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Premières années

José José est le fils aîné de José Sosa Esquivel, célèbre ténor d'opéra et de la pianiste classique Margarita Ortiz. Il s'initie à la chanson au début des années 50, en participant au choeur de son école et en chantant dans les fêtes scolaires. Plus tard, il apprend à jouer de la guitare tout en continuant son éducation. Son père n'acceptant aucune "musique populaire" à la maison, cela permet à José d'acquérir tout de même une vaste culture musicale, au moyen de la musique sacrée et de l'opéra. Quand son père abandonne le foyer en mars 1963, José forme un trio musical avec son cousin Paco Ortiz et son ami Alfredo Benítez. Cela marque le début de sa carrière de chanteur, à l'âge de 15 ans.

Après quelques contretemps, il obtient en 1965 un contrat pour enregistrer un premier 45 tours avec la maison de disques Orfeón. Ce disque, qui contient les thèmes Il Mondo (Le Monde) de Jimmy Fontana et Ma vie d'Alain Barrière, est présenté dans l'émission de télévision parrainée par cette même maison de disques ("Orfeón a Go-Go"). Cette émission, où l'on découvre José sous le pseudonyme de "Pepe Sosa", marque ses réels débuts professionnels. Le disque n'est pas beaucoup promu et ne convainc pas. José commence alors à jouer de la contrebasse dans un autre trio de jazz et de bossa nova nommé "Los PEG"( avec Gilberto Sánchez y Enrique Herrera pour partenaires). Avec ce groupe, il débute le 21 mars 1966 au club "Café Sémíramis". La suite est faite de hauts et de bas, le groupe n'étant pas engagé de manière continue dans ce club. Suivent plusieurs passages dans d'autres clubs et en 1967 le compositeur et producteur Rúben Fuentes remarque José dans les locaux de "Apache 14". Grâce à lui, il obtient un contrat avec la filiale mexicaine de la compagnie de disques RCA Victor (aujourd'hui Sony-BMG).

Pour que les débuts soient effectifs, la signature du contrat impose une condition : l'arrêt des représentations en club de nuit, pendant plusieurs mois. C'est une décision très dure pour José. Ces représentations sont l'unique source de revenus pour sa famille et lui.

La única condición para la firma del nuevo contrato, consistía en que para que el lanzamiento surtiera efecto, debía dejar de presentarse en centros nocturnos, durante varios meses. Esa fue una decisión muy dura para José, cuyo único sustento y el de su familia, provenía precisamente de esas presentaciones

Biographie

José naît dans une famille de musiciens: son père, José Sosa Esquivel, est un ténor d'opéra et sa mère Margarita Ortiz, est une pianiste classique. Ils n'ont jamais atteint relative grand succès, et quand José commence à s'intéresser au chant, ils tentent de le décourager, en faisant valoir qu'elle était trop difficile à réussir dans le show-business. Son père était un alcoolique chanteur qui n'a pas accepter quoi que ce soit dans sa maison, mais l'opéra et la musique classique. Quand son père quitte le foyer, en mars 1963, quand il avait quinze ans, son père a quitté la maison, le forçant à travailler et aider sa mère et son jeune frère. Il a appris des techniques de chant et a commencé à jouer de la guitare, basse et claviers.

José a poursuivi ses tentatives pour devenir un chanteur. Par son adolescence, il avait lancé sa carrière avec les sérénades. Puis il a commencé à chanter et jouer de la basse et la contrebasse avec un groupe de jazz bossa nova appelé "Los Peg". Ses principales influences sont, entre autres Frank Sinatra et Johnny Mathis. Ils ont joué la plupart du temps dans les boîtes de nuit et l'ouverture de festivals de jazz local. Il a signé un contrat de deux simples, libérant les chansons "El Mundo" et "Ma Vie", sans succès. Il est retourné à sérénades et de jouer avec son groupe dans les boîtes de nuit.

Les années 70 et les premiers succès

Los años 70 y los primeros éxitos

Durante toda la década de los 70, siguió colocándose en el gusto del público latinoamericano con canciones como Es que te quiero, Vive, El Príncipe y Todo es amor, entre otras. Debido a uno de esos temas se le bautiza como "El Príncipe de la canción". En abril de 1970 viaja a Los Angeles, California a recibir su primer Disco de Oro.

Durant toute la décennie des années 70, José José se maintient dans les goûts musicaux du public latinoaméricain avec, entre autres chansons, Es que te quiero, Vive, Todo es amor et El Príncipe. On le surnomme "El Príncipe de la canción" (le prince de la chanson) en raison de ce dernier titre. En avril 1970, il se rend à Los Angeles, pour y recevoir son premier disque d'or.

La rápida llegada de la fama y el éxito le hacen caer en el alcoholismo. Gracias a su madre, que lo hizo internar en un centro de adicciones, supera este trance difícil, retomando en 1971 su actividad. Incursiona en la actuación con la película Buscando una sonrisa, que es el nombre del álbum que graba en consecuencia. Graba las películas "Un Sueño de Amor" con Verónica Castro y "La Carrera del Millón" con Nadia Milton, cerrando así su paso por el cine de los 70's. Mientras tanto, su disquera RCA Victor ya no lo apoya como antes por lo que José José no renueva su contrato.

Mais l'accession rapide au succès et à la célébrité le font sombrer dans l'alcoolisme. Grâce à sa mère, qui le fait interner dans un centre de désintoxication, il se sort de cette période difficile et reprend son activité en 1971. Il s'essaie alors au cinéma dans le film Buscando una sonrisa enregistrant par conséquent un albunm homonyme. Il joue aussi dans les films Un Sueño de Amor avec Verónica Castro et La Carrera del Millón avec Nadia Milton. Pendant ce temps, sa maison de disques RCA Victor ne le soutient plus comme avant, c'est pourquoi il n'y renouvelle pas son contrat.

En 1977 firma contrato con una nueva disquera Ariola (cuyo catálogo hoy forma parte de Sony-BMG) que recién iniciaba operaciones en México. Con esta nueva empresa, se consagra con la producción Reencuentro (1977), de la cual se convierten en éxitos temas como Gavilán o paloma, Buenos días, amor y El amar y el querer, con la cual obtiene discos de Oro y de Platino, en lo que fue su primer trabajo con el productor español Rafael Pérez Botija. Lo mismo ocurrió con sus álbumes Volcán (1978) y Lo pasado, pasado (1979), en el cual se incluyen algunos temas del cantante y compositor Juan Gabriel, así como el tema Almohada de Adán Torres de Nicaragua y los éxitos: Si me dejas ahora, "Donde vas" e "Insaciable amante", del español Camilo Sesto. Más tarde, el catálogo de sus obras con RCA Víctor se fusiona con el de Ariola, al realizarse la compra de las operaciones disqueras de ambas empresas por parte de la transnacional BMG, años después.

Références

   * 4 Los años 80, la consolidación como "El Príncipe de la canción"
   * 5 Los años 90, declive, alcoholismo y posteriores problemas de voz
   * 6 El siglo XXI
   * 7 Trascendencia artística
         o 7.1 Voz y estilo
   * 8 Vida personal
   * 9 Estado de salud
   * 10 Discos de Oro y Platino por su popularidad en carrera
   * 11 Premios y nominaciones
   * 12 Sus contribuciones
   * 13 Discografía
   * 14 Bibliografía
   * 15 Filmes
   * 16 Programas de televisión
   * 17 Premios y nominaciones
         o 17.1 Premios TVyNovelas
   * 18 Referencias