenstein to Patton, Cambridge, Cambridge University Press, (réimpr. 2005) (1re éd. 1977), 313 p. (ISBN 978-0-521-54657-7)
  • (en) John G. Sullivan, Fuel to the troops : A memoir of the 698thEngineer Petroleum Distribution Company 1943-1945, Bennington, Merriam press, (1re éd. 2008), 330 p. (ISBN 978-147002873-2)
  • (en) David P. Colley, The Road To Victory : The untold story of World War II's Red Ball Express, Dulles, Va, Brassey's, (1re éd. 2000), 247 p. (ISBN 978-1-57488-173-8)

Articles[modifier | modifier le code]

Remarques[modifier | modifier le code]

  • Outre le coté stratégique, parler du coté tactique (apporter le pétrole là ou on en a besoin -> Pluto coté alliés. Du coté de l'Allemagne (je ne sais pas comment c'était fait, camions citernes pour le front de l'Est ? et navires pour l'Afrika Korps, à relier avec la maitrise de la Méditerranée).
  • Martin van Creveld, Supplying War, logistics from Wallenstein to Patton, incontournable ; le chapitre 5 concerne Barbarossa. Il est proprement déprimant.
  • Chez Economica, un bouquin sur la lutte contre le ravitaillement de l'Afrika Korps (Vincent Arbaretier, "Rommel et la stratégie de l'Axe en Méditerranée (février 1941 - mai 1943)", 2009) . Peut-être mieux, un bouquin de Alan J Levine, chez Stackpole books, "The War Against Rommel's Supply Lines,1942-43", 2008, (ISBN 978-0811734585).
  • Pour la Chine, j'avoue mon ignorance, hormis la route de Ledo...
  • Evacuation du pétrole du Caucase [1] A creuser.
  • J'ai un vague souvenir de lecture d'un bombardement de raffinerie alliée à Curaçao par un U boot (U-156). A creuser.
  • Cité dans quasiment tous les bouquins sur la Bataille de l'Atlantique. exemple, Terraine, Business in great waters, page 420.
  • Je rajoute la saga des pétroliers dans la bataille de l'Atlantique...
  • J'ajoute l'article "Energie" dans le "Dictionnaire de la Seconde Guerre mondiale" (pages 657-663), Larousse, 1979, sous la direction de Ph. Masson, (ISBN 2-03-008651-7).
  • Je rajoute aussi la discussion sur la qualité de l'essence aviation, qui aurait eu une incidence sur la guerre aérienne.
  • Il serait peut-être judicieux de prévoir, dès à présent, les cartes et schémas qui seraient utiles.
  • les routes Red Ball
  • Les sites de production en Europe (1939).
  • Allemagne : carte page 64 dans Goralski&Freeburg (1941) + carte dans l'article de:Fischer-Tropsch-Synthese
  • Moyen-Orient, carte des sites de production page 126 dans Goralski&Freeburg. Une autre, page 54 dans Eichholtz (plus détaillée). Page 79 du même, une carte avec capacité de production.
  • Extrême-Orient, carte des sites de production page 146 dans Goralski&Freeburg.
  • Caucase, carte des sites de production page 184 dans Goralski&Freeburg.
  • Méditerranée, carte des lignes de ravitaillement de l'Axe, page 211 dans Goralski&Freeburg.
  • Les sites de raffinage en Europe (1943).
  • Allemagne : carte page 64 dans Goralski&Freeburg (1941).
  • USA : ???
  • Autres pays, UK, France, Iran, URSS, Japon.
  • Les sites de production mondiale, avec indication de leur importance.
  • A priori, elle sera à construire.
  • Les besoins des grandes unités.
  • Les chiffres de consommations pourront être trouvés, je pense, dans les bouquins cités. Le problème sera sans doute de les harmoniser.
  • autres ?
  • Dans le paragraphe V, ne faudrait-il pas parler du théâtre Nord africain (avec la Royal Navy qui envoya quelques navires de l'Axe voir Neptune + importance de Malte)?
  • [2] à 7'20. Moyen Orient = première source de pétrole des Alliés
  • Indice d'octane: Eugène Houdry, un français qui ne fut pas prophète en son pays

Matériaux en vrac[modifier | modifier le code]

Internes[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Les bouquins dont dispose alcide talon sont marqués avec le signe : Document utilisé pour la rédaction de l’article.

  • "Krieg um Öl", de Dietrich Eichholtz (2006) pour la vision allemande (heureusement traduit par J. Broadwin : War for Oil, the nazi quest for an oil empire, 2012, Potomac Books, 174 pages, (ISBN 978-1-59797-721-0)). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • "Britain's War Machine", de David Edgerton(2011) qui aborde le sujet Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Richard Overy, Why the Allies won, 1995, seconde édition 2006, pages 279-287, aborde aussi le sujet. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Martin Van Creveld, "Supplying War, logistics from Wallenstein to Patton", 1977, Cambridge University Press, 313 pages, (ISBN 978-0-521-54657-7). Voir chapitre 5 Russian roulette sur Barbarossa, chapitre 6 sur Alamein, chapitre 7 sur les suites du débarquement en Normandie. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Russell W Freeburg & Robert Goralski, "Oil and War: How the Deadly Struggle for Fuel in WWII Meant Victory or Defeat", 1987, William Morrow & Cie Inc., 384 pages, (ISBN 0-688-06115-X). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Daniel Yergin, The Prize, the epic quest for oil, money and power, 1991, Simon &Schuster, 912 pages, chapitres 16 à 19, pages 303-388, (ISBN 0-671-50248-4) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • plus anecdotiques mais utilisables :
  • Clifford Brazier, XD Operations, secret british missions denying oil to the nazis, 2004, 2005 pour Pen& Sword military, 165 pages, (ISBN 978-1-84415-313-8) Concerne une petite unité chargée de détruire les dépôts et installations pétrolières sur le continent en 1940, puis au Spitzberg et au Moyen Orient. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Guy H & Grace S Woodward, The Secret of Sherwood Forest, oil production in England during WW2, 1973, University of Oklahoma Press, 266 pages, (ISBN 978-0-8061-3433-8) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Multimedia[modifier | modifier le code]

Colloque[modifier | modifier le code]

  • AFHE, 2010, « Le pétrole et la guerre », en ligne là : [5].

Notes & références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. A la fin des années 1930, la production japonaise (en tenant compte de Formose) s'élève à 8000 barils par jour.[4].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b goralski, p. 90
  2. a b c et d eichholtz, p. 1
  3. a et b goralski, p. 93
  4. goralski, p. 94
  5. eichholtz, p. 4