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Utilisateur:Pyb en résidence/Brouillon4

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Immigration algérienne en forte hausse[modifier | modifier le code]

L'immigration algérienne est en forte progression après la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945 . La population Nord-Africaine était estimée à 50 000 en 1946 et 400 000 en 1952. Ces migrants quasi-exclusivement masculins travaillent principalement comme ouvriers, manœuvres du bâtiment et de la métallurgie. Mais très vite ils seront accusés de participer à « des trafics plus ou moins honteux » et d’accroître la criminalité. La presse relaiera des discours racistes à leur encontre : « Il faut le reconnaître, ces Nord-Africains ne sont pas très propres ; leur moralité est sujette à caution. […] Ils n’ont pas le sens des responsabilités, leur insouciance, leur fatalisme dans ces mines, ces aciéries où, de toutes parts, la mort guette les travailleurs, peuvent déterminer les pires catastrophes »[1].


Divers[modifier | modifier le code]

https://argonnaute.parisnanterre.fr/media/cb6304a2-5b21-4a06-b4d1-bc114cbe7e92.pdf


Le MTLD multipliera les initiatives : grèves, distribution de tract, télégrammes aux membre du gouvernement, communiqués de presse, demandes de rendez-vous aux autorités. Le journal du mouvement, L'Algérie Libre, réalisera un numéro spécial sur le massacre. Dans un éditorial en réponse aux provocateurs, le MTLD dénonce « la répression colonialiste qui poursuit de sa haine ls Algériens résidant en France ». Le mouvement souligne également les nombreux messages

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/24/les-familles-de-cinq-victimes-de-l-echauffouree-du-14-juillet-se-sont-constituees-partie-civile_1977301_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/24/une-nouvelle-protestation-du-m-t-l-d_1976626_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/18/l-autopsie-des-corps-des-sept-victimes-a-lieu-aujourd-hui_1976277_1819218.html

https://www.lemonde.fr/le-monde-2/article/2008/04/30/le-1er-mai-1968-a-paris-plusieurs-dizaines-de-milliers-de-manifestants-ont-defile-de-la-republique-a-la-bastille-a-l-appel-de-la-cgt-et-du-parti-communiste_1036639_1004868.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/16/la-presse-interprete-les-incidents-de-maniere-bien-differente_1976697_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/16/violente-echauffouree-place-de-la-nation_1975963_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/16/les-sept-morts_1975906_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/16/sept-morts-place-de-la-nation_1976576_1819218.html

https://www.lemonde.fr/archives/article/1953/07/16/un-communique-du-ministere-de-l-interieur_1977138_1819218.html



Jacques Simon, l'auteur d'un thèse sur Messali Hadj en 1995[2]


C'est au moment de la dislocation de la manifestation que les échauffourées commencent. Les recherches réalisées n'ont pas permis de déterminer quel avait été l'élément déclencheur. Les versions divergent : intervention des forces de l'ordre suite au brandissement d'un drapeau algérien, sortie du périmètre de la manifestation par le cortège sans s'être disloqué.

Par contre, il a été déterminé que les tirs des policiers n'ont pas été fait après les sommations d'usages.


https://www.erudit.org/en/journals/jcha/1900-v1-n1-jcha083/1008978ar/

https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/les-communistes-et-l-algerie--9782348036484-page-165.htm

manif déclarée + restrictions (pas de discours en tribune, pas de haut parleur, pas de cortège avant et après, etc)

travailleurs algériens défilent avec leurs syndicats jusqu'aux années 1950, puis le MTLD organise ses propres manif (pas déclarées). 3 morts (Monbelliard, Charleville

manif de 1951 (drapeau algérien)

tirs à l'horizontal

commissaire divisionnaire plaide la légitime défense

ministre de l'intréieur plaide la légitime défense

11 morts en quelques mois, dont 10 algériens. Répression au faciès

En effet, en dépit d’une historiographie assez réduite, on dispose tout de même de travaux

Les raisons d’une double occultation

Emmanuel Blanchard explique l’occultation du 14 juillet 1953 par « les conflits internes et les évolutions du nationalisme algérien »

crise du MTLD de 1953-1954, suivie de l’émergence du Front de libération nationale (FLN)

https://www.middleeasteye.net/fr/opinion-fr/14-juillet-1953-le-massacre-doublement-occulte-des-travailleurs-algeriens-paris

https://www.lemonde.fr/archives/article/1999/02/14/l-une-des-rares-fois-depuis-le-xixe-siecle-ou-la-police-a-tire-sur-des-ouvriers-a-paris_3536604_1819218.html

Les journaux, suivant leur tendance politique, ont donné des versions contradictoires de l'origine de ces incidents. Les uns ont parlé de provocation policière, de racisme, les autres de commando communiste.


Rajsfus (2003)[modifier | modifier le code]

Blanchard (2011)[modifier | modifier le code]

Simon (2015)[modifier | modifier le code]

Revoir le plan :

Jours suivants[modifier | modifier le code]

Réactions[modifier | modifier le code]

Syndicats[modifier | modifier le code]

Personnalités[modifier | modifier le code]

Presse[modifier | modifier le code]

Kupferstein (2017)[modifier | modifier le code]

  1. Yves Bénot, Massacres coloniaux : 1944-1950 : la IVe République et la mise au pas des colonies françaises, La Découverte, , 224 p. (lire en ligne), p. 170-171
  2. Jacques Simon, « Messali Hadj : la passion de l'Algérie libre (1898-1954) », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant, Paris 3,‎ (lire en ligne, consulté le )