Discussion:Zoonose

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Mulot sylvestre[modifier le code]

Notification Effeile : Je doute que le mulot sylvestre soit un micro-invertébré. Jean Marcotte (discuter) 11 juin 2015 à 19:19 (CEST)[répondre]

Refonte de l'article[modifier le code]

Bonjour, en travaillant sur l'article épizootie, je suis remonté à l'article zoonose et je me suis attaqué à la refonte de celui-ci. La version précédente pêchait - amha - sur les définitions (confuses) et sur un certain nombre de paragraphes non sourcés, franco-centrés ou digressifs (révélant notamment une certaine obsession pour les tiques). J'espère n'avoir fait de peine à personne et avoir contribué à l'amélioration de l'article. Il y a encore pas mal de choses à faire évoluer pour le rendre " de qualité ". --Jpda (discuter) 20 juillet 2015 à 10:03 (CEST)[répondre]

Suppression de paragraphes non sourcés[modifier le code]

Les paragraphes ci-dessous sont absolument sans source (et l'obsession de la tique s'y confirme (en gras)). Je serais assez partisan de les supprimer tout en les gardant dans la PDD au cas où quelqu'un trouve des refs. Sans opposition sur la PDD, je procéderai à la suppression dans les jours qui viennent.

Connaissance encore partielle[modifier le code]

La connaissance des zoonoses est encore très lacunaire.

Par exemple, 1400 virus pathogènes sont répertoriés chez l'homme, et 1000 chez les espèces domestiques, mais il en existe probablement bien plus dans la faune sauvage, et certains d'entre eux (grippe par exemple) présentent de nombreux variants et créent constamment et naturellement des souches mutantes. Certains agents mutagènes pourraient aussi faciliter l'apparition de certaines mutations et renforcer le risque nosocomial.
Une récente étude sur les virus de la faune sauvage africaine a identifiée plus de 39 nouveaux virus chez des animaux domestiques, dont 11 chez des oiseaux. Il en existe sans doute bien plus dans la faune sauvage.

Des problèmes sont posés par le manque de naturalistes systématiciens ; Par exemple, les tiques sont réputées être le principal vecteur d'une trentaine de maladies, souvent graves, mais l'enquête de Cuisance et Rioux (2004) a montré qu'il n'existait en 2003 plus que deux spécialistes en systématique des tiques en France (partis à la retraite depuis), mais dans le même temps de nouvelles méthodes (biologie moléculaire, système d'information géographique... surtout) facilitent les études, pour certains groupes et facteurs biologiques, et pour les acteurs qui ont les moyens financiers, techniques et scientifiques d'y accéder (NOTE : ça sent le vécu).

Zoonoses et espèces (« vectrices » ou « réservoirs ») introduites[modifier le code]

Nombre de zoonoses peuvent voir leur aire d'endémie s'élargir par les introductions d'espèces, volontaires ou involontaires. Par exemple, le tamia de sibérie (Tamias sibiricus) récemment introduit en France dans plusieurs forêts suburbaines étant souvent trouvé porteur de nombreuses tiques, il a été étudié de ce point de vue en 2007. L'étude a confirmé que ces tamias portent en moyenne beaucoup plus de tiques que les autres espèces, et notamment plus de larves et de nymphes que le campagnol roussâtre (Myodes glareolus) ou le mulot sylvestre (Apodemus sylvaticus) qui sont les deux autres espèces-réservoir de borrélies connues et qui - de par leur mode de vie - sont pourtant théoriquement plus exposés aux tiques que les tamias. Ces tamias étaient en outre beaucoup plus souvent infectés par les borrélies : 61 % des tamias étudiés en 2007 étaient infectés (et jusqu'à 80 % au mois de juin) contre quelques % dans les autres espèces (REFERENCES ?) --Jpda (discuter) 20 juillet 2015 à 12:16 (CEST)[répondre]

Suppression d'un paragraphe incompréhensible[modifier le code]

Bonjour, je ne sais plus quand ce paragraphe (ci-dessous) est apparu dans l'article ni qui y a contribué, mais, même après une relecture attentive, il reste incompréhensible, obéré de fautes de syntaxe et d'orthographe et inutile en l'état. Sauf avis contraire sur PDD, je me propose de le supprimer sous une semaine. Merci de vos éventuels commentaires --Jpda (discuter) 10 novembre 2016 à 08:35 (CET)[répondre]

Modèles écoépidémiologiques
Ils sont utile pour l'évaluation du risque et les systèmes d'alerte précoce. Les zoonoses émergentes doivent passer de petites chaînes de transmission à des chaînes de transmission intense et à grande échelle. Cette transition peut nécessiter une conjonction de nombreux facteurs ne nécessite pas nécessairement que le système où se développera le microbe soit supercritique. La modélisation du risque d'émergence est complexe. Le calcul du temps nécessaire à une première grande flambée épidémiologique, puis à une situation de type pandémique est très complexe, et de type stochastique. Il peut considérer l'émergence comme une bifurcation dynamique vers un système devenant supercritique.

Exclusion ou inclusion des expériences de laboratoire[modifier le code]

J'ai constaté une incohérence entre les pages anglaise et française de Wikipedia concernant la définition de la zoonose.

La page française exclut explicitement les expériences de laboratoire : "Sont exclues du champ des zoonoses les maladies non infectieuses causées par des animaux (envenimations, allergies), les maladies infectieuses transmises artificiellement d'une espèce à l'autre (études de laboratoire) et celles qui sont transmises passivement par des produits d'origine animale"

La page anglaise (https://en.wikipedia.org/wiki/Zoonosis#Causes) les inclut explicitement: "Zoonotic transmission can occur in any context in which there is contact with or consumption of animals, animal products, or animal derivatives. This can occur in a companionistic (pets), economic (farming, trade, butchering, etc.), predatory (hunting, butchering or consuming wild game) or research context."

Est-il possible d'évaluer les arguments en faveur de l'une ou l'autre définition, et d'assurer la cohérence entre les deux pages ?

--Jacques van Helden (discuter) 25 avril 2021 à 05:34 (CEST)[répondre]