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Hasselblad 500 C/M

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Hasselblad 500 C/M
Image illustrative de l'article Hasselblad 500 C/M
Deux Hasselblad 500 C/M, à gauche en version chromée et à droite en version noire.

Type Reflex
Format de pellicule 120 ou 220
Format d'image 6x6 ou 645
Objectif Interchangeable à obturateur central
Monture porte-objectifs Hasselblad V
Obturateur Central
Temps de pose De 1s à 1/500s
Synchro flash 1/200s
Modes de mesure Non
Viseur Interchangeable
Mise au point Manuelle
Compteur de vues 12, 18, 24 ou 70
Dos A12, A16 ou A70
Dimensions (l × h × p) 90 x 93 x 77mm
Poids 1430g

Le Hasselblad 500 C/M est un appareil photo argentique moyen format fabriqué par la firme Hasselblad entre 1970[1] et 1994[2]. Il vient remplacer le Hasselblad 500 C, en apportant quelques modifications mineures . La principale différence entre le C/M et le C est la possibilité de changer rapidement le verre de visée[3].

Modularité[modifier | modifier le code]

La série 500 de Hasselblad dont fait partie le 500 C/M est connue pour sa modularité extrême : on peut sans souci échanger l'objectif, le dos, le viseur ou bien même choisir à sa préférence la manette d'armement du boîtier[4].

Cette modularité a été pendant très longtemps le cheval de bataille de Hasselblad, jusqu'à l'arrêt de la production de la série 500, en 2006[5]. En 2024, Hasselblad sort le CFV 100C, un dos numérique de 100 mégapixels, utilisable sur les appareils de la série 500[6]. La version précédente, le CFV 50C, de 50 millions de pixels, proposait également ce montage[7].

Caractéristiques techniques[modifier | modifier le code]

Le Hasselblad 500 C/M est un appareil argentique moyen format capable de délivrer des négatifs en 2 formats différents : le 6x6 et le 645, en utilisant respectivement les dos A12[8] et A70 pour le 6x6 et A16 pour le 645. L'appareil est utilisable avec des pellicules 120 (Dos A12 et A16) et 70mm (Dos A70[9]).

La caractéristique principale de la série 500 est l'utilisation d'un obturateur central (En anglais leaf shutter), qui implique sa présence dans les optiques[10]. On retrouve le réglage de la vitesse d'obturation ainsi que celui de l'ouverture sur l'objectif, et non pas sur le boîtier comme habituellement.

Le 500 C/M est donc davantage une boîte sur laquelle on ajoute des accessoires à sa guise, à l'instar des caméras RED.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en-US) « 500 Series », sur www.hasselblad.com (consulté le )
  2. (en-US) Aaron Stennett, « An Overview of the Hasselblad 500 Series (V System) », sur Casual Photophile, (consulté le )
  3. « Eric Constantineau, photographe », sur www.ericconstantineau.com (consulté le )
  4. dudeoi, « Test Hasselblad 500 C/M », sur DUDE OI, (consulté le )
  5. « Hasselblad Historical - concise tabulated history of camera models », sur www.hasselbladhistorical.eu (consulté le )
  6. (en-US) « 907X & CFV 100C », sur www.hasselblad.com (consulté le )
  7. (en-US) « 907X & CFV II 50C », sur www.hasselblad.com (consulté le )
  8. (en) Ken Rockwell, « Hasselblad A12 » Accès libre, sur kenrockwell.com (consulté le )
  9. « galerie-photo - forum galerie-photo - mais qu'est ce qu'un dos hasselblad 70 ??? », sur www.galerie-photo.org (consulté le )
  10. « obturateur », sur www.servicecamerapro.com (consulté le )