Discussion:Stéphan Lévy-Kuentz

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Il faudrait changer le tire de l'entrée "Stéphen Levy-Kuentz" en "Stéphan Lévy-Kuentz". Discussion Utilisateur:Spiessens 29 décembre 2007

Citations[modifier le code]

J'ai posé un bandeau "à recycler" car l'accumulation d'extraits de critiques n'a pas un caractère encyclopédique. --Ange Gabriel (d) 14 mai 2012 à 09:28 (CEST)[répondre]

En attente[modifier le code]

  • Citations non sourcées et non ancrées à un livre :
PRESSE LITTERAIRE
  • Poids de ses mots ai-je dit, ce qui ne veut pas dire prose pesante tant son essai a l'élan et l'aisance d'un texte littéraire. Jacques Henric Art press
  • Il n'est jamais aisé d'être le premier à parler d'une œuvre, surtout lorsqu'elle est aussi déconcertante que celle de Slocombe. Stéphan Lévy-Kuentz a relevé le défi avec brio et pertinence. Roland Jaccard
  • Et si Deleuze dit que la femme n'est pas femme par nature mais qu'elle doit le devenir, Lévy-Kuentz montre à quel point le fasciste est justement une force d'inertie, un non-devenir ensommeillé et alourdi par la bêtise. Finalement Lévy-Kuentz donne à lire une définition du fascisme qui se passe de commentaire tant elle est sobre et puissante. Lea Bismuth (art press)
  • Une cartographie des objets du désir traitée avec esprit et dotée d'une iconographie élégante. Nathalie Dray (Les Inrockuptibles)
  • Stéphan Lévy-Kuentz fait partie de ces intellectuels discrets et exigeants. Fin connaisseur d'art, il prolonge ses recherches esthétiques d'une réflexion singulière sur une sorte de politique des sentiments dont ce court et pénétrant roman trace les contours. Cédric Bru (Les obsédés textuels, 2006)
  • Stéphane Lévy-Kuentz par une écriture aiguisée comme on les aime - clinique, poétique, nostalgique, à la morosité solide et au désespoir énergique, évoquant autant Blanchot que Duras - fait revivre à l’occasion du souvenir des adieux de Brassens à Bobino, la profondeur humaine du poète et de sa marquèterie de mots. Belle performance d’être aussi prêt de l’os, de nous mettre au pied de la scène, émus de redécouvrir ce sourire qui cachait les détresses, car même sous la cendre palpitent les cœurs purs. (Les Obsédés Textuels, 2012)

TEXTE non paru :

  • C’est assurément une fort bonne idée que d’écrire une anthologie des ismes, c’est-à-dire des mots français à suffixe -isme. Mais précisément, Stéphan Lévy-Kuentz, dans le titre de son livre, écrit « isme » sans trait d’union qui le rattacherait à un radical, et il le fait même précéder de l’article défini (pluriel), comme tout nom commun en français : « Les ismes ». (…) C’est pourquoi cet ouvrage, dont pourtant l’auteur se souciait fort peu, doit-on présumer, de faire œuvre de linguiste professionnel, apporte, pour commencer par ce trait, une contribution tout à fait pertinente…aux recherches en linguistique ! (…) Mais c’est à un autre titre encore que ce livre a beaucoup pour intéresser. Il nous montre, en effet, tous les enseignements que l’on peut tirer de l’examen de ce qui ne semble être qu’un petit suffixe. (…) Une troisième raison de l’intérêt de cette anthologie réside dans le fait que le mot « isme » est doué de multiples sens, alors même que les outils grammaticaux sont caractérisés, par opposition aux mots du vocabulaire, par le fait de n’avoir, très souvent, qu’un sens (…) C’était plus qu’il n’en fallait pour me convaincre d’écrire cette préface. Claude Hagège, Collège de France, (extrait) 2013.


Ai réorganisé la page, ajouter des sources, des notes, etc., supprimé les homonymies, typo lessivée également. --Spiessens (d) 7 mai 2013 à 19:23 (CEST)[répondre]