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Utilisateur:Djune086/Brouillon 2

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Empire du C.I.R.F.

(fr) CIRF

Devise Paix, Progrès, Prospérité
Hymne Pour l'Empereur

Administration
Forme de l'État Empire
Empereur Théodore II de Basilea
Premier Ministre et Grands Électeurs Gille de Cazenave
Langues officielles Français
Capitale Arcanith
Géographie
[[{{{lien_villes}}}|]] Arcanith
Superficie totale 5 001 393,75 km2
(classé 2e)
Superficie en eau 4%
Histoire
Entité précédente
  • Premier Ordre
Sacre de Théos Basileus 2 Décembre 1980
Démographie
Gentilé Cirfien, Cirfienne
Population totale 100 821 620 hab.
(classé 1er)
Densité 112,07 hab./km2
Économie
PIB nominal 30046.452 milliards
PIB (PPA) par hab. (2020) 314783.08¤/hab
Monnaie Ketin (¤)
Développement
IDH 0.903
IDHI 0.825
Coefficient de Gini 30.7
Indice d'inégalité de genre 0.083
Indice de performance environnementale 62.5
Divers
Code ISO 3166-1 CF, CIRF
Domaine Internet .cf
Indicatif téléphonique ++ 01 CIRF Métropolitain
Organisations internationales Organisation Territoriale Anti-Terroriste (OTAT); Organisation des États Fédérés (OEF); Union Arkoulangienne (UA)

Le CIRF est actuellement l’une des plus puissantes nations de ce monde, l’occident a encore beaucoup de colonies, l’esclavage n’est aboli qu’officiellement, en 1974-75, alors que depuis plusieurs décennies, le peuple bolchévique s’est soulevé contre son empereur, la montée du communiste a inquiété les puissances occidentales, qui ont fini par déclarer la guerre à la RSCU. Celle-ci, sous-équipée, avec des hommes mal nourris, mal équipés et fatigués, a fini par perdre et dû céder près d’un quart de son territoire aux puissances occidentales qui l'occupent d’une main de fer. (P-S: la dîtes zone fut annexée par les soviétiques quinze ans plus tôt.)

Le CIRF est un empire et a tout ce qui va avec, ainsi la noblesse et les titres qui vont avec sont toujours présents.

Armoirie[modifier | modifier le code]

D’or pâle à cocarde tricolore et de vert Empire à l'aigle Impérial coupé par l’écharpe tricolore. La couronne fermée où siège le globe d’or surmontée d’une croix recroisée coiffant le blason. Le Sceptre et la Main de Justice reproduisent les honneurs des sacres impériaux. La Croix de la Légion d’Honneur siège au bas du blason. Le Manteau de Gueules, doublé d’Hermine au naturel, semé d’abeilles d’or et frangé de même en présent.

On retrouve d’une part le jaune évoquant connaissance et puissance, ce jaune est plutôt pastel, comme atténué par la tromperie et le mensonge de son Histoire,  que le jaune évoque aussi. L’autre côté est fait de vert, cette couleur évoquant la chance des citoyens de vivre au CIRF, dans un état stable rappelé par le vert, couleur également de l’Empire.

Le tout est coupé en deux dans la diagonale par une écharpe tricolore (bleu,blanc,rouge). Le blason est agrémenté d’une cocarde tricolore dans le quart inférieur gauche, et d’un aigle impérial dans le quart supérieur droit.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation, Frontières, et Superficie[modifier | modifier le code]

Le CIRF Métropolitain est au centre du continent Arkoulangien, il est bordé au nord par l’Empire de Spodale et par la Principauté d’Osmium. Au nord-est, elle a une frontière commune avec la Principauté de Melbourne, et au nord-ouest le grand-duché de Nestaca. Au sud (d’ouest en est), se trouve le dominion du CIRF, Navarre, suivi du Tsara de Cométia, et du Royaume de Flegrode d’Ecladal. A l’est se trouve la RSCU. Le CIRF borde l’océan Almalis sur sa pointe Ouest et sur le couloir de Balmie.

Géologie, topographie et Hydrographie[modifier | modifier le code]

L’Empire du CIRF est un pays d’une diversité géologique, topographique et hydrographique étonnante, qui offre une variété de paysages et de climats sans pareil. Le CIRF est donc marqué par de nombreux paysages, des chaînes de montagnes aux vallées fluviales en passant par les plaines, les lacs et les côtes.

Dans le sud du pays, les massifs montagneux de Phébée offrent des paysages grandioses et des reliefs escarpés, atteignant plus de 6 400 mètres d’altitude. Plus à l’est, les montagnes de Vitrosart présentent des formations rocheuses érodées par le vent, créant des paysages désertiques uniques et fascinants.

Les plaines du nord du pays, quant à elles, offrent une topographie plus douce, avec des prairies et des collines ondulantes, parsemées de petits lacs et rivières. Les vallées fluviales, comme celle du fleuve Louri, offrent également des paysages magnifiques, avec des falaises parfois abruptes et des cours d’eau souvent tumultueux.

L’Empire possède également des zones côtières variées, allant des falaises rocheuses du couloir d’Huplon aux plages de sable fins de la côte ouest. En ce qui concerne l’hydrographie, le CIRF est traversé par plusieurs grands fleuves dont la Scène, la Louri, le Napol ou le Nosfield, qui fournissent de l’eau douce pour l’irrigation des terres agricoles et la production d’énergie hydroélectrique.

En somme, le CIRF a des paysages multiples et diversifiés, offrant une grande variété géologique (avec la découverte de nouveaux minerais comme le Nélindah, ou de pierres précieuses comme la Jadingstonine), topographique et hydrographique. Cette richesse naturelle constitue un atout considérable pour le développement du tourisme et de l’industrie du pays.

Répartition Spatiale des Hommes et Activités[modifier | modifier le code]

La Répartition spatiale de la population cirfienne se fait surtout autour des grandes aires urbaines, comme dans des 10 plus grandes villes du pays (cf. tableau ci-dessous) et autour des zones côtières. L’Empire métropolitain est assez peuplé, on dénombre ainsi une moyenne de 112,07 habitants / km². Les activités économiques sont également réparties de manières inégale, avec une forte concentration dans les grandes villes industrielles, mais aussi une présence importante de l’agriculture dans les zones rurales.

Ville Aire Urbaine (hab) Pôle Urbaine (hab) Commune (nb) Rang National
Arcanith 14 630 800 11 894 456 20 745 1
Amiens 11 738 396 7 654 123 17 753 2
Bordeaux-

Rochefort

7 937 035 5 012 983 14 123 3
Napoléonville 5 622 744 4 495 761 13 795 4
Le Havre 5 005 380 4 123 587 12 743 5
Poitiers 11 738 396 3 895 741 12 001 6
Versailles 5 016 442 3 753 963 11 829 7
Strasbourg 4 102 770 3 548 852 11 435 8
Saint-Germain-en Laye 3 867 333 3 199 753 10 898 9
Toulouse 4 086 272 2 975 123 7 815 10

Axes de Communication et Transports[modifier | modifier le code]

Le CIRF dispose d’un réseau de transports développé pour assurer les déplacements des personnes et des marchandises à travers l’Empire. Les principales routes et autoroutes sont bien entretenues permettant une circulation fluide. Les villes sont également reliées entre elles par un réseau de trains à grande ou moyenne vitesse, faisant tout le tour du territoire, relativement centré sur les capitales régionales et plus globalement sur Arcanith. Par ailleurs, des liaisons maritimes et aériennes permettent des échanges avec d’autre pays et d’autre continents. Les infrastructures portuaires et aéroportuaires sont modernes et capables d'accueillir des navires et avions de toutes tailles, à noter que ce type de transport demeure rare et réservé aux privilégiés dans le territoire métropolitain. Ce réseau de transports performant contribue grandement au dynamisme économique du CIRF en valorisant les échanges commerciaux et les déplacements de la population.

Histoire[modifier | modifier le code]

Histoire du CIRF
Ère Première
-15000 Invention de l'écriture
Ère Antigua
0 mort de Prophea Coeli
Ère Munitum
800 Première invasion barbare
1000 premier château en pierre
Ère du Cap Ricain
1389 Découverte des Terre de Kiororis
Ère Impériale
1665-1689 Directoire et Restauration
1689-1715 2eme République
1715-1799 Premier Ordre
1799 l'Empire

La base du Système de datation arkoulangienne est la date de naissance du Propheta Coeli, le prêcheur venu d’orient. C’est l’an 0.

L’An 800 marque le début de l'Ère Munitum, on voit alors apparaître les débuts des progrès techniques. Puis vient l'Ère du Cap Ricain. La France a alors connu quelques instabilités politiques, en 1515, une Monarchie Directive est mise en place. 1530, les français se révoltent en masse avec ce qui deviendra la révolution cirfienne. Celle-ci se poursuit en 1548, avec la 1re République. En 1665, un grand mouvement traverse l’Arkoulange, l'Ère du Cap Ricain laisse place à l'ère impériale.

Le Directoire se met en place en France, celle-ci devient le CIRF. Lui succède la même année la restauration de la monarchie après 150 ans d’absence. Mais en 1689, le roi Léopold-Edouard 1er de la dynastie d’Arcanith, doit laisser sa place à la 2ème République.

Il est balayé en 1715 par le Premier Ordre, un empire à tendance totalitaire qui verra se succéder deux empereurs jusqu’au coup d’État de Napoléon de Bonnemaison. Celui-ci instaura un empire souverain et prospère. Il est reconnu comme le libérateur de la nation, encore aujourd’hui, en 1990, après deux siècles, 10 empereurs et deux dynasties. Mais depuis la montée au pouvoir de Théodore 1er, en 1966, le CIRF connaît un léger durcissement du régime, toujours sous des apparences resplendissantes.

Politique et Administration[modifier | modifier le code]

Le CIRF est un Empire libéral  (au sens actuel de capitaliste), dont le gouvernement a la forme d'un Grand Conseil impérial. Les fondements de l'organisation politique et administrative actuelle du CIRF furent déterminés par la Constitution Impériale de l'an 1804. Son premier article stipule que l'Empire est indivisible et social.

Le CIRF est fondé sur une base de récompenses et de distinctions dont voici le registre.

A noter que l’Empereur loge au Palais des Thuilleries.

Il est protégé par une branche de l’Armée Impériale, la Garde Impériale, qui lui est totalement dévouée mais aussi à une branche paramilitaire du Parti Impérial, la Protection Particulière (P.P.).

Organisation des Pouvoirs[modifier | modifier le code]

  • L'Empereur Théodore II de Basiléa (depuis le 2 décembre 1980)
  • Grand Électeur Gille de Cazenave (depuis le 4 décembre 1980)
  • Président du Sénat Gérald Larbaletrier (depuis le 1er avril 1983)
  • Président de l'Assemblée Nationale Célestine Faigeray de Puy (depuis le 18 juin 1987)

L’organisation des pouvoirs en France, c'est-à-dire dans l’Empire du Consulat impérial des Républiques Françaises, est régi par la constitution de 1804. Le rôle de chaque institution est cependant défini tant par la pratique observée depuis 1804 que par le texte constitutionnel.

Le pouvoir législatif  “appartient” au Parlement cirfien, formé de deux chambres: l’Assemblée Nationale et le Sénat. La première est la chambre basse du parlement, elle est formée de 571 députés, élus pour cinq ans au suffrage universel direct dans des circonscriptions découpées au sein des départements. Le Sénat est la chambre haute du parlement, formée de 205 sénateurs, possédant le Titre de Pairs du CIRF, nommés à vie par le Grand Conseil Impérial.

Le pouvoir exécutif appartient en premier lieu à l’Empereur du CIRF, qui est le chef de l’État et le chef des armées, il promulgue les lois et peut dissoudre l’Assemblée Nationale. Il nomme les Grandes Dignités de l’Empire qui forme son Grand Conseil Impérial, celui-ci nomme les ministres et donc le gouvernement.

Le pouvoir judiciaire est un peu plus séparé des deux autres, même si l’empereur a un droit de grâce, rarement utilisé, car les magistrats font relativement tout pour convenir à sa majesté. La plus haute juridiction est celle de la Haute Cour Impériale, alliée à celle de la Cour Suprême. En outre, les juridictions sont multiples et spécialisées, le droit cirfien inclut qu’avant un jugement tout suspect est “présumé innocent”.

La conformité des lois à la Constitution, la régularisation des [rares] scrutins, et plus largement, le respect des institutions sont contrôlés par le Conseil Constitutionnel qui commande le CPAI (Commissariat Politique aux Affaires Intérieures)

Gouvernement[modifier | modifier le code]

Théodore II
Titre
Empereur du Consulat Impérial des République Française
En fonction depuis le (43 ans, 6 mois et 19 jours)
Premier ministre Gille de Cazenave
Gouvernement Administration Cazenavienne III
Prédécesseur Théodore 1er
Biographie
Titre complet Empereur
Hymne royal Pour l'Empereur
Dynastie Dynastie des Basiléa
Ère Impériale
Nom de naissance Théodore Charles-Louis de Basiléa
Date de naissance (84 ans)
Lieu de naissance Arcanith (CIRF)
Origine Cirfienne
Nationalité Cirfien
Parti politique Parti Impérial (PI)
Diplômé de Université Suprême de droit d'Arcanith
Langue Français
Religion Théotisme
Résidence Palais des Thuileries
Titre de Grandes Dignités Impériales Titulaire du Titre
Grand Électeur Gille de Cazenave
Archichancelier de l’Empire Armand de Fondchâteau
Archichancelier de l’État Mitsuki-Chan
Architrésorier Djune de Saint-Syr
Connétable Dimir de Selyna
CEMA Général de Papinoir
Ministère Titulaire
Ministère de l'Intérieur Gérald Dampierre
Ministère des Armées Augustin de Belli
Ministère des Affaires Étrangères Aubin de la Daube
Ministère de la Communication Antoine Fouquier-Thonville
Ministère de la Justice Charles-Édouard d'Iblesita
Ministère de la Planification Stratégique et de la Prospective Léon Trudeau
Ministère de la Défense Civile Edmond Lambert
Porte-Parole du Gouvernement Jérémie de Bary
Ministère de l'Education Nationale, et de la jeunesse Sophie de Mansard
Ministère des Sciences Thierry Morand
Ministère de la Culture et de la Religion Olympe Dumoulin
Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance Jean-Baptiste du Dire
Ministère Chargé des Comptes publics Alban de Lammerville
Ministère de la Fonction Publique René Monory
Ministère de l'Innovation et des Technologies Avancées Laëtitia Neri
Ministère chargé du Commerce Extérieur et de l'Attractivité Charles Gavillon
Ministère de l'Industrie Étienne Lantier
Ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion Thierry Breton
Ministère des Petites et Moyennes Entreprises Arsène Prudhomme
Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation Jean Plancher
Ministère de la Planification et du Développement Régional Hyppolyte Veil
Ministère de la Coopération Internationale et de l'Aide au

Développement

Axel Lacan
Ministère des Solidarités et de la Santé Ambroise de Sanelin
Ministère chargé du Tourisme, et de l'Hospitalité Amara Diop
Ministère des Collectivités Territoriales Côme de Colonna
Ministère Chargé de cirfiens de l'étranger Charles d'Éon
Ministère de la Mer Paul Sailor
Ministère de la Réforme Administrative et de la Modernisation

de l'État

Zylar Novax
Ministère de l'Énergie Renouvelable et de l'Utilisation

Rationnelle de l'Énergie

Zephyr Voltz
Ministère de la Transition écologique et de la Biodiversité et

des Transports

Pascale Malarmée
Ministère chargé des Relations avec le parlement et de la

Participation Citoyenne

Antoine de Ferrand-Éclair
Ministère de la Coexistence Aria Flores
Ministère de l'Intégrité et des Migrations Niamh O'Connor
Ministère Chargé de la Mémoire et des Anciens Combattants François Ferrand
Ministère Chargé de la Citoyenneté Antonin de la Colline
Ministère Chargé de la Ville et de la Ruralité Alexandre Sapin
Secrétaire d'État chargé des Affaires Arkoulangiennes Florie-Anne Maurin
Secrétaire d'État Chargé de la Vérité et de la Connaissance Théophile Duret
Secrétaire d'État chargé de l'Éducation prioritaire Arthur Albert
Secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et de l'Engagement Simon Coutelle
Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des

Communications électroniques

Arnaud Moulin
Secrétaire d'État chargé des Personnes handicapées Tristan Frappé
Secrétaire d'État chargé de l'Économie Sociale, solidaire et

Responsable

François Bellecombe
Secrétaire d'État chargé des Retraites et de la Santé au Travail Patrick Nez
Ministre Déléguée aux Comédies et Tragédies Cirfiennes Géraldine de Cyrano

Découpage territorial et décentralisation[modifier | modifier le code]

On distingue d’une part, le CIRF Métropolitain et d’autre part les Régions d’Outre-Mer (ROM), qui sont administrées dans le cadre des règles générales. Les communes, au nombre de 34 en Métropole au 1er Janvier 1987, correspondent généralement au territoire d’une ville ou d’un village; elles sont dirigées par un maire qui choisit le mode de gouvernance de sa commune (conseil municipal, assemblée générale des habitants, etc). Des Grandes Régions sont présentes dans le CIRF Métropolitain; elles sont contrôlées par la Grande Noblesse. Certaines de ces régions ont le statut de Sénéchalance, qui indique que ce sont des territoires appartenant à l’Empereur et seulement administrés par un Sénéchal de l’Empire. Afin d’assurer le bon fonctionnement des Régions de l’Empire, un préfet est nommé en Grand Conseil pour chaque grande région.

Depuis plusieurs années, le CIRF essaye de mener une légère décentralisation, recréant ainsi des grands hubs de transports interconnectés, et pas seulement un hub central à Arcanith.

De plus, les provinces sont découpées en 96 départements, des découpages administratifs qui sont régis par des Préfecteurs (équivalant aux préfets de région mais pour les départements)

CIRF d'Outre Mer[modifier | modifier le code]

Les territoires cirfiens situés en dehors de l'Arkoulange géographique, correspondent aux colonies, ces territoires, dont la situation économique est globalement moins bonne que celle de la métropole, bénéficient de diverses aides et statuts de l'État. L’EP2I est par exemple, une île de la mer Thalassienne, possédant le statut de «Cité-État du CIRF» qui fait qu’elle est soumise à certaines contraintes et lois du CIRF mais est suffisamment indépendante pour avoir un gouvernement indépendant.

En outre le CIRF compte plusieurs colonies, les principales étant celle en Affolque, avec les colonies de Proxima Sol et de Nova Thulé, au sud du CIRF,  avec celle en Aqueménie-Mineur d’Al Maziar et celle de Kiocroris: Forcia et Aurélie, en plus de la polynésie cirfiennes. De plus, le CIRF possède 3 comptoirs de commerce dans le monde, sur une territoire particulier. Les colonies s’étalent sur 4 101 760,44 km².

Enfin, les Territoires Antithuniques (=Antarctique) Cirfien (TAC) qui ne possèdent aucun résident permanent et sont réservés aux expéditions scientifiques sont directement gérées par l'État ou son représentant.

Tendances Politiques, partis et élections[modifier | modifier le code]

Depuis plusieurs décennies, le paysage politique Cirfien évolue beaucoup, la population s’ouvre à la gauche et au centre, après la guerre contre les dictatures communistes.

Assemblée Nationale du CIRF

Xe Législature de l'Empire du CIRF

Présentation
Type Chambre basse
Corps Parlement Cirfien
Création 1548 [et revenu vraiment en 1799]
Lieu Arcanith
Durée du mandat 5 ans
Présidence
Élection 12 et 17 mars 1987
Structure
Couronne Couronne Impériale du CIRF

Palais Lamartin

Finances Publiques[modifier | modifier le code]

Le CIRF est une nation prospère, grâce à son économie florissante et à la stabilité politique qu’elle a connue ces dernières années. Le gouvernement cirfien a mis en place un système fiscal efficace qui permet de financer les dépenses publiques et de maintenir l’équilibre budgétaire. Les principales sources de revenus du pays sont l’industrie manufacturière sophistiquée, le tourisme et les services financiers. Sa monnaie est donc le Ketin (symbole ¤ et de code KE) dérivé dans plusieurs pays. Elle est gérée par la Banque Centrale Cirfienne (B2C). De plus, le CIRF a imposé que la B2C gère toutes les monnaies qui portent le nom de Ketin. La B2C siège à Saint-Martin, au CIRF, et est dirigée par Romuald Chevalier.

Valeur Aperçu Type Masse

(en g)

Couleur dominante Représentation
1 Pièce 1,0 - Aigle
2 Pièce 1,1 - Blason du CIRF
5 Pièce 1,2 - Aigle
10 Billet 0,7 Rouge Blason de l'Empereur
20 Billet 0,8 Bleu Assemblée Nationale
50 Billet 0,9 Orange Sénat
100 Billet 1,0 Jaune Ordre de la Légion d'Honneur
200 Billet 1,1 Vert Palais des Thuilleries
500 Billet 1,2 Violet Théodore II

En plus de cela, le CIRF a également diversifié ses sources de financement établissant des partenariats économiques régionaux. Le pays a également investi dans la recherche et le développement de technologies avancées, en témoigne le projet KULLS, ainsi que dans l’éducation et la formation professionnelle de sa population active pour assurer la croissance économique à long terme. Malgré les défis économiques mondiaux, le CIRF continue d’être un pays stable et prospère, et a une gestion aussi prudente qu’entreprenante des finances publiques.

Défense[modifier | modifier le code]

La CIRF a le premier budget de la Défense au monde, selon les données de l’IRIGE. Elle est la deuxième puissance militaire mondiale, l'un des cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’Organisation des États fédérés.

Elle est l'un des membres de l'Organisation Territoriale Anti-Terroriste (OTAT) où elle dispose du Commandement Allié Interterritorial (CAI), qui est un des deux postes de commandement militaire.

L'Armée cirfienne est l'une des cinq plus dotées financièrement dans le monde et assure l'essentiel des opérations militaires arkoulangiennes, et cela même si le CIRF ne lui consacre que 0,29% de son PIB en 1986 (soit un budget de 86,19 milliards de ketin). Les forces militaires sont divisées en cinq armées principales: l’armée de Terre: la Foldreg, l’Armée de l’Air: l’Atreg, l’Armée de l’Espace: l’Urreg, la Marine Nationale: la Vizreg et l’Armée scientifique: la Tudoreg. L'Armée est devenue professionnelle et le service militaire est obligatoire et mixte. Le CIRF peut donc déployer une capacité d'environ un million d'hommes.

Le pays est par ailleurs le 3e plus gros exportateur mondial d'armement, et est à ce sujet critiqué et mis en cause par plusieurs organisations non gouvernementales pour le rôle que jouent ces armes dans différents conflits internationaux.

Appartenances à des Organisations Internationales[modifier | modifier le code]

Le CIRF est un des cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l'Organisation des États Fédérés (OEF), il y joue un rôle actif en participant aux différentes commissions et en contribuant à l’élaboration de politiques globales et en participant aux opérations de maintien de la paix. Et il participe à la vie de multiples organisations internationales, comme l'Organisation Territoriale Anti-Terroriste (OTAT). Le CIRF est aussi l'un des membres fondateurs de l'Union d'Arkloulange (UA). L’une des politiques extérieures du CIRF est aussi de favoriser le développement des pays sous-développés, il fait ainsi partie de l’Organisation Internationale de Coopération pour le Développement (OICD), mais aussi avec l’OCED, l’organisation de coopération économique et de développement qui est elle destiné aux pays développés.

Politique Étrangères et Diplomatie[modifier | modifier le code]

Depuis le passage du Premier Ordre au CIRF, sa politique étrangère vise surtout à la colonisation. Depuis deux siècles, l’Empire à ainsi accumulé près de 2 millions de km² de colonie qu’elle exploite comme bon lui semble, même si l’esclavage a été interdit il y a une quinzaine d’année.

Néanmoins, le CIRF maintient d’assez bonnes relations avec ses alliés et l’Union Arkoulangienne, cela se traduit par près de 200 ambassades, et de 150 postes répartis sur 5 continents.

Le CIRF est actif dans de nombreux domaines, tels que la sécurité internationale, la coopération économique, la lutte contre le terrorisme, la protection de l’environnement et la promotion des droits de l’Homme. La pays participe à de nombreux sommets internationaux et accueille régulièrement des conférences diplomatiques. L’Empire est également engagé dans la résolution de conflits internationaux et dans la promotion de la paix dans le monde. Le CIRF est membre de l’Organisation des États fédérés (OEF) et participe à des missions de maintien de la paix dans différentes régions du monde. La politique étrangère du CIRF repose également sur la coopération économique et le développement des échanges commerciaux avec les autres pays du monde. Le pays est un acteur important sur la scène internationale en matière de commerce et d'investissement. En somme, le CIRF se positionne comme un acteur majeur de la scène internationale, engagé dans la construction d’un monde plus juste, plus solidaire et plus pacifique.

Symbole Impériaux[modifier | modifier le code]

Selon la Constitution de l'Empire du C.I.R.F. la France possède plusieurs emblèmes, tout d'abord son drapeau, originellement, ces trois bandes (bleue, blanche, et rouge) sont dues à la révolution Cirfienne, qui est recouverte de deux lignes vertes, couleur de l’Empire. Par ailleurs, il y a l’hymne national qui est :“Pour l’Empereur”. Enfin, l'Empire a pour devise: “Paix, Progrès, Prospérité”.

Depuis l'an 1940, le Gouvernement Cirfien s'est doté d'un logotype, rappelant devise et drapeau.


Population et Société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Selon l'Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE), 100 821 620 personnes vivent au CIRF au 1er Janvier 1990 (hors TCOM). Si l’on inclut les 20 741 852 personnes vivant dans les Territoires et Collectivités d’Outre-Mer, l’Empire compte 108 millions de sujets, soit environ 27 % de la population mondiale. Un recensement régulier a été instauré depuis 1940 mais depuis 1960, il s'effectue tous les ans dans les villes de plus de 10 000 habitants, et tous les cinq ans ailleurs.

Justice[modifier | modifier le code]

Au CIRF, il existe plusieurs services de justice distincts: Outre le Conseil Supérieur de la Magistrature qui sert de conseiller au parlement et au Grand Conseil, il existe la Haute Cour impériale qui s’occupe des problèmes d’État et qui tranche certains problèmes législatifs. La Cour Suprême est le dernier recours d’un citoyen, elle peut trancher après que le verdict d’un procès ait déjà été prononcé.

Outre ces hauts tribunaux, il existe plusieurs autre tribunaux du quotidien:

Les Tribunaux Pénaux regroupant Tribunaux de Police, Correctionnel et la Cour d’Assise.

Les Tribunaux de Recours pour que les citoyens puissent contester une décision de justice.

Les Tribunaux Civils réunissant le Prud’Homme et les Tribunaux de Commerces.

Les Tribunaux administratifs avec la Cour Nationale du Droit d’Asile.

Le CIRF compte aussi un Tribunal Suprême indépendant géré par le Commissariat Politique aux Affaires Intérieures (CPAI).

Éducation[modifier | modifier le code]

Au CIRF, l’école publique est dissociée de la religion et gratuite. Si la formation et la rémunération des enseignants, ainsi que le choix des programmes, sont du ressort de l’État, la gestion des établissements scolaires primaires et secondaires revient aux collectivités territoriales. L’instruction est actuellement obligatoire pour les enfants âgés de cinq à quatorze ans.

L’enseignement primaire se déroule en deux phases: l’école maternelle, qui accueille  les très jeunes enfants, se donne pour but leur éveil, leur socialisation et la mise en place des outils fondamentaux que sont le langage et les nombres. Puis, vers l’âge de six ans, les enfants sont accueillis en école élémentaire, dont les premiers objectifs sont l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul, et de l’éducation civique.

L’enseignement secondaire se déroule lui aussi en deux cycles. Le premier est dispensé au collège et aboutit au Diplôme Nationale du Brevet (DNB). Le deuxième est dispensé au lycée et aboutit à des examens finaux et nationaux: le baccalauréat et le certificat d’aptitude professionnelle (dans l’enseignement agricole).

L’Enseignement Supérieur Cirfien présente la particularité de faire cohabiter les universités et le système des Grandes Écoles, où l’on entre généralement par concours à l’issue de classe préparatoire. Tous les diplômes reconnus au CIRF doivent être présents dans le répertoire national des certifications professionnelles.

Depuis l’Empire et la chute du Premier Ordre, l’éducation s’est démocratisée, on observe alors un taux de réussite au baccalauréat d’environ 30% en 1694 contre 87% en 1984 Néanmoins, de fortes inégalités sont présentes. Seuls 10% des enfants d’ouvriers sont diplômés de l’enseignement supérieur contre 77% des enfants de cadres. Inégalités encore plus fortes dans les Grandes écoles, qui ne compte que 0,78% d’enfants d’ouvrier, et encore plus dans l’établissement Pilote Innovant International qui ne compte actuellement qu’un parent ouvrier.

Santé et protection sociale[modifier | modifier le code]

Les Cirfiens disposent d’un système de sécurité sociale afin d’assurer les risques du travail. Elle n’en est pas moins complexe, avec un grand nombre de régimes en fonction des professions.

Médias[modifier | modifier le code]

Dans les dernières décennies, c’est l’Office de la radio-télévision Cirfienne (ORTC), organisation de l’État, qui a le monopole de la radio et de la télévision, depuis la fin de la Guerre, de nouvelles chaînes, plus indépendantes apparaissent, toujours soumises, bien évidemment à l’Office de Sécurité Relatif à l’Information (OSRI). En outre, les journaux papiers restent encore la source d’information la plus répandue, car la plus accessible. On retrouve des journaux officiels comme le Journal de l’Assemblée, ou le Journal Officiel.  Il y a aussi des journaux nationaux tels que l’Impérial, Le Globe, Le Sujet et le Courrier de l’Empereur. Et des journaux régionaux dont les principaux sont Le Fondement de l’Est, La Sénéchalance, Oswal-matin, Neflary Nouvelle. Il y a aussi des journaux satiriques comme l’Oiseau Déchaîné ou Le Canard Droiteux.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et développement humain[modifier | modifier le code]

Le CIRF est un pays qui affiche un indice de développement humain (IDH) très élevé, de 0,903. Cela est dû en grande partie aux politiques gouvernementales qui ont réussi à réduire considérablement l’écart entre les riches et les pauvres. Ainsi, bien que le 1% de la population qui appartient à la grande noblesse collecte 76% des richesses du CIRF, une classe moyenne s'est formée, prenant peu à peu le dessus sur le prolétariat. Les revenus de la population cirfienne sont donc répartis de manière relativement équitable, avec une classe moyenne émergente et une faible proportion de personnes vivant sous le seuil de pauvreté (~2%).

Les principales sources de revenus pour les citoyens du CIRF proviennent de l’industrie, de l’agriculture, des services et du tourisme. l’Industrie est un secteur important de l’économie cirfienne, avec des entreprises innovantes et compétitives dans les secteurs de haute technologie, de la biotechnologie, de la construction navale et de l’armement. L’agriculture est également un secteur important qui produit des cultures telles que le blé ou des fruits ainsi que l’élevage de bétail. A noter, que la production de plantes non issues du continent ou qui ne seraient pas adaptées au climat du CIRF sont peu recommandées.

Le tourisme est un autre secteur économique important, avec de nombreux visiteurs venant du monde entier pour profiter des belles plages, des sites historiques et culturels, et de la gastronomie unique du pays. Les services, tels que les services financiers, les technologies de l’information et de la communication, ainsi que les services de santé et d’éducation, sont également des secteurs en croissance au CIRF. Grâce à cette diversification économique, les sujets du CIRF bénéficient de nombreux emplois bien rémunérés et de bonnes conditions de travail, ce qui contribue à leur bien-être et à leur développement humain.

Emploi[modifier | modifier le code]

L’Emploi est l’une des préoccupations majeures au CIRF, la population active est en constante augmentation. Les autorités ont mis en place plusieurs politiques pour encourager la création d’emplois et soutenir les entreprises locales.

Le taux de chômage au CIRF est relativement faible comparé à d'autres pays de la région, actuellement (1990) le taux de chômage atteint les 5,1%. Cela est dû en partie à la croissance économique élevée que le pays a connu ces dernières années. Le gouvernement a également mis en place des politiques visant à faciliter l’accès des jeunes diplômés au marché de l’emploi. Le CIRF a développé une économie diversifiée qui offre des opportunités d’emploi dans de nombreux secteurs, tels que le tourisme, l’agriculture, l’industrie manufacturière, les technologies de l’information et de la communication, et les services financiers.

Le Gouvernement encourage également l'entreprenariat en offrant des incitations fiscales et en facilitant l’accès au financement pour les petites et moyennes entreprises. Cela a conduit à une forte augmentation du nombre de start-ups et d’entreprises innovantes dans le pays. Cependant, malgré ces politiques et programmes, certains défis persistent en matière d’emploi au CIRF. Le pays fait face à des disparités régionales, avec des taux de chômage plus élevés dans certaines régions du pays. De plus, il y a une pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans certains secteurs, ce qui limite la capacité des entreprises à se développer.

Le gouvernement travaille en collaboration avec les entreprises et les organisations de la société civile pour trouver des solutions à ces défis. Des programmes et des formations professionnelles sont mis en place pour former les travailleurs et améliorer leurs compétences, tandis que des politiques de développement régional sont mises en place pour encourager les investissements dans les zones défavorisées.

En somme, l’emploi est un enjeu important pour le CIRF, et les autorités continuent de travailler à l’amélioration de la situation, tout en offrant des incitations aux entreprises pour encourager la création d’emplois et favoriser la croissance économique du pays. Une des toutes nouvelles politiques du CIRF est que tous les chômeurs valides de moins de 50 ans participent à la réserve militaire, grossissant drastiquement les réserves et effectifs militaires du CIRF.

Place du CIRF dans l'économie Mondiale[modifier | modifier le code]

Le CIRF occupe une place importante dans l’économie mondiale, étant la première puissance économique avec un PIB nominal de 30 000 milliards de kétins. Son économie est principalement basée sur les industries manufacturières sophistiquées, les services financiers et les technologies de pointe. En tant que leader mondial dans ces secteurs, le CIRF est en mesure de rivaliser avec n’importe quelle grandes puissances économiques.

Le CIRF a une monnaie forte et stable: le ketin, une devise d’échange populaire dans le monde, qui connaît ses dérivés partout sur l’Accroposphère, mais surtout qui connaît une banque commune à l’Union Arkoulangienne. Cette monnaie répandue permet au CIRF de jouer un rôle important dans le commerce international. En outre, le gouvernement de l’Empire a mis en place une politique économique favorable à l'investissement ce qui attire les investisseurs étrangers et stimule la croissance économique de l’Empire.

Malgré les défis économiques mondiaux tels que la concurrence accru et les fluctuations des taux de change, le CIRF continue à prospérer grâce à son dynamisme économique et sa capacité à s’adapter aux tendances et aux changements du marché.

Culture[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

Le CIRF possède un patrimoine architectural riche, témoin d’une longue histoire et de la rencontre de différents traits civilisationnels. Les 97 618 bâtiments protégés au titre des monuments historiques comprennent principalement des résidences (nombreux châteaux) et des édifices religieux (Cathédrales, Basiliques, Églises), mais aussi des monuments et des jardins.

Inscrits sur la liste du patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le patrimoine du CIRF est riche et varié, reflétant sa longue histoire et sa culture diversifiée. De nombreux sites ont été classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, témoignant de la richesse du patrimoine cirfien et de son importance pour l’humanité.

Le parc national de la Forêt-Rouge, situé dans les montagnes du nord-est du CIRF, est un des sites classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce parc abrite une forêt dense et diversifiée, ainsi que des espèces animales rares, telles que le léopard du CIRF. Les randonneurs peuvent y découvrir des cascades, des lacs et des grottes, et profiter de vues spectaculaires sur les montagnes environnantes.

La petite ville de Neuryville, n’en est pas moins touristique. En effet, la ville située dans le Deux (20) est célèbre pour ses bâtiments en pierre de taille, tels que l’impressionnante Cathédrale Sainte-Agnès, un chef-d’œuvre d’architecture gothique, ainsi que la majestueuse fontaine de la place de l’Empire. La ville est également connue pour son château royal de Neuryville, un palais Renaissance qui abrite aujourd'hui un musée d’art.

Mais on compte aussi énormément de bâtiments comme la Tour du Lion de Mvouti, un ancien donjon médiéval. Le Palais de la République, un lieu d’histoire de style néoclassique, qui a vu naître la 1re   République. On compte aussi le théâtre Impérial du Palais Xavier, ou la bibliothèque Nationale de Guygrenay (28), ou la Chapelle Angélique

En somme, le patrimoine cirfien classé à l’UNESCO témoigne de la richesse et de la diversité culturelle du pays, ainsi que de sa grande importance pour l’humanité. Ces sites témoignent de l’histoire et de la beauté du CIRF, et doivent être préservés pour les générations futures.

Littérature et Poésie[modifier | modifier le code]

La littérature et la poésie occupent une place importante dans la culture du CIRF. Les écrivains et les poètes de cet empire écrivent sur une grande variété de sujets, allant de la nature et de l’amour à la politique et à la guerre.

L’un des poètes les plus célèbres est Victorine Lemaire, qui a écrit de nombreux poèmes sur la beauté de la nature et l’amour. Son poème le plus célèbre , “La Rose Éternelle”, parle d’une rose qui ne se fane jamais et symbolise l’amour éternel. Un autre poète est Paul Armand, qui a écrit de nombreux poèmes sur les émotions humaines et la condition humaine. Son poème Le Cœur Brisé parle de la douleur de l’amour non réciproque et de la difficulté de guérir d’un cœur brisé.

En plus des poètes, il y a aussi de nombreux écrivains de fiction qui écrivent des romans, des nouvelles et des pièces de théâtre. L’un des écrivains les plus populaires du CIRF est Sophie Bernard, qui a écrit une série de romans d'aventure intitulée “Les chroniques de l'explorateur”. La littérature et la poésie du CIRF reflètent les valeurs de l’empire, notamment la liberté, l’égalité, la justice et la démocratie. Les poètes et les écrivains cirfiens utilisent leur art pour exprimer des idées et des émotions, tout en encourageant la réflexion et la discussion sur des sujets importants.

En somme, la littérature et la poésie du CIRF sont un reflet de la culture et des valeurs de cet empire. Avec des poètes tels que Victorine Lemaire et des écrivaines telles que Sophie Bernard, l’art littéraire continue d’être un aspect important de la vie culturelle du CIRF.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

La Gastronomie du CIRF est une richesse culturelle qui témoigne de la diversité et de l’originalité de ce grand Empire. Elle regorge de mets savoureux et raffinés, alliant les influences culinaires du monde entier.

Les plats traditionnels du CIRF sont élaborés à partir de produits frais et de qualité, soigneusement sélectionnés par les chefs les plus talentueux. Les viandes, les poissons et les fruits de mer sont souvent accompagnés de légumes et d’herbes aromatiques, sublimant ainsi les saveurs et les parfums.

Les spécialités culinaires du CIRF sont également très variées, allant des plats simples et rustiques aux mets les plus sophistiqués. Les fruits tropicaux, les épices exotiques et les herbes fraîches sont souvent utilisés pour parfumer les plats et donner une touche cirfienne unique.

Parmi les plats les plus populaires, on trouve les fameuses boulettes de viande à la sauce tomate, les ragoûts de légumes mijotés, les fruits de mer grillés, les salades fraîches et les plats de pâtes maison. Les desserts sont également une spécialité du CIRF, avec une grande variété de pâtisseries, de biscuits et de gâteaux.

En somme, la gastronomie du CIRF est un véritable trésor, un reflet de la richesse culturelle et de la diversité du peuple de cet empire. Les plats sont préparés avec soin et passion, offrant une expérience culinaire inoubliable pour tous les amoureux de la bonne cuisine.

Philosophie et science[modifier | modifier le code]

Le CIRF possède une riche culture scientifique et philosophique. Les cirfiens sont fiers de leur héritage intellectuel et accordent une grande importance à la recherche et à l’innovation. Les sciences et la philosophie sont considérées comme des piliers fondamentaux de la société cirfienne et jouent un rôle clé dans la vie des gens.

La philosophie est profondément enracinée dans la culture cirfienne. Elle est enseignée à l’école dès le plus jeune âge, et il est fréquent que les familles consacrent du temps à la lecture des grands penseurs cirfiens et à la discussion de leurs idées. La philosophie est considérée comme une discipline pratique qui peut être appliquée à tous les aspects de la vie, depuis les relations personnelles jusqu’aux affaires publiques.

Les sciences sont également un domaine d’excellence au CIRF. Les cirfiens sont fiers de leur tradition scientifique et de leurs réalisations dans des domaines tels que la médecine, la physique, l’astronomie et l’informatique. Les universités du CIRF figurent régulièrement en tête des classements internationaux, et les scientifiques cirfiens sont réputés pour leur rigueur, leur créativité et leur dévouement à l’avancement de la connaissance.

Les scientifiques et les philosophes du CIRF travaillent souvent en étroite collaboration pour résoudre les grands défis de la société. La philosophie fournit un cadre conceptuel pour comprendre les questions éthiques et morales qui surgissent dans les sciences, tandis que les sciences fournissent des données et des méthodes qui peuvent être utilisées pour tester les théories philosophiques. De nombreux projets de recherche au CIRF impliquent des collaborations interdisciplinaires qui favorisent une approche holistique de la connaissance.

Une autre caractéristique importante de la philosophie et des sciences au CIRF est leur engagement envers le pluralisme et la diversité. Les cirfiens considèrent que la recherche de la vérité nécessite une exploration de toutes les perspectives et de toutes les opinions. Ils encouragent le débat et la discussion ouverte, car ils croient que c’est de cette manière que les idées progressent et se développent.

Le CIRF est également un leader mondial en matière d’éducation et de formation en philosophie et en sciences. Les établissements d’enseignement supérieur offrent des programmes d’études de haut niveau dans ces domaines, et les programmes de recherche sont soutenus par des financements publics importants. Les Cirfiens sont fiers de leur héritage intellectuel et travaillent dur pour assurer sa transmission aux générations futures.

En fin de compte, la philosophie et les sciences sont considérées comme des outils essentiels pour comprendre et résoudre les problèmes de la société. Les cirfiens croient que ces disciplines peuvent contribuer à la réalisation des valeurs fondamentales de l’État, telles que la paix, le progrès et la prospérité. Ils sont fiers de leur culture intellectuelle et considèrent que leur engagement envers la recherche et l’innovation les aide à rester à l'avant-garde de la pensée et de l’action.

Influence Internationale[modifier | modifier le code]

Depuis l’air Munitum, le CIRF joue un rôle majeur dans l’histoire artistique, culturelle, intellectuelle et politique du monde. En particulier, dans ses colonies, qui utilisent sa langue, son droit, ses institutions politiques ou encore son système fiscal. La politique culturelle est depuis 1825 un aspect majeur de la politique étrangère du CIRF.

L’Influence culturelle mondiale du CIRF passe notamment par le français, langue d’élite arkoulangienne et de la diplomatie. Parler par 300 millions de personnes, le français est l’une des deux langues de travail de l’OEF et de ses agences, une des trois principales langues de travail de la Commission arkoulangienne. Le CIRF est le membre fondateur principal de l’Organisation Internationale de la francophonie, qui regroupe une centaine de pays (dominion compris) en 1985 et promeut la langue française, ainsi que les valeurs démocratiques (et les droits de l’homme).

La présence culturelle du CIRF est entretenue non seulement par ses représentations diplomatiques, mais aussi par le réseau étendu de l’Alliance Cirfienne et par le millier d’établissements scolaires français à l’étranger.

Code Pays[modifier | modifier le code]

CF, CIRF

Liens Externes[modifier | modifier le code]

Site Officiel

Rapport de l'IRIGE sur le Fonctionnement complet de l'Empire du CIRF

Rapport de l'IRIGE sur le Projet KULLS

Rapport de l'IRIGE sur le Fonctionnement des Ministères Cirfiens

Rapport de l'IRIGE sur le Fonctionnement de la CPAI

Exemplaire du Journal "Le Globe" du 3 mars 1986

Armorial Cirfien