Utilisateur:FreeCorp/Audrey Leprince
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Audrey Leprince, productrice française de jeux vidéo, est la co-fondatrice et présidente du studio The Game Bakers[1] et la co-fondatrice et présidente de l'association Women In Games France.
Carrière[modifier | modifier le code]
Née en à Chartres 1973, elle est diplômée de l'ESCP Europe en 1997, après un baccalauréat scientifique et deux années de classes préparatoires[2]. Elle commence chez Gallimard en tant que stagiaire pour travailler sur un jeu sur CD-ROM fondé sur l'histoire du Petit Prince de Saint-Exupéry[3].
Elle rejoint Quantic Dream en tant que conceptrice de jeux vidéo pendant deux ans, puis travaille chez Ubisoft à Shanghai en tant que productrice jusqu'en 2010[3].
Avec Emeric Thoa, également ancien employé d'Ubisoft, ils décident de créer en 2010 le studio de jeu vidéo The Game Bakers à Montpellier, qui a notamment développé les jeux vidéo Furi ou Squids[4]. Plusieurs personnes du studio travaillent depuis l'étranger, c'est notamment le cas d'Audrey Leprince qui, en 2019, habite en Suède[5].
Création de Women in Games France[modifier | modifier le code]
Elle est également la co-fondatrice et présidente[6] de l'association Women In Games France, créée en 2017, avec Julie Chalmette. Cette association œuvre pour la mixité dans l’industrie du jeu vidéo français[7].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Chloé Woitier, « Femmes dans le jeu vidéo: «l'association Women in Games met une claque à tout le monde» », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- « Audrey Leprince en 5 dates », Glamour, (lire en ligne)
- Emma Ferrand, « Écoles de jeux vidéo : l’avis d’Audrey Leprince (The Game Bakers) », sur Le Figaro étudiant, (consulté le )
- Arthur Jegou, « Montpellier : The Game bakers, les "artisans du jeu vidéo" », sur midilibre.fr, Midi Libre, (consulté le )
- Ségolène Forgar, « « Une femme est tout aussi crédible qu’un homme, même dans le monde du jeu vidéo » », Elle, (lire en ligne)
- « A propos | Women in Games France » (consulté le )
- « Sexisme, harcèlement… Y a-t-il une omerta dans l’industrie du jeu vidéo ? », sur www.20minutes.fr (consulté le )