Temple afro-brésilien
Apparence
Les temples afro-brésiliens, communément appelé terreiros (du latin terrarium), comme les jardins et maisons de candomblé, les Batuque (pt), les tentes ou centres d'Umbanda, sont les lieux de culte de la plupart des religions afro-brésiliennes. Au Brésil, c'est dans ces édifices qu'ont lieu les services cérémoniels et les offrandes aux orixás[1].
Depuis 1975, le gouvernement brésilien protège les terreiros contre tout type de transformation matérielle ou immatérielle. Et depuis 2007, les adeptes du terreiro ont aussi été officiellement reconnus comme peuple traditionnel, s'inscrivant dans la politique de développement durable des communautés traditionnelles (PNPCT).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (pt) Yaracylda Farias Coimet, Dicionário das manifestações folclóricas de Pernambuco : com ilustrações, 354 palavras e expressões, Recife, Editora Universitária UFPE, (ISBN 978-85-7315-359-0, lire en ligne), p. 166
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (pt) Vagner Gonçalves da Silva, Candomblé & Umbanda : Caminhos da Devoção Brasileira, São Paulo, (1re éd. 1994) (lire en ligne), p. 98
Liens externes
[modifier | modifier le code]- (pt) Danutta Rodrigues, « G1 lista terreiros de candomblé na BA e dá dicas para frequentar templos » [« Répertoire des terreiros de Candomblé de Bahia et conseils pour fréquenter les temples »], sur g1.globo.com,