Edoardo Tresoldi
Edoardo Tresoldi né à Cambiago dans la province de Milan en 1987[1] est un sculpteur scénographe italien qui vit et travaille à Rome[2].
Biographie [modifier | modifier le code]
Edoardo Tresoldi étudie pendant un an l'architecture et le design à l'École polytechnique de Milan[3]. Depuis 2013, il construit des sculptures et des structures en murs dans des espaces publics, travaillant pour des institutions, des projets d'art public, des festivals de musique, du cinéma et du théâtre[3]. Il utilise le treillis métallique à la fois doux et rigide, suggestif et réaliste[3].
Il est influencé par le pop art Arte Povera[4],[5]. Il a reconstitué la basilique paléochrétienne Santa Maria de Siponto, frazione de Manfredonia[6] dans les Pouilles en Italie, elle est composée de 4 500 mètres carrés de fil de fer et pèse près de sept tonnes[7],[8],[9]. Forbes le classe parmi les personnages de moins de trente ans « plus influents au monde »[10].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Le plasticien Edoardo Tresoldi tresse le souvenir d’une basilique - Zone Franche », sur Zone Franche, (consulté le 13 avril 2017).
- « Sculptures par Edoardo Tresoldi », sur Journal du Design, (consulté le 13 avril 2017).
- (en) « Edoardo Tresoldi », sur forbes.com (consulté le 5 avril 2017).
- (en) « Le gabbie-scultura di Tresoldi, giganti trasparenti e luminosi », sur D - la Repubblica (consulté le 13 mai 2016)
- (it) « light, camera, action! - Edoardo Tresoldi - Met Wire Sculptures »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Collateral, (consulté le 13 mai 2016)
- (it) Servizio sistemi informativi e statistica Comune di Manfredonia, « Basilica di Siponto l'opera di Edoardo Tresoldi », sur comune.manfredonia.fg.it (consulté le 13 avril 2017).
- Alix Fieux, « Une basilique romane reprend vie grâce à du fil de fer », sur immobilier.lefigaro.fr, (consulté le 5 avril 2017).
- (en) « Artist Edoardo Tresoldi creates a phantom church in Italy's Puglia », sur cnn.com, (consulté le 5 avril 2017).
- (en) Tomo Taka, « Artist Edoardo Tresoldi creates a phantom basilica in Italy’s Puglia »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur thespaces.com, (consulté le 5 avril 2017).
- (it) Emilia Giorgi, « Edoardo Tresoldi, l'uomo che ha stregato il mondo (e Forbes) con le sue cattedrali metalliche », sur Repubblica.it, (consulté le 15 mai 2017).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (en) Site officiel
- (it) tags sur le Corriere della Sera [1]
- (it) tags sur La Repubblica [2]
- (de) « Basilica di Siponto in Foggia. Lichter Kirchenbau von Eduardo Tresoldi », sur db deutsche bauzeitung, (consulté le 13 avril 2017).