Discussion:Roger Vitrac

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Vitrac à la radio[modifier le code]

Dans les réserves de l'INA (Institut national de l'audiovisuel), il existe l'unique entretien radiophonique de Roger Vitrac réalisé par Georges Charbonnier en 1952. --Arcane17 28 octobre 2007 à 12:30 (CET)

Maison familiale à Souillac[modifier le code]

Je transfère le message ci-dessous, déposé sur ma page de discussion, pour que les informations concernant Vitrac soient rassemblées ici. Hadrianus (d) 26 octobre 2023 à 03:20 (CEST)[répondre]

« Bonjour Hadrianus,

Je me permets de vous écrire ce message ayant lu que vous seriez le contributeur du texte qui attire mon attention sur la page dédiée à Roger Vitrac.

Vous indiquez qu'il aurait vécu, enfant, au 57 rue Nationale, aujourd'hui boulevard Louis Jean Malvy à Souillac. Or ledit boulevard s'arrête au numéro 47. Pourriez-vous me dire qu'elle serait votre source d'information ?

Vous en remerciant par avance,

Cordialement

Thalie Thalie O'Brun (discuter) 12 juin 2023 à 12:46 (CEST) »

J’ai probablement trouvé l’information selon laquelle la famille habitait à Souillac au 57, route (et non rue, pour être tout à fait exact) Nationale dans l’un des deux ouvrages d’Henri Béhar indiqués en bibliographie. Je ne les ai plus sous la main pour vérifier (et ils ne sont pas ‘’in extenso’’ en ligne). Cependant la chose est confirmée par une source primaire : le recensement de 1906 indique que Jules Vitrac, huissier, son épouse Berthe Espitalié, leur fils Roger et la servante Louise Rol habitent au 57 de la route Nationale. Ils occupent seuls l’immeuble. Ce même recensement permet de voir qu’à l’époque la route Nationale comptait 122 numéros. Il ne faut pas chercher de correspondance entre les numéros actuels et ceux du début du XXe siècle.
En effet, ce qui s’appelait à l’époque route Nationale ne correspondait pas seulement à l’actuel boulevard Louis-Jean-Malvy, mais comprenait aussi, du côté de la route de Brive, tout ou partie de l’avenue du Général-de-Gaulle.
Certains écrits de Roger Vitrac sur son enfance à Souillac décrivent assez précisément où se trouvait la maison familiale, ainsi que son environnement.
L’acte de naissance du jeune frère de Roger, Robert Patrice Emmanuel, né le 6 mars 1910 à Souillac (et mort dès le 9 mars 1912 à Paris) montre qu’en 1910 Jules Vitrac était agent général d’assurances. Il est probable que sa situation financière due à ses pertes au jeu l’avait obligé à revendre sa charge d’huissier. Hadrianus (d) 26 octobre 2023 à 03:20 (CEST)[répondre]
Un témoignage de Vitrac lui-même sur la maison de Souillac, que je viens de retrouver : « Chez moi, c'était au-dessus de la Société Générale, entre la marchande de porcelaine et le Grand Café. La maison était charmante : trois balcons sur le devant, une terrasse, un pavillon, un jardin, une vigne remontant jusqu'à l'allée de buis sur le derrière. » Roger Vitrac, « Marius », fragment, in Bifur, no 5, avril 1930, p. 108-120.
Cela permet d'identifier précisément la maison. Il ne s'agit pas, bien sûr, de l'emplacement actuel de l'agence de la Société Générale, plus loin en direction de Cahors, mais on peut voir l'emplacement ancien de la Société Générale sur de vieilles cartes postales, dans la partie centrale de l'actuel boulevard. Le recensement de 1906 mentionne bien la marchande de porcelaine Augustine Jardel au no 59. Hadrianus (d) 12 décembre 2023 à 03:32 (CET)[répondre]