Utilisateur:Ruyblas13/Brouillon/Leptoptilos robustus
Leptoptilos orientalis
| Règne | Animalia |
|---|---|
| Embranchement | Chordata |
| Classe | Aves |
| Ordre | Ciconiiformes |
| Famille | Ciconiidae |
| Genre | Leptoptilos |
Le Leptoplilos robustus est une espèce éteinte ayant vécu au Pléistocène moyen et supérieur, soit une période se déployant entre −258 000 et 50 000 années. L'anatomie de cette espèce préhistorique est proche de celle de l'échassier. Il s'agit d'une espèce aviaire appartenant à l'ordre des Ciconiiformes, et plus précisément à la famille des Ciconiidae, genre des Leptoptilos. Cet oiseau possède un bec long et massif et de grandes pattes. Il peut mesurer jusqu'à 1,80 mètres. Le Leptoptilos Robustus a pour la première fois été identifié et classifié au cours d'une expédition scientifique réalisée en 1789 par le chimiste et naturaliste allemand Johann Friedrich Gmelin. Des restes fossilisés d'un individu appartenant à l'espèce Leptoptilos Robustus ont récemment été exhumés en 2007 au sein d'une cavité indonésienne, la Grotte de Liang Bua, grâce aux fouilles d'une équipe de paléontologues dirigée par les américains Peter Brown et Mike Morwood.
Identification et découvetes[modifier | modifier le code]
Mike Morwood et Peter Brown, pérennisent leurs fouilles archéologiques au sein de la caverne de Liang Bua au cours de l'année 2007[1]. Incidemment, il mettent au jour une nouvelle occurrence de fossiles, un marabout fossile qui sera décrit sous le nom de Leptoptilos robustus[2],[1]. Cette espèce a un bec long et massif, de longues pattes et présente une corpulence morphologique et anatomique remarquable : 1,80 mètre de long et un poids estimé à environ 16 kilogrammes[2],[3]. Cet échassier aurait très probablement existé au Mike Morwood et Peter Brown, pérennisent leurs fouilles archéologiques au sein de la caverne de Liang Bua au cours de l'année 2007[1]. Incidemment, il mettent au jour une nouvelle occurrence de fossiles, un marabout fossile qui sera décrit sous le nom de Leptoptilos robustus[2],[1]. Cette espèce a un bec long et massif, de longues pattes et présente une corpulence morphologique et anatomique remarquable : 1,80 mètre de long et un poids estimé à environ 16 kilogrammes[2],[3]. Cet échassier aurait très probablement existé au Pléistocène moyen et supérieur, soit une période se déployant entre −258 000 et 50 000 années[2],[4],[5]. Néanmoins, une estimation effectuée par le biais d'une analyse au (14C), fournit une indication de datation plus précise : les fossiles de L. robustus découverts dans la grotte de Liang Bua s'échelonneraient entre −110 000 et −50 000[6].
Concrètement, cette période chevauche celle affichée par les fossiles d'Homo floresensis[N 1].
Par conséquent, ces dernières données obtenues témoigneraient d'une probable cohabitation entre les deux taxons préhistoriques au sein de la niche écologique souterraine incarnée par la caverne de Liang Bua[6],[7],[8],[9],[N 2],[10].
- Le Leptoptilos robustus.
-
Schéma comparatif de la taille d'un Leptopilos robustus avec celle d'un humain.
[2],[4],[5]. Néanmoins, une estimation effectuée par le biais d'une analyse au (14C), fournit une indication de datation plus précise : les fossiles de L. robustus découverts dans la grotte de Liang Bua s'échelonneraient entre −110 000 et −50 000[6].
Concrètement, cette période chevauche celle affichée par les fossiles d'Homo floresensis[N 3].
Par conséquent, ces dernières données obtenues témoigneraient d'une probable cohabitation entre les deux taxons préhistoriques au sein de la niche écologique souterraine incarnée par la caverne de Liang Bua[6],[7],[8],[9],[N 4],[10].
- Le Leptoptilos robustus.
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Schéma comparatif de la taille d'un Leptopilos robustus avec celle d'un humain.
Taxonomie[modifier | modifier le code]
Evolution[modifier | modifier le code]
Aire de déploiement géographique[modifier | modifier le code]
Anatomie[modifier | modifier le code]
Comportement[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références =[modifier | modifier le code]
- Meijer et Awe Due 2010, p. 708.
- Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméeshanneke707 - Meijer et Awe Due 2010, p. 709.
- Meijer et Awe Due 2010, p. 710.
- Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméestortosa301 - Meijer et Awe Due 2010, p. 711.
- Meijer et Awe Due 2010, p. 712.
- Meijer et Awe Due 2010, p. 713.
- Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesbalzeau31 - Grimaud-Hervé, Serre et Bahain 2015, p. 77.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Dominique Grimaud-Hervé, Frédéric Serre et Jean-Jacques Bahein, Histoire d'ancêtres : La grande aventure de la Préhistoire, Paris IVe, errance, coll. « Guides de la préhistoire mondiale », , 144 p. (ISBN 978-2-87-772590-3).
- Thierry Tortosa, Sylvain Adnet, Julien Claude, Sébastien Clausen, Anne-Laure Decombeix, Vincent Fernandez, Grégoire Méthais, Brigitte Meyer-Berthaud, Serge Muller et Brigitte Senut, Principes de paléontologie, Dunod, , 336 p. (ISBN 978-2-10-05-7993-8).
- Jean-Pierre Mohen ( Docteur ès Lettres et Directeur du centre de recherche et de restauration des musées de France et de l'UMR 171 du CNRS ) (dir.) et Yvette Taborin ( Professeur Honoraire à l'Université de Paris I Panthéon - La Sorbonne ), Les sociétés préhistoriques, Hachette Supérieur, coll. « HU Histoire ( Série : Histoire de l'Humanité ) », 2009 ( nouvelle édition ), 320 p. (ISBN 978-2011-45984-8).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
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