Utilisateur:Jgm18/Brouillon/ le champ volcanique d'Auckland

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Carte du champ volcanique d' Auckland dessiné par Hochstetter en 1859 et publié en Anglais en 1864

Le” Champ volcanique d’Auckland” ou Auckland volcanic field est une série de volcans constituant un Champ volcanique monogénétique s’étendant sous la plus grande partie de l’aire urbaine de la ville d’Auckland, en Nouvelle Zélande, qui est la plus large cité de l’Ile du Nord. Le champ comprend 53 volcans [1], qui ont donné lieu à divers types de structures volcaniques: des maars (cratère d’explosion), des anneaux de Tuf ou de tephras, des cônes de scories et des écoulements de lave. Chacun de ces volcans n’a présenté qu’une seule éruption mais sur une période, qui a pu durer de plusieurs semaines à quelques années, excepté pour le volcan de l’ile Rangitoto, qui est le seul à avoir présenté plusieurs éruptions.[2] Le champ est entièrement rempli par du magma basaltique, contrairement au volcanisme de subduction, plus explosif, qui caractérise le centre de l’Ile du Nord, tel que le Mont Ruapehu et le Lac Taupo.[3] Comme tous les volcans dormants, le champ volcanique est susceptible d'entrer en éruption à nouveau dans les prochaines années " centaines ou milliers d'années" (si on se base sur les évènements passés), ce qui est une très courte période en termes de temps géologique.[4]

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le champ s’étend du Lac Pupuke à l’Ile Rangitoto dans le nord jusqu’à Matukutururu ou (Mont Wiri) dans le sud, et du Mount Albert, New Zealand à l’ouest jusqu’à Pigeon Mountain à l’est.

Le premier évent entra en éruption à Onepoto Volcano, il y a 248 000 ± 28 000 années.[5] L’ éruption la plus récente date d’environ 600 ans[6] et dans la mémoire historique locale des iwi du peuple Māori à Rangitoto, une ile du champ volcanique située juste à l’ est de la ville ayant donné lieu à une émition de 2.3 kilomètres cubes de lave. Les éruptions récentes tendent à devenir les plus importantes de tous les temps, global de lave du champ volcanique. En dehors de celui ci,l’ensemble des volcans sont relativement petits, la plus part ayant moins de 150 mètres de haut.

Le lac Pupuke, sur le North Shore près de Takapuna, est un cratère de volcan d’ explosion. Quelques cratères identiques, tels que Orakei Basin sont ouverts sur la mer..

Le champ a produit d'importantes quantité de lave liquide qui a recouvert la plus grande partie de l'isthme d'Auckland . L'une des coulées les plus longues va du Mt Saint John vers le nord, traverse le Waitemata Harbourpour former le Meola Reef.[7] Plus de 50 tubes de lave et d'autres grottes de lave ont été découverts , comprenant la grotte Wiri Lava Cave qui fait 290 m de long.[8] La deuxième grotte la plus longue du champ volcanique d' Auckland field, so lme 270 mètres (885,826773 pi) in total length, est la grotte des " Thousand Press-ups" à lest de One Tree Hill.[9] Two impressive depressions caused by lava cave collapses are the Puka Street Grotto and the nearby Hochstetter Pond, also known as Grotto Street Pond, in Onehunga.[10][11]

For most of the 250,000 years that the field has been erupting, the planet has been in glacial periods (ice ages) where sea levels were much lower due to water being locked up as ice, and the Waitemata and Manukau Harbours were dry land. All the volcanoes probably erupted on land except for Rangitoto, which erupted during the current interglacial (warmer) period.[12]

Contexte Humain[modifier | modifier le code]

Terraces carved by Māori into the slopes of One Tree Hill

Usage[modifier | modifier le code]

La plus part des cônes volcaniques ont été occupés par d'importantes communautées maori ( Māori pa avant l'arrivée des européens et de nombreuses terasses ou sites archeologiques sont toujours visibles. De nombreux cônes ont été nivelés ou largement altérés – en faible part du fait des usages historiques des Māori mais de façon plus importante et récente par l'extraction des matériaux de construction (et en particulier des scorie). Toutefois plusieurs des volcans restant sont maintenant préservés sous forme de paysages et de parcs.[6] Les cônes volcaniques sont aussi protégés par une loi de 1915 la: Reserves and Other Lands Disposal and Public Bodies Empowering Act 1915, qui fut promulgée en partie concernant les paysages particuliers qui avaient été érodés par les carrières. Alors qu'elle fut souvent ignorée jusqu'à la fin du 20e siècle, elle a permis , entre autre chose de minimiser plusieurs modifications du Mont Roskill proposées par Transit New Zealand for the Southwestern Motorway.[13]

En Mars 2007, la Nouvelle Zélande proposa le champ volcanique d'Auckland du fait de ses caractères comme candidat pour être désigné World Heritage Site en se basant sur sa combinaison unique de caractéristiques naturelles et culturelles .[6] Actuellement , seul 2% au plus des 800 sites de l' Heritage Mondial de part le monde appartient à cette catégorie mixte.

Dangers[modifier | modifier le code]

Dans la mesure ou le champ n'est pas éteint, de nouvelles bouches volcaniques peuvent s'ouvrir à n'importe quel moment, bien que l'espace entre deux évènements est en moyenne de centaines voir de milliers d'années. Toutefois , les effets de tels évènements , en particulier d'une éruption à grande échelle, pourraient être substantiels – allant d'une éxplosion pyroclastique , de tremblement de terre,[14] de bombes de lava bombs, ash falls, venting volcanic gas de lava flows. Ces effets peuvent s'étendre sur plusieurs mois et causer d'importantes destructions et perturbations. Cela peut aller de l'enfouissement d'étendues substantielles de propriétés résidentielles ou commerciales jusqu'à la fermeture dune partie importante des infrastructures du pays , tel que le Port of Auckland, le State Highway network ou l' Auckland Airport.[4] Une possibilité est que plus d'un volcan puisse entrer en éruption à Auckland au même moment. Il exste d'importants argument pour penser que cinq éruptions se sont déroulées dans une période de 50 ans ou moins, il y a approximativement 32,000 ans.

Diverses structures opérationnelles , plans et systèmes ont été mis en place pour préparer des réponses à la reprise d’une activité volcanique sur l’aire urbaine d’ Auklande, qui sont coordonnées principalement par le 'Auckland Volcanic Field Contingency Plan' de la Auckland Regional Council, qui fournit l’infrastructure pour les interactions entre la défence civile et les services d’urgences durant un éruption. Auckland bénéficie aussi d’un ensemble de matériels d’enregistrement sismique comprenant six seismomètres (dont l’un à 250 m de profondeur à Riverhead) et trois répétiteurs répartis dans la région d’Auckland qui peuvent détecter le plus petit tremblement de terre pouvant précéder une activité volcanique.[15] Ces trémulations pourraient semble t il donner quelques heurs à quelques jours pour l'alerte d'une éruption imminente et sa localisation approximative.[14]

L' Auckland Museum, lui même construit sur les bord d'un cratère  : lef Pukekawa, présente une exposition sur le champ volcanique d' Auckland comprenant le "Puia Street multi-sensory visitor experience" qui simule une vue élargie d'une éruption à Auckland.[16][17]

En 2013, des scientifiques ont dit qu'une nouvelle étude avait montré que Rangitoto a été beaucoup plus actif dans le passé qu'on ne le pensait, suggérant qu'il a été actif avant et après 1000 ans avant sa dernière éruptions il y a 550 ans.[18]Les responsables de la défence Civile prétendent que cette découverte ne rend pas plus dangereux de vivre à Auckland , mais ne change pas leur point de vue sur la manière dont une évacuation devrait avoir lieu.[19]

Liste des volcans[modifier | modifier le code]

cratère de Maungawhau / Mont Eden

Les volcans situés dans le champ volcanique sont :[2][20]

Voir Aussi[modifier | modifier le code]

References[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Bruce W. Hayward, Jill A. Kenny et Hugh R. Grenfell, « More volcanoes recognised in Auckland Volcanic Field », Geoscience Society of New Zealand Newsletter, no 5,‎ , p. 11–16 (lire en ligne, consulté le )
  2. a et b Modèle:Ul book
  3. Ian E.M. Smith and Sharon R. Allen. Auckland volcanic field geology. Volcanic Hazards Working Group, Civil Defence Scientific Advisory Committee. Retrieved 30 March 2013. Also published in print as Volcanic hazards at the Auckland volcanic field. 1993.
  4. a et b Beca Carter Hollings & Ferner (2002). Contingency Plan for the Auckland Volcanic Field, Auckland Regional Council Technical Publication 165. Accessed 2008-05-12.
  5. M.O. McWilliams research, 2002, associated with Shane P, Sandiford A (2003) Paleovegetation of marine isotope stages 4 and 3 in northern New Zealand and the age of the widespread Rotoehu Tephra. Quaternary Research 59:420-429
  6. a b et c Auckland Volcanic Fields submission (from the UNESCO World Heritage Centre, 2007-03-30. Accessed 2007-05-04)
  7. Hayward, Murdoch, Maitland (2011). pp. 134–135.
  8. David Lomas (Winter 2006). "Cave new world". Heritage New Zealand. New Zealand Historic Places Trust. Accessed 2007-05-04.
  9. Les Kermode, « New Zealand lava caves worth preserving for their geologic and geomorphic features », Geoscience Reports of Shizuoka University, vol. 20,‎ , p. 15–24 (lire en ligne, consulté le )
  10. Hayward, Murdoch, Maitland (2011). pp. 17–18.
  11. « Geology », The Onehunga Grotto (consulté le )
  12. Hayward, Murdoch, Maitland (2011). pp. 2–3.
  13. "The volcanic hills are being destroyed..." - City of Fire, insert magazine in The New Zealand Herald, 15 February 2008
  14. a et b "When the earth starts to shake". City of Fire, insert magazine in The New Zealand Herald, 15 February 2008.
  15. New recorder boosts earthquake, volcano warnings, The New Zealand Herald, NZPA, 2008-05-11. Accessed 2008-05-12.
  16. http://www.aucklandmuseum.com/1200/volcanoes-gallery
  17. http://www.aucklandmuseum.com/292/volcanoes
  18. (en) « Rangitoto more active than thought - study », 3 News NZ,‎ (lire en ligne)
  19. (en) « Officials downplay volcano danger », 3 News NZ,‎ (lire en ligne)
  20. J.M. Lindsay, G.S. Leonard, E.R. Smid et B.W. Hayward, « Age of the Auckland Volcanic Field: a review of existing data », New Zealand Journal of Geology and Geophysics, vol. 54, no 4,‎ , p. 379–401 (DOI 10.1080/00288306.2011.595805)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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