Symphonie no 4 de Berwald

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Sinfonie naïve

Symphonie no 4 en mi bémol majeur
Naïve
Image illustrative de l’article Symphonie no 4 de Berwald

Genre Symphonie
Nb. de mouvements 4
Musique Franz Berwald
Durée approximative 30 minutes
Dates de composition 1845
Création
Stockholm
Interprètes dirigée par Ludvig Norman

La Symphonie no 4 en mi bémol majeur dite naïve est la dernière symphonie composée en 1845, par le suédois Franz Berwald.

Mouvement[modifier | modifier le code]

L'œuvre comprend quatre mouvements et son exécution demande environ une demi-heure :

  1. Allegro risoluto
  2. Adagio
  3. Scherzo : Allegro molto
  4. Finale: Allegro vivace

Histoire[modifier | modifier le code]

Elle est achevée en avril 1845, soit moins d'un mois après celle de sa troisième symphonie. Berwald voulut la faire jouer à Paris sous la direction de François Auber, mais cela ne put avoir lieu[1].

Comme pour les deuxième et troisième symphonies, la quatrième ne fut créée qu'après la mort du compositeur. Elle eut lieu à Stockholm le , dirigée par Ludvig Norman lors d'un concert donné pour le dixième anniversaire de sa mort.

Analyse[modifier | modifier le code]

Le sous-titre naïve, donné par le compositeur, était probablement dans le but de souligner la simplicité de la pièce, qui retourne à la structure classique à quatre mouvements, inutilisée depuis sa première symphonie.

Allegro risoluto[modifier | modifier le code]

Le premier mouvement, rapide, est de forme sonate.

Adagio[modifier | modifier le code]

Le second mouvement, lent, fait appel à la tonalité de ré majeur et utilise un thème déjà élaboré dans son poème symphonique de 1844 : Noces rustiques.

Scherzo: Allegro molto[modifier | modifier le code]

Le scherzo, entrecoupé d'un trio en mi bémol majeur, est en si bémol majeur.

Finale: Allegro vivace[modifier | modifier le code]

Le dernier mouvement, mouvement rapide est un rondo.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Livret de l'enregistrement de l'intégrale des symphonies de Berwald par Thomas Dausgaard (Brillant classics).

Sources[modifier | modifier le code]

  • Notes d'Alain Cochard dans le livret Naxos 8.553052

Liens externes[modifier | modifier le code]