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Discussion:Poumon d'acier

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Relecture faite

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J'ai relu cette page: elle ne semble pas contenir d'erreurs de traduction. Elle est en tout cas claire (vocabulaire et expressions exactes) et corespond avec ce que je connaissais du poumon d'acier.Staph 12 septembre 2006 à 17:19 (CEST)[répondre]


jced59

Je voudrai donner ici mon expérience du poumon d'acier, j'y ai "vécu", environ un mois en 1957. Celui que j'ai connu était beaucoup plus rustique que ce que vous voyez ici, il y avait deux respirateurs identique dans la salle, les pompes ressemblaient plus à des soufflets de forge qu'a la petite boite que l'on voie sur la photo, les tuyaux devaient, facilement avoir un diamètre de 120 mm Le bruit était accès assourdissant, on se serait cru plus facilement dans un atelier ou une usine que dans un hôpital. La conversation n'était pas très aisée, il n'était possible de parler que quand la caisse était en surpression, provoquant l'expiration, les phrases étaient hachées au rythme de la pompe. Le soutien de ma famille a été formidable, même si à l'époque je ne me rendais pas compte des difficultés, j'étais dans ma "bulle" et je rouspétais quand le train ou le tram avait du retard. C'était en 1957, à Lille, hôpital de la Charité, le CHR était en passe d'aménagement, je crois qu'il n'avait pas encore le U. Jean

Je pense qu'il y a une erreur en effet quand la pression atm diminue en dessous de celle des poumons alors c'est l'expiration. Inversement quand la pression atm devient plus grande que celle des poumons alors c'est l'inspiration : l'air se dirigeant toujours d'une zone de haute pression vers une zone de basse pression.

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 130.104.152.193 (discuter), le 27 mai 2014 à 16:09 (CEST)[répondre]

✔️ Je suis d'accord. Corrigé. --- Eusebius [causons] 3 avril 2015 à 17:42 (CEST)[répondre]

Correction erreur

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Je me suis permis de corrigé une erreur dans l'article. Dans un poumon d'acier il faut appliquer une pression négative dans la chambre pour provoquer une inspiration du patient. La pression atmosphérique (au niveau de la bouche donc) ne varie pas (contrairement à ce qui est indiqué dans un commentaire précédant). Il faut donc appliquer dans la chambre une pression négative (par rapport à la pression atmosphérique) pour que le gradient de pression (entre l'intérieur du caisson et l'extérieur) conduise à un débit entrant dans les poumons (seul passage possible pour l'air) [= inspiration], d'où le nom de cette ventilation par opposition à la ventilation en pression positive où l'on applique une pression positive au niveau des voies aériennes pour obtenir une inspiration. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.56.136.197 (discuter), le 28 septembre 2015 à 21:30‎

J'ai l'impression que c'est correct, merci (je me permets toutefois de notifier Eusebius). Bloubéri (discuter) 29 septembre 2015 à 01:23 (CEST)[répondre]

Le Spirophore

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L'appareil ne fut pas inventé en 1928 par Drinker et Shaw. Ne pas oublier le 'Spirophore' développé par le docteur Woillez à Paris en 1876. Voir Du spirophore d'Eugène Woillez au poumon d'acier ou John H Emerson (p577 fig3). Batternut (discuter) 13 octobre 2016 à 01:01 (CEST)[répondre]