Discussion:Sergueï Paradjanov

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Nationalité et URSS[modifier le code]

Oups ! Je vois que mes dernières modifications de la page ont provoqué un petit conflit. Désolé. A mon sens :

  • On ne choisit pas sa nationalité. Elle est arbitrairement attribuée par l'Etat.
  • Par contre, une personnalité peut très bien épouser plusieurs cultures (nationales) au cours de sa vie (voire même renoncer à la culture de ses parents). C'est son droit.
  • Seule la nationalité doit apparaître dans l'infobox.
  • Les cultures choisies doivent apparaitre dans le corps de la page.
  • Les personnalités nées et mortes durant l'URSS sont de nationalité soviétique.
  • Les personnalités nées en URSS et mortes après ont une double nationalité.

Est-ce que cette approche convient à tous ? --Mielle gris (d) 6 mai 2008 à 10:34 (CEST)[répondre]

Cinéma de poésie[modifier le code]

Le "cinéma de poésie" est l'objet d'un article de Pasolini célèbre, mais contrairement à l'idée reçue, Pasolini opte quant à lui pour un "cinéma de prose" et se révèle très critique dans cet article sur le "cinéma de poésie" (Godard, Antonioni), qualifié d'expression bourgeoise à travers l'usage du discours indirect livre. C'est un contresens fréquent, dû au bonheur de l'expression. Quant à l'influence de Pasolini sur Paradjanov, elle est sans doute tardive et dès lors peu pertinente. Qu'a-t-il pu voir exactement ? "L'Évangile selon saint Matthieu". Quoi d'autre ? Parler d'influence de Pasolini sur Paradjanov me semble excessif. En revanche, on sait que Pasolini a pu voir à Rome "les Chevaux de feu" (1964). Le sujet est complexe et mérite encore des recherches. Personnellement, je serais favorable à ne pas parler d'influence de Pasolini sur Paradjanov. Admiration de Paradjanov vis-à-vis de Pasolini, certes. Mais influence non.

Serguei Paradjanov, le rebelle[modifier le code]

Bonjour à tous, bravo pour l'article sur Paradjanov. Dans la filmographie sur Paradjanov, il faudrait faire rajouter le documentaire réalisé par Patrick Cazals en 2004, Serguei Paradjanov, le rebelle, pour les films du Horla. Cazals a rencontré Paradjanov à plusieurs reprises et son film doit être mentionné. Il est un de ceux qui ont largement contribué à sauver et à faire connaître l'oeuvre de l'artiste. Salutations à tous, Marie-Claude Cherqui