Ryu Mi-yong
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Nom dans la langue maternelle |
류미영 |
| Romanisation révisée |
Ryu Mi-yeong |
| McCune-Reischauer |
Ryu Miyŏng |
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activité | |
| Conjoint | |
| Enfant |
Choe In-guk (d) |
| Parti politique | |
|---|---|
| Distinctions |
Ryu Mi-yong (kr:류미영), née le en Mandchourie et morte le à Pyongyang[1] d'un cancer du poumon[2], est une femme politique nord-coréenne. Elle a dirigé le parti Chondogyo-Chong-u en Corée du Nord.
Biographie[modifier | modifier le code]
Ryu Mi-yong a quitté la maison parentale à l'âge de 16 ans et s'est mariée une première fois. Après la partition de la Corée, elle s'installe d'abord en Corée du Sud. Son deuxième mari, Choe Dok-sin, était un officier et un homme politique. Il a été ministre des affaires étrangères de 1961 à 1963 puis le dirigeant du mouvement religieux du Cheondogyo. Elle émigre aux États-Unis en 1977 avec son mari où ils demandent l'asile. En 1986, ils déménagent en Corée du Nord et son époux prend la direction du Parti Chondogyo-Chong-u. À sa mort, en 1989, elle reprend la présidence du comité central de ce parti. Elle est également membre de l'assemblée populaire suprême. En 2000, elle a conduit une délégation officielle de transfuges à Séoul pour une rencontre avec leurs familles laissées au Sud[3].
Références[modifier | modifier le code]
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Ryu Mi-yong » (voir la liste des auteurs).
- (en)« S. Korea allows son of late N.K. official to visit Pyongyang » sur english.yonhapnews.co.kr, consulté le 25 novembre 2016
- (en) « Ryu Mi Yong (1921-2016) », sur North Korea Leadership Watch, (consulté le )
- (en) « Ryu Mi-yong -- Representitive of Chongdogyo in North Korean. », Korea Times, 16 août 2000.
(en) David Rennie, « Dictator's model citizens cannot hide grief at split », The Daily Telegraph, 16 août 2000.
Lien externe[modifier | modifier le code]
- Ryu Mi-yong, « Une heureuse nonagénaire », Corée, .
