Discussion:Trou noir stellaire

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J'ai modifié en profondeur l'article. Je l'ai déromantiser à la hache, si je puis dire... Beaucoup d'âneries et d'imprécisions factuelles. J'aime pas enlever des paragraphes entiers, mais par exemple dire «Lorsque l'étoile est compressée au point de dépasser son rayon de Schwarzschild,», ca n'a pas de sens. Une étoile n'est pas «compressée», elle s'effondre. Le rayon de Schwarzschild est quant à lui l'horizon final du trou noir une fois celui-ci formé, et dépend principalement de la masse qui fut emprisonnée au moment de la formation. Ainsi, l'étoile de «dépasse» pas sont rayon de Schwarzschild. Le coup du halo, je n'en ai jamais entendu parler. Si les trous noirs émettaient de la lumière comme ça, même faible, pendant un temps, on n'aurait pas autent de peine à les trouver! J'ai virer auss les «stades critiques» puisque c'est de la romantisation, et même dans l'article on ne comprenait pas bien à quoi ça faisait allusion.

Plus ca va, plus ca empire. Je cite: «À ce moment du processus de contraction», l'idée même de « moment » n'existe plus (ah bon?) : le temps étant lié à l'espace, et l'espace étant en théorie courbé à l'infini (le temps et l'espace sont une seule et même chose en relativité génèrale, l'espace-temps, les deux courbés), les concepts physiques de temps, d'antériorité, d'espace et de gravité (oula, non non, l'antériorité a été mis à mal par la relativité restreinte, mais tout ça est encore bien réel) ne sont plus en adéquation avec la définition de la physique mathématique (ah bon? et comment on fait pour comprendre cela, alors?! c'est bien la physique mathématique qui a découvert ces possibilités). Pourtant, c'est en partant de la réalité expérimentale que l'on aboutit à cet infini théorique, ce qui montre que la singularité du trou noir, si elle est envisagée avec les seuls outils présentés jusqu'alors, est un paradoxe de la pensée rationnelle (non! le paradoxe est d'avoir un objet qui a un horizon auquel notre physique s'arrête, tandis qu'on peut encore mesurer sa masse, sont rayon etc...). De façon simple, l'effondrement gravitationnel introduit une discontinuité dans l'espace-temps défini par Einstein. Cependant, le phénomène n'est pas exclusif à la théorie relativiste : c'est la loi de gravitation universelle qui se trouve mise en difficulté. L'étude des trous noirs stellaires a été féconde dans le domaine de la quantification et en topologie (ah bon?...); les théories actuellement avancées pour tenter de dépasser (entre autre) ce paradoxe sont la théorie des supercordes, la théorie d'un univers replié... (je savais pas que les supercordes s'occupaient de trous noirs, en plus ca n'a rien à faire ici, et je savais pas que c'était un univers replié, et c'est quoi «replié»???) -- Cédric 19 mars 2006 à 20:10 (CET)[répondre]