Portail:Chambéry/Section:lumiere sur/2

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Exemple d'un article lumière sur ...[modifier le code]

   Benoît de Boigne[modifier le code]

   Un grand militaire...

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Benoît Leborgne, plus connu sous le nom de général-comte de Boigne, né le 24 mars 1751 à Chambéry et mort, dans sa ville natale, le 21 juin 1830, est un aventurier et militaire savoyard qui fit fortune aux Indes. À son retour en Savoie, il fut également nommé président du Conseil général du département du Mont-Blanc par l'empereur français Napoléon Ier.
Fils de petits commerçants, il fit une carrière militaire. Formé au sein de régiments européens, il rencontra le succès en Inde en se mettant au service de Mahâdâjî Sindhia, qui règne sur l'empire marathe. Il exerça également des activités commerciales et administratives.
Après une vie mouvementée, Benoît de Boigne revint en Europe, d'abord en Angleterre où il se remaria avec une émigrée française après avoir répudié sa première épouse d'origine persane, puis en France à Paris durant le Consulat, et enfin en Savoie. Devenu notable, il consacra la fin de sa vie à des œuvres de bienfaisance au profit de Chambéry. Le roi de Piémont-Sardaigne lui attribua le titre de comte.
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   Jean-Jacques Rousseau[modifier le code]

   Un grand philosophe...

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Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française. La vie de Jean-Jacques Rousseau est une vie d'indépendance et d'instabilité. Il quitte d'abord Genève à seize ans pour la Savoie où il se forme en autodidacte chez Mme de Warens avant de gagner Paris en 1742 pensant faire carrière dans la musique.
Il mène alors une existence difficile, cherchant divers protecteurs et vivant avec Thérèse Levasseur qui lui donnera cinq enfants, abandonnés à l'Assistance Publique. Dans le même temps il rencontre Diderot et écrit des articles sur la musique pour l'Encyclopédie. Il participe à l'esprit des Lumières par son rejet des régimes autocratiques, mais il s'en distingue notamment quant à l'idée que le siècle serait un heureux siècle de fer et de progrès comme chez Voltaire.
Entretenant de façon générale des relations interpersonnelles difficiles, il se réfugie plusieurs fois dans la solitude séjournant de nouveau en Suisse en 1762 après la condamnation de ses ouvrages par le Parlement de Paris. Il entreprend alors d'écrire son autobiographie pour se justifier et multiplie les lieux de résidence.
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