Discussion:Réacteur nucléaire

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Générations de réacteurs[modifier le code]

Bonjour,

Je suis entré dans Wikipédia le 16 décembre. Je me permets d'introduire une discussion sur les réacteurs nucléaires, car la présentation qui en est donnée risque d'induire en erreur les lecteurs. J'ai quelques années d'expérience en ingénierie nucléaire, c'est la raison pour laquelle je me sens qualifié pour émettre un avis.

En effet, on parle, dans l'introduction, des réacteurs à fusion, dont la mise en œuvre (en cas de faisabilité technique !) ne se fera pas avant 2050.

Les réacteurs actuels (REP/PWR en France, BWR RBMK... dans d'autres pays) sont appelés réacteurs de génération II. Les réacteurs de génération III sont seulement en début de construction (Finlande, Flamanville pour l'EPR), pour un démarrage opérationnel vers 2012-2015. Quant aux réacteurs de génération IV (RNR, HTR, thorium, sels fondus,...), ils seraient prévus (en Europe) pour 2025 ou plus tard.

Les générations III et IV sont donc prévues avant les réacteurs à fusion, dont la faisabilité n'est pas du tout établie !

Je pense donc qu'il est nécessaire de refondre l'article avant d'en faire une traduction dans d'autres langues.

Cordialement,

Pautard 30 décembre 2005 à 16:43 (CET)[répondre]


Enfin les réacteurs de génération IV fonctionnent. Phénix (1974) est un prototype qui marche encore actuellement et qui est utilisé pour l'étude de la transmutation des éléments radioactifs à vie longue (PF et Actinides mineurs).

Il existait aussi Superphénix qui a même était relié au réseau électrique d'EDF.

Il est donc évident que les réacteurs à fission de génération III et IV sortiront avant le début des réacteurs à fusion, dont il n'est pas encore démontré qu'ils seront viables économiquement.

Thrr-Gilag


J'ai moi-même travaillé sur les projets Phénix et Superphénix. Nous sommes d'accord sur le fait que la génération IV arrivera avant la fusion, mais ceci n'est pas perçu ;

Voir :

en:Integral Fast Reactor Le projet IFR américain est "officiellement" arrêté selon les autorités américaines.

en:Generation IV reactor : sur 6 types de réacteurs, 3 sont des réacteurs rapides (dont un refroidi au sodium : Sodium Cooled Fast Reactor, SFR). Les Américains présentent le SFR comme un réacteur à neutrons rapides classique, type Phénix ou Superphénix, mais ne présentent l'IFR comme un prolongement d'un réacteur à neutron rapides classique, avec : cycle intégré, incinération des déchets, intégrés, non-prolifération.

Je mets des renvois vers l'article en anglais pour inciter les lecteurs français à réfléchir sur le lien entre IFR et Gen IV, et sur le fait que les suites de EBRII (essai) et Clinch River (fermé juste après sa mise en exploitation) ne sont peut-être pas le SFR, mais, parmi les quelques types de réacteurs qui feraient la synthèse des 6 types de GenIV, un réacteur de type IFR, dont les recherches ont repris à Argonne après le 11 septembre 2001. Il faut aussi optimiser le mix énergique en fonction des ressources Uranium, Plutonium, et des prix de l'énergie... Pautard 27 janvier 2006 à 12:16 (CET)[répondre]

Paragraphes d'introduction à la fission nucléaire[modifier le code]

Bonjour, Les deux paragraphes d'introduction à la fission nucléaire me semble difficilement compréhensible pour un néophyte, qui risque de se retrouver coincé devant, je cite : « Les noyaux atomiques très lourds tels que l'uranium ou le plutonium contiennent énormément de protons et doivent parfois attirer un neutron supplémentaire pour garantir la stabilité du noyau. Si l'un de ces atomes très lourd (par exemple l'uranium 235 ou le plutonium 239) aspire un neutron, il récupère par la même occasion de l'énergie. Cette énergie le transforme dans un état très instable... » --82.231.161.181 (d) 1 mars 2010 à 18:34 (CET)[répondre]

Quantité de matière fissile dans un réacteur.[modifier le code]

Bonjour, je ne trouve pas sauf erreur, un « ordre de grandeur » de la quantité de matière fissile que contient un réacteur, par exemple dans une centrale nucléaire... Kilos, dizaines, centaines de kilos, plus ? À lire les uns et les autres. Michel--78.122.109.109 (discuter) 4 mai 2021 à 08:43 (CEST)[répondre]

Bonjour, allez voir Centrale nucléaire#Combustible : « En 2018, selon l’Agence pour l'énergie nucléaire (AEN), les 348 réacteurs nucléaires commerciaux raccordés aux réseaux des pays membres de l'AEN, ont requis 47 758 tonnes d'uranium » : cela donne 137 tonnes d'uranium par réacteur, dont environ 3 à 5 % d'Uranium 235 (cf Cycle du combustible nucléaire et Enrichissement de l'uranium), soit 4 à 7 tonnes de matière fissile.--Jpjanuel (discuter) 4 mai 2021 à 10:24 (CEST)[répondre]
Merci ! Michel--78.115.175.249 (discuter) 5 mai 2021 à 14:47 (CEST)[répondre]

Filières manquantes de réacteurs[modifier le code]

Il me semble qu'il manque, dans filières de réacteurs... une technologie essentielle, mais je ne sais pas comment ca s'appelle en francais : Pebble bed modular reactor (PBMR). Il me semble que réacteur au thorium ne serait pas la meilleure traduction. Merci aux connaisseurs d'ajouter. Pipecat (d) 18 mars 2011 à 14:22 (CET)[répondre]

Mouais, ça bouge pas beaucoup ici, mais g fini par trouver : Réacteur à lit de boulets Pipecat (d) 24 mars 2011 à 02:57 (CET)[répondre]
Je viens d'ajouter dans la page française sur la technologie PBR le lien vers l'article anglais sur l'entreprise PBMR. PS : La filière des réacteurs à lit de boulet fait partie des réacteurs nucléaires à très haute température, elle n'utilise pas particulièrement le thorium, mais aussi l'uranium. --Gnrc (discuter) 21 novembre 2023 à 18:49 (CET)[répondre]