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Utilisateur:Clercin Lemousy Yves/Brouillon

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La véritable origine du scaphandre Carmagnolle


Présentation

Je suis recherchiste archiviste pour la revue En Profondeur, de la Fédération Québécoise des Activités Subaquatiques, Province du Québec, Canada. Wikipédia était la fenêtre médiatique pour vous communiquer, rendre à l'histoire ce qui lui appartient, pourquoi! J'ai bien conscience que ma spécialité , sait la recherche de tous appareils de plongeurs selon les époques. Bien conscient aussi que ma passion touche une minorité de personne, pourtant, aussi sans ces inventeurs, la planète liquide serait peut être au stade de la découverte. D'un coté elle l'est, car les fonds océaniques, les formes de vies les richesses qui dorment encore ne sont pas tous catalogués , décrits, exploités On va y arriver, il nous faut plus de temps , plus d'inventions pour ce monde méconnue de notre planète.

Ce qui me pousse à écrire dans Wikipédia est de savoir que vous allez me lire car le sujet qui touche à la plongée sous-marine est toujours source de curiosité et de savoir. Wikipédia vous accepte sans vous juger sans essayer de rechercher des lauriers, Wikipédia informe ce que presque tous les musées du monde ne font pas, Les musées essayent de soutirer le fruit de vos recherches car pour eux seuls votre travail sur un artéfact les intéressent, la reconnaissance de votre travail est pas une priorité, une preuve, avez-vous vu dans un musée important un panneau de remerciement une portion d'un mur ou le nom des bénévoles chercheurs a été sculpté dans la pierre, le nom des organismes dont les chercheurs font parti! Non! Ceci est dans la politique des musées.(donner -nous votre travail , nous on donne rien) Wikipédia devient une extension de la bibliothèque d'Alexandrie car le savoir doit revenir à l'humanité.Etes vous prêt pour connaitre l'énigme du scaphandre Carmagnolle! qui est au Musée Nationale de la Marine à Paris. Qui est affiché en mentionnent que les frères Carmagnolle sont les inventeurs de ce scaphandre en 1882.

Les vrais inventeurs du scaphandre Carmagnolle

Ce que vous allez lire , a paru dans la revue En Profondeur, page 52 à 53, volume 19, numéro 4 etle volume 20 numéro 1 de la même revue L'histoire du scaphandre du Carmagnolle est une recherche faite sur deux ans, 102 semaines de recherches, du temps plein pour la passion de l'histoire.


Depuis 160 ans , on nomme les frères Carmagnolle Alphone et Théodore Carmagnolle en tant qu'inventeurs de ce scaphandre. Lorsque je me suis penché sur l'identité du véritable inventeur, les deux frères ne furent jamais mentionnés dans les archives maritimes. Et pour cause: ils n'ont jamais été à l'origine de hauts faits dans le milieu maritime. je ne saurais vous dire combien d'archives j'ai fouillées pour mettre le doigr sur un évènement poutr lequel les frères Carmagnolle se seraient fait connaitre. Ainsi, qui donc serait l'inventeur, le fabricant de cette machine cuirassée aus allures médiévales?

D'abord, Marseille

D'irigeons vers la ville d'où est issu le scaphandre. elle est située dans le sud-est de la France et Marseille fait parler d'elle depuis l'époque des Phocéens, colonie grecque qui y jeta son dévolu. ses fondations aux abords de la méditerranée remontent à 600 ans avant Jésus- Christ. sous l'époque romaine, la ville prend le nom de Massilia. au fil des siècles, elle devient un carrefour commercial majeur. Comme dans toute société, les citoyens bâtissent et inventent tout ce qui peut leur servir.

Et le temps coule, comme l'eau. Tranformé en vapeur, ce fluide liquide prend de l'importance à l'époque de la révolution indistrielle, un terme employé beaucoup plus tard pour l'Angleterre. Pour les autres pays du 17e siècle, on parle plutôt d'industrialisation. Le révoltion commerciale et industrielle dure du 18e au 19e siècle. elle exploit la vapeur , qui permet de faire fonctionner des bateaux, des locomotives et toutes autres machines fonctionnant à l'aide de cette source d'énergie.

C'est en forgeant...

C'est vers 1864 que notre histoire commence. Dans un atelier marseillais, le son de l'enclume travaille le métal. La forge ne dérougit pas de la journée afin que , le soir, des pièces de machines s'alignent le long des murs. Les commandes proviennet de divers armateurs du port.

La journée du 9 mars 1864 est marquée par les déposants Poisant Hercule et Baptistin Carmagnolle du 38, rue des Petits-Père à Marseille. Selon le brevet d'invnetion 1BB62403, de 15ans, ils ont la profession de constructeurs pour divers systèmes de joints doublens pour tutaux et autres pièces de machines destinéés à contenir des liquides ou de la vapeur sous des pressions élevées. Le travail ne manque pas: il faut produire afin de compétitionner avec la concurrence.

L'atelier, la taverne et les 188 journaux qui ont vu le jourde 1781 à 1944 dans le départment de Marseille constituent l'antre des nouvelles du port et de tous les problèmes discutés. Ce sont par ces mèmes journaux que les citoyens apprennet qu'en1860, Joseph Cabirol, fabricant d'objet en caoutchouc, réalise un costume de plongée et un masque très proche du modèle anglais de Siebe. la marine impériale adopte son équipement.

Dans le port de Marseille

Les administrateurs du Port de Marseille ont toujours des projets d'agrandissement pour la rentibilité du secteur. ainsi, les quelques plongeurs disponibles ne sont jamais en manque de travail. Cla permet à Thomas Nel, fondeur de son état résidant au 3, quai de Rive-Neuve, de se lancer, en plus des commandes pour la Marine, dans la réparation d'appareils de plongeurs et d'objets en caoutchouc.

En 1865, les travaux sous-marins sont en forte demande, Benoit Auguste Denayrouze crée deux sociétés; l'une nommée Rouquayrol- Denayrouze et l'autre ayant le nom de Société Française de pêche aux éponges pour la méditerannée oriantale. L'innivation est au rendez-vous par l'invention du masque groin, du réservoir d'aire sous-pression, du détendeur débitant à la demande et de la plongée sous-cloche à la pression ambiante.

Batistin Carmagnolle sait détecter dans les ragots qui circulent dans le port ce qui manque aux armateurs: un scaphandre plus performant. Le 1er septembre 1866, le brevet 72764 lui est attribué et est déposé au nom de Baptistin Carmagnolle et Pierre Bonaventure Berlandier pour un scaphandre rigide, articulé, dit aussi appareil plongeur cuirassé à courant d'air libre. Il est retranscrit dans le Catalogue des brevets d,invnetion du 1er janvier au 31 décembre 1866.

Une première épave à renflouer

Nos deux inventeurs deviennent des armateurs et, en 1869, ils ont leur première épave à renflouer: un bâtiment coulé près de l'entrée du port de Cette( qui devient en 1828 Sète), près de Montpeliier, il n'est pas expliqué pourquoi les deux armateurs acceptent ce contrat. il est possible qu'ils aient fait l'offre la moins chère pour le renflouage. Le Gassinois a coulé à 2 milles de distance du port, au sud du phare de Cette. il y a 2,60 (8.5 pied) d'eau au -dessus du mât de misaine.

Carmagnolle et Berlandier doivent faire affaire avec deux autres armateurs, Vaissière et Vidal, qui ne leur apportent que des problèmes. en 1870, ces deux gaillards déposent une plainte contre Carmagnolle et Hermitte au sujet de deux scaphandres qui devaient plonger sur l'épave Gassinois ayant à bord un chargement de rails pour les trins.il a été prouvé que les deux scaphandres avaient été loués par Carmagnolle et Hermitte, transportés sur le lieu du nauffrage par le bateau à vapeur à bord de la Tartane La Providence, Ce bateau à voile de 25 m (82 pied) de long.

En 1873, l'affaire est classée et , si l'histoire ne le dit pas, on peut supposer que le Gassinois a été déchargé de son chargement, puis retiré de l'entrée du port de Cette.

Un autre brevet

Deux ans plus tard, en page 290 du Catalogue des brevets d'invention du 1er janvier au 31 décembre 1873, un brevet de 15 ans est émis le 21 octobre à Carmagnolle, résidant au 11, boulevard Demandolx, à la Madrague en banlieue de Marseille. il concerne un appareil plongeur dit scaphandre à circulation d'air dans toutes les parties et avec armure métallique permettant de descendre à grande profondeur. Remarquez que les deux frères Carmagnolle Alphonse et Théodore Carmagnolle, fils de Baptistin, ne sont jamais mentionnés.

Le 20 janvier 1878, Carmagnolle et Berlandier obtiennent un brevet de 15 ans pour perfectionnement aux scaphandres. La notice paraÎt dans le Bulletin des lois deuxième trimestre 1879, en page 636.

En 1882 , une partie du brevet déposé soi-disant par les frères alphonse et Théodore Carmagnolle a parvouru l'histoire. Depuis 139 ans, il a été mentionné qu'ils sont les inventeurs du scaphandre Carmagnolle. Or aucun registre dans ce temps écoulé n'expose un travail professionel des deux frères. On peut supposer que leur père Baptistin ait demandé qu'ils entreprennent la rédaction du brevet, déposé le 20 décembre 1882.

Un vol de brevet

Dans l'après-midi de cette même journée, à 14h21, Baptistin Carmagnolle dépose une plainte verbale concernant les auteurs, qui se proclament l'inventeur de ce scaphandre.

Dans le port de Marseille, on raconte..

Les premières navigations à vapeur furent réalisées en 1783. Vers 1800-1890, cette intensité maritime prit son essor et finit par détrônerles vaisseaux à voiles. Le port de Marsesille se prêtait à toutes discutions lorsque de nouveaux bateau arrivaient, la cale pleine de marchandises. c'était un lieu d'arrêt pour quelques réparations, surtout lorsque les bateaux fonctionnaient à la voile et à la vapeur.

De discution en discution, on apprenait qui était l'artisan en chaudronnerie, pour qui chaudières et tuyaux n'avaient plus de secret. Vers 1864, au fil des conversations , on revenait en tout temps au manque d'un scaphandre qui permettrait de descendre au-delà des 40 mètres( 131 pied), car les tempêtes ballotaient les navires et quelques marchandises se retrouvaient par -dessus- bord.


Un premier brevet

Ces échanges de nouvelles poussèrent Batistin Carmagnolle et Pierre bonaventure Berlandier à retourner à leur plache à dessin. Le 1er septembre 1866, on leur accorda le brevet no 1Bb72764 de 15 ans pour un appareil plongeur dit <<scaphandre cuirassé à courant d'air libre>> L'office européen des brevets ne le possédait pas, mais il fut inscrit dans le catalogue des brevets d'invention de 1er janvier au 31 décembre 1866, avec la mention selon laquelle Carmagnolle et Berlandier ont élaboré l'idée d'un scaphandre rigide et articulé dit aussi <<appareil plongeur dit scaphandre cuirassé>> Ce qui est sûr, c'est que ce scaphandre ne fut pas construit.

Droit de propriété contestés

De 1869 à 1871 nos deux inventeurs furent pris avec la justice. ils durent défendre leurs droits de propriété pour l'épave du Gassinois, qui transportait des rails pour l'usage des trains , et pour deux scaphandres loués et transportés sur le bateau à vapeur Livourne afin d'être pris en charge par le Province, un bateau à voiles d'une vingtaine de mêtres de long. Vaissière et Vidal, deux filous qui s'étaient convertis pour le sauvetages des navires, clamaient que les deux scaphandres étaient leurs propriété.

Deux autres brevets

Deux ans plus tard, le Catalogue des brevets d'envention du 1er janvier au 31 décembre 1873(page 290) prolongeait de 15ans pour Carmagnolle, résidant à La Madrague, prês de Marseille, un appareil plongeur dit<<scaphandre à circulation d'air dont toutes les parties et à armure métallique permettait de descendre à grande profondeur>>

Le 20 janvier 1878, le Bulletin des lois du 2e trimestre de 1879 (p.636) mentionnait Carmagnolle et Berlandier pour un dépôt de demande de brevet pour perfectionnement aux scaphandres. Au cours de cette même année, nos deux inventeurs étaient mentionnés dans le Commisioners of Patents Journal du 8 février 1878 pour le brevet Improvements in diving apparatus.

Un essais en mer

Près de 149 ans sont passés depuis et plusieurs réponses aux questions formulées sur le scaphandre demeurent en suspens. Par exemple: ce scaphandre était-il étanche? a t'il subi un essai en mer? ou a t'il était construit?

J'ai découvert toutes les réponses dans la Revues des revues, un receuil des articles ayant paru dans les revues françaises et étrangères(no du 15 novembre 1895 p. 349-355) Et puisqu'une information ne vient jamais seule, il y aussi le journal Le Bon Citoyen de Tarare et du Rhône du 23 décembre 1900, qui a publié un article sur l'essai du scaphandre à vide par William Augustus Gorman.

Dans un article paru dans la revue londonienne The Strand Magazine d'octobre 1895 (p.392-402, on lit qu'il y a une quizaine d'années (soit vers 1880, le grand entrepreneur se sondage et d'explorations sous-marines William Gorman reçut la visite d'un français nommé Carmagnolle, qui lui déclara d'un air triomphant qu'il avait inventé une nouvelle espèce de scaphandre à l'aide duquel un plongeur pourrait travailler sous l'eau à des profondeurs de 100 mètres( 328 pieds) et plus. M. Gorman résolut d'expérimenter immédiatement la valeur de l'invention, qui consistait en un vêtement de plaques d'acier, réunies et articulées comme une carapace de homard. Le scaphandre fut fabriqué par une célèbre armurier de Paris, Gastine renette, qui mit 12 mois à exécuter ce costume, qui ne côuta pas moins de 600 livres sterling( soit 15 000 frans anciens).

Dès que le scaphandre fut terminé, M. Gorman, accompagné d'un plongeur, nolisa à Marseille un navire spécial et gagna le large à 64 ou 96 km. Cependant, au dernier moment, le plongeur refusa d'expérimenter l'appareil, alléguant un peu tard comme excuse qu'il avait femme et enfants à nourrir. Toutefois, William Gorman ne voulut pas que cette côuteuse expérience demeure complètement stérile et il résolut d'essayer l'appareil à vide. On le descendit donc à 100 mètres(328 pieds) après un quart d'heure d'immersion, on le remonta à bord et on constata non sans surprise que , malgè l'effroyable pression, l'appareil n'avait pas laissé pénétrer une goutte d'eau.

Vol de propriété de brevet

que se passa t'il pour que les frères Théodore et Alphonse Carmagnolle, fils de Baptistin, déposent une demande de brevet en stipulant, le 20 décembre 1882, que le scaphandre de leur père était leur invention? Et pour que Baptistin dépose une plainte verbale la même journée, à 12h21.

L'histoire tient pour acquis que le brevet no 152761 des frères Carmagnolle est leur réalisation, sans considérer que les frères ne peuvent apporter à leur crédit une quelconque expérience pour le milieu maritime et qu'ils n'ont aucune connaissance pour construire un scaphandre. Pour la curiosité des lecteurs et lectrices, la description du scaphandre pouvait alors se lire dans Description des Machines et Procédés pour lesquels des brevets d'invention ont été pris sous le régime de la loi du 5 juillet 1844:année 1882(tome XLIV, Marine et Navigation p. 30-31).

Faisant fi de la plainte, les deux frères Carmagnolle firent enregistrer la Société Générale de Sauvetage et Travaux Sous-Marins , qui aurait pour objet d'entreprendre toute opération de sauvetage maritime et fluvial et tous travaux sous-marins:

. De ce livrer à la pêche aux huitres et autres, aux coraux, aux éponges et toutes productions sous-marines

. De faire toutes expériences et démonstrations au moyen des appareils qui deviendront sa propriété et notamment du scaphandre etc.

. Le capital social a été fixé à 200 000 francs ancien.

Cefut une ruine total pour les deux frères et leurs associés.

L'histoire ne serait pas complète si je ne parlais pas d'Adrien Karl dit Carmagnolle, peitit fils de Baptistin . Dans la revue populaire illustrée la science française du 8 maars 1891(p.230-234) Adrien Karl mentionne que<< M. Carmagnolle de Marseille a construit une cuirasse résistante et imperméable souple dans ses articulations sous n'importe quelle pression>> Ce qu'il faut remarquer c'est qu'il n,écrit pas mon oncle Alphonse et mon père Théodore, mais plutôt M. Carmagnolle.

Grâce à son talent de dessinateur, Adrien Karl aurait fait la fierté de son grand-père, décédé le 16 décembre 1889 à 64 ans. en 1904 , le nom d'Adrien Karl fut mentionné dans le catalogue illustré pour l'Exposition Internationale de 1885-1886 pour des pastels et aquarelles en noir et blanc. il y figurait des croquis de différentes bâtissesde la ville de Clermont-Ferrand.

En 1905, la dame Zélie-Mélanie bourgeois, veuve de Théodore Carmagnolle et mère de Karl Adrien, devint propriétaire du brevet d'invention de 15 ans par M. Carmagnolle dit Karl du 10 septembre 1903.

Rectifier les faits

Le musée National de la Marine à Paris ne possède aucune donnée concernant le don fait du scaphandre par Bernard Piel en 1934. Il fut le fils de Renée Piel, constructeur de scaphandres qui succéda à son père Charles Petit en 1940.

La revue Illstration publia en 1939 un énorme livre de 606 pages et comprenant 1341 illustrtions, dont j'ai un exemplaire. en page 359, deux scaphandres historiques, celui de Marseille et celui de Carmagnolle y sont illustrés, le scaphandre de Marseille a une similitude au niveau des articulations, ce qui laissait penser que l'inventeur de ce scaphandre devait connaitre Baptistin Carmagnolle.

Pour clore cet article, ce ne serait que justice que d'afficher sur le cartouche mural du scaphandre de Carmagnolle situé au Musée National de la Marine à Paris , le nom du véritable inventeur du scaphandre, car ou est l'attrait d'exposer un scaphandre si celui-ci ne raconte pas sa véritable histoire?Et de citer le nom du chercheur et son organisme, Québec Subaquatique.

Dans tous textes écrits par les musés ou les médias approchés, beaucoup de chercheurs bénévoles sur tous les continents travaillent dans l'ombre et ne sont jamais honorés comme il se doit. Rendons- leurs hommage.



Si vous avez aimé de lire ce qui ne fut jamais écrit, la véracité sur le scaphandre Carmagnolle devait être rendu à l'histoire et seul Wikipédia pouvait vous l'offrir. mon prochain article portera sur le scaphandre de Marseille petit frère du Carmargnolle.

Notes et Références:

http://Gallica.bnf.fr

The Strand Magazine, vol.10 no 58, october 1895, p. 392-402

http://archive.org/détails/ StrandMagazine 58/page/n31/mode/ zup

Livre: Histoire de la Marine, édité par L'illustration, 13, rueSaint-Georges, Paris 1939

Le Bon citoyen de Tarare et du Rhône. Supplément littéraire illustré 1896-1904(scaphandre Carmagnolle ) https://gallica.bnf.fr

1905/03/24 (A37,N82). page 1920, https://gallica.bnf.fr

Journal du Palais (Paris) 1801-1923 page 1159 https://gallica.bnf.fr

#9 - Catalogue des brevets d’invention. 1873. - Vue complète | Bibliothèque numérique HathiTrust page

#300 - Catalogue des brevets d’invention. 1873. - Vue complète | Bibliothèque numérique HathiTrust page 290

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Journal des commissaires aux brevets[modifier | modifier le code]

Grande-Bretagne. Office des brevets

1878

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