Discussion:Sécurité par l'obscurité

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Exemples de Langages Internes[modifier le code]

Au-delà du PL/360, on peut citer LP70 (pour l'Iris80), ou à un niveau plus symbolique : l'Extended Algol pour les Burroughs 5500 et suivants ; LIS pour la CII ; Cybil pour Control Data.

Dans un cadre plus applicatif, Tektronix a longtemps fourni des bibliothèques graphiques Fortran pour ses terminaux sous des systèmes divers -- ce qui semblait un travail considérable. En fait, Tektronix avait développé une bibliothèque générique en Mortran, un macro-langage interne produisant du Fortran. Produire une nouvelle bibliothèque supposait simplement une nouvelle génération, exploitant une liste de paramètres spécifiques au système visé.

Les langages internes peuvent être vus à la fois comme facteur d'efficacité s'ils sont bien spécifiés, et facteur de sécurité s'ils ne sont pas diffusés.

Paradoxe Ada[modifier le code]

Ce langage, conçu à la demande du Pentagone pour sécuriser la programmation des systèmes missiles et anti-missiles, devait être secret mais imposé aux fournisseurs et sous-traitants les plus divers des USA puis de l'OTAN (d'où l'abandon de LTR v3) aux labos universitaires associés etc... si bien qu'en 1989 des informaticiens russes se demandaient s'ils devaient l'apprendre.

Lf69100 (discuter) 7 mars 2014 à 01:28 (CET)[répondre]