Utilisateur:Benji Franklin05/Brouillon
L'économie planifiée au XIXe siècle
[modifier | modifier le code]L'économie de plan
[modifier | modifier le code]Le but primaire de la planification d'une économie, étant la maximisation de la production de biens et services et de leurs distribution, soit gracieusement offerte, soit en se référant à des critères prédéfinis ou à l'aide d'une monnaie d'échange de valeur équivalente sur le marché[1] a faillit dans plusieurs sociétés d'Europe et d'Asie de l'Est au cours du XIXe siècle. Un système économique produit toutefois des relations entre l'homme, la production et la distribution, ce que Marx appelait "rapport de production"[2]. L'économie de marché ou le capitalisme permet à ceux qui en ont les moyens de s'approprier les biens produits, mais laissent les personnes sans moyens d'échanges dans un état d'incapacité de satisfaire leurs besoins. Le socialisme ou l'économie planifiée souhaite abolir le marché et la propriété privée aux sens larges[3].Les régimes communistes se sont vite vus établir leurs limites concernant la nature du régime et la tâche considérable qu'est de planifier la production et la distribution de millions de biens pour opérer une économie d'une société entière[4]. Dans l'économie soviétique durant le XXe siècle, le travail devient souvent obligatoire et, durant le règne de l'URSS, se déplacer librement dans le pays ou à l'étranger était difficile[5].
Conséquences de l'implantation du communisme dans certains régimes politiques.
[modifier | modifier le code]Un gouvernement centralisé a démontré historiquement, dans certains cas, que ses dirigeants ont le désir de tout contrôler et de priver les agents économiques de leur liberté de commercer pour que le gouvernement soit la source de dépendance principale de tous[6]. De ce fait, l'État monopolise la violence, c'est-à-dire la police et les forces armées nationales, pour établir l'ordre et assurer la subordination et la coopération des citoyens[7]. Le Goulag, établit sour le règne de Joseph Staline (1929-1953), en est un exemple radical pour illustrer une démonstration de puissance d'une dictature. Les détenteurs de pouvoir sont en mesure de réprimer la démocratie en censurant des diffusions journalistiques[8] ou en ignorant les élections tel que l'a fait le parti Bolchevik de Lénine, alors qu'il avait été élu en minorité[9]. De nos jours, même après l'effondrement de l'URSS, plusieurs régimes communistes persistent tels que la République populaire de Chine, La Corée du Nord, Cuba et le Viêt Nam.
- Philippe Frémeaux, « Pourquoi l'économie planifiée s'est écroulée: », Alternatives Économiques, vol. n°286, no 12, , p. 82–82 (ISSN 0247-3739, DOI 10.3917/ae.286.0082, lire en ligne, consulté le )
- Frédéric Monferrand, « Jacques Bidet, L’État-monde. Libéralisme, socialisme et communisme à l’échelle globale. Refondation du marxisme », Terrains/Théories, no 2, (ISSN 2427-9188, DOI 10.4000/teth.329, lire en ligne, consulté le )
- Philippe Frémeaux, « Pourquoi l'économie planifiée s'est écroulée: », Alternatives Économiques, vol. n°286, no 12, , p. 82–82 (ISSN 0247-3739, DOI 10.3917/ae.286.0082, lire en ligne, consulté le )
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- « Web Login Service », sur auth.collecto.ca (consulté le )
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- (en) « What Are the Origins of Communism? », sur World101 from the Council on Foreign Relations (consulté le )