Discussion utilisateur:Emetham

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L'utilisateur Emetham salue très cordialement les contributeurs qui voudront bien entrer en discussion sur ses contributions voire l'inviter à examiner leurs propres travaux.--Emetham (d) 22 septembre 2012 à 14:27 (CEST)[répondre]

Dernier avertissement avant blocage[modifier le code]

Malgré les avertissements reçus sur les pages de discussion de vos différentes adresses IP vous persister à écrire des paragraphe incompréhensibles sur diverses pages. Ceci s'apparente à une désorganisationde l'encylcopédie ce qui n'est pas admis. Cordialement. --'toff [discut.] 2 novembre 2012 à 13:51 (CET)[répondre]

Icône de blocage

Bonjour Emetham,

Vous n'avez pas tenu compte des messages que nous vous avons adressés.

En conséquence, un administrateur vous a bloqué pour une durée de 3 jours.
Passé ce délai, vous pourrez à nouveau écrire régulièrement sur Wikipédia.

Ce blocage est effectif sur l’ensemble des pages de Wikipédia, excepté votre page de discussion.

Si vous estimez ce blocage injustifié, ajoutez le texte {{Déblocage}} suivi de vos arguments sur cette page, en-dessous du présent message. Vous pouvez aussi, si vous disposez d’un compte utilisateur et avez fourni dans vos préférences une adresse de courriel authentifiée, envoyer un message à l’administrateur vous ayant bloqué, ou à n’importe quel administrateur de cette liste.

Vous avez été largement prévenu mais persévérez dans votre comportement, la création de Administrateur:Ditidoubleyooti (d · h · j · ) est le pompon. Merci d'arrêter de prendre Wikipédia pour un terrain de jeu ou un hébergeur de page personnelle, sinon vous serez définitivement bloqué. Cordialement. –Akeron (d) 2 novembre 2012 à 14:23 (CET)[répondre]

Finalement Kimdime vous a bloqué pour une durée indéfinie sans possibilité de demander un déblocage. –Akeron (d) 2 novembre 2012 à 17:13 (CET)[répondre]
Cher Akéron, j'ignore qui a pu prendre Wikipédia pour un terrain de jeu. Il est clair que ceux qui veulent jouer avec un tel instrument n'auront jamais la simplicité de l'avouer. Ce qui est vrai par contre, est que les enjeux de la connaissance que permet Wikipédia posent des problèmes bien plus vaste qu'il n'y parait au premier abord. Face à cette réalité-là, un utilisateur un peu neuf peut aisément apparaître comme superficiel aux autres, rompus à toutes les astuces de l'instrument. Par ailleurs, un utilisateur venant de tout ailleurs que la pratique quotidienne de cet instrument peut justement avoir conscience d'une manière plus aigüe que d'autres - vivant dans la routine - des écueils d'une telle aventure et souhaiter mettre à l'épreuve les organes administratifs et régulateurs sur certains des points sensibles très particuliers à l'heure que nous vivons, où, dans certains cadres imprévus, les masques vont tomber. Et justement, Wikipédia privilégie le pseudo d'une manière peut-être kafkaïenne! Je dirais. Wikipédia c'est la Bibliothèque de José Luis Borgès, c'est-à-dire l'infini. Or justement, les règles déontologiques liées au copyright usuel de l'édition papier exigent des prises de responsabilités précises face à un statut normal d'auteur, des responsabilités précises aussi des éditeurs. Mais aussi, face à la transformation continue de la société et du domaine de l'édition, de nouvelles règles sont à inventer. Bousculer un peu ces cadres-là sert donc à découvrir qui a les reins assez solides pour pouvoir assumer des responsabilités plus délicates dans un univers en mutation. Comment, de l'infini des possibles en arriver à l'utile, à l' idoine nécessaire non pour aujourd'hui mais pour la modification qui est en train de se produire et qui sera effective demain, dans trois jours ou dans sept ans: voilà la question qui me fait accepter avec plaisir de voir mon accès à Wikipédia bloqué pour trois jours, c'est même le signe que cela bouge enfin. A la limite, j'ai terminé mon intervention et d'autres vont pouvoir paufiner les détails de ce que j'ai imaginés dans la foulée d'un Arrêt définitif prononcé par le Tribunal fédéral en date du 22 octobre 2012. Emetham-Ditidoubleyooti, --89.217.8.199 (d) 5 novembre 2012 à 11:15 (CET)[répondre]

Messe à double choeur a capella[modifier le code]

Modèle:Wikiprojet/Chartreuse de la Part-Dieu Modèle:Article Arthur Honegger/Frank Martin/Messe à double-choeur a capella — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Emetham (discuter)

Les commanditaires de l'ouvrage[modifier le code]

La composition de l'oeuvre résulte des circonstances de la session d'improvisation et de composition organisée du 25 février au 28 avril 1921 pour la composition de l'oratorio Le Roi David pour lequel Ernest Ansermet et Igor Stravinky avaient pu accepter de plaider en faveur Arthur Honegger. Cette session était placée sous l'autorité du Colonel de l'Armée du Salut Ulysse Cosandey, en relation avec le décès du ténor italien Enrico Caruso. L'homme de Dieu offrit la bénédiction divine pour une "Série" de douze dédicaces en date du 23 mars 1921, ce qui peut supposer en parallèle la composition d'une autre partition absolument conforme aux règles du dodécaphonisme, avec distribution des marques de signature des passages sous la forme d'une note de musique (gamme diatonique), par exemple la fameuse Echelle de Jacob d'Arnold Schoenberg. Cette bénédiction était assurée par les circonstances particulières du quatrième anniversaire de la naissance de Dinu Lipatti, le 19 mars 1917. Le décès de ce dernier, le 2 décembre 1950, fixe le moment ou la commandite de l'oeuvre est parvenue à totale complétude au plan logique.

L'idée d'une telle commandite résulte de la démarche préalable d'Adolf Hitler présentant à son parti sa démission en date du 30 mars : l'une des trois grâces, possibles commanditrices de la Messe, devait être mise à part. Le 17 avril 1921, la présentation à Neuchâtel de la Messe solennelle de Ludwig van Beethoven sous la direction de Paul Benner à l'aide d'un programme délivrant les noms de la totalité des choristes impliqués dans l'événement nous permet de remarquer en ce contexte l'intervention possible d'Albert de Pury, déjà en cause en 1867 aux Ponts-de-Martel nous permettant d'évoquer ici sa possible soeur, telle que l'une des trois grâces requises. Le 4 décembre 1921, trois ans après le décès de l'épouse d'un pasteur de la Paroisse de La Chaux-de-Fonds, le Grand-Temple de cette cité des Montagnes neuchâteloises était inauguré après reconstruction, créant les conditions dans lesquelles une seconde grâce fut placée de sorte à justifier le Miserere d'Aubert et engager la réunion d'un double-choeur. Le talent de cantatrice de cette dernière déterminait d'ores et déjà son rôle moteur dans la session qui pouvait être dès lors agendée. L'une et l'autre de ces deux grâces pouvaient présumer reçue la démission présentée.

Les dés se révélant jetés à Munich en novembre 1923 lors du putch de la Brasserie, Adolf Hitler étant en conséquence condamné, l'identification de la troisième grâce pouvait dès lors coïncider avec la définition ferme d'une commandite de l'oeuvre, mais aussi l'accomplissement entier du destin du Führer en Allemagne. Vu la problématique de la "démission non recevable", il y eut une Guerre sur l'Orient. La principale contribution nécessaire à mettre toute la clarté nécessaire relative à cette guerre-là fut celle - rédigée dans le vif des événemnts - de l'ancien ministre des Affaires Etrangères de Roumanie (ancien Ministre de Roumanie à Moscou), Grégoire Gafenco[1]. De cet ouvrage peut résulter l'expression formelle d'une commandite.

  1. Grégoire Gafenco, Préliminaires de la Guerre à l'Est - De l'accord de Moscou (21 août 1939) aux hostilités en Russie (22 juin 1941); Librairie de l'Université de Fribourg, Egloff, Fribourg, 1944.


Modèle:Mise en lumière: Pâques 2013 - (Jean-Paul II Im Lande)/ Cendres et Pâques 2014 - (30 avril 2011, Rome avec mantille)