Rue Auguste-Polissard

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Rue Auguste-Polissard
Image illustrative de l’article Rue Auguste-Polissard
La rue de la Croix, aujourd'hui la rue Polissard, au carrefour de la Croix et de la route nationale 3
Situation
Coordonnées 48° 54′ 16″ nord, 2° 28′ 49″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Bondy
Début Avenue du Général-Galliéni
Fin Rue Jules-Guesde
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Rue de la Croix
Rue Lacroix
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Auguste-Polissard
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue Auguste-Polissard

La rue Auguste-Polissard, est une voie de communication de Bondy, proche de son centre historique[1],[2].

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Venant du nord par la route d'Aulnay qui franchit le canal de l'Ourcq sur le pont d'Aulnay, cette rue suit le tracé de la route départementale 41. Elle coupe notamment la rue Arthur-Rimbaud et l'allée Anne-Frank.

Son extremité sud, au carrefour de la rue Jules-Guesde, est dans l'axe de la rue Roger-Salengro, qui mène à la gare de Bondy.

Outre son tracé principal, elle présente la particularité de s'étendre sur plusieurs branches autour de la crèche De Lattre De Tassigny.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue.

Cette voie de communication s'appelait autrefois rue de la Croix[3], d'un arbre situé à cet endroit, appelé Orme de la Croix[4]. Le nouveau nom de cette rue a été choisi en hommage à Augustin Claude Étienne Polissard, maire de la ville de Bondy, de 1860 à 1873.

Historique[modifier | modifier le code]

C'est dans cette rue que le , vers 21 heures, fut abattu Joseph Le Berre, résistant FTP-F.F.I., lors d'une attaque d’éléments de l’armée allemande qui assuraient la protection des convois en retraite sur la route nationale 3[5].

En 1994, des fouilles archéologiques ont mis au jour dans cette rue, une fosse contenant des céramiques sigillées de l'Argonne, et des murs du Bas Moyen-Age[6].

En 2004, ont été découvertes les sépultures de treize individus datant de l'époque carolingienne.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]