Discussion:Posemètre

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Une main blanche sur un gris 18% : on remarque une différence d'éclairement, la main étant légèrement (environ 2/3 de diaph) plus clair que le fond de référence.

La référence du 18% n'est pas celle d'une peau blanche, mais plutôt 2/3 de diaph en dessous. La valeur de 18% correspond à une moyenne en échelle logarithmique entre le noir 3% et le blanc 90%, soit 10^((log10(90%-1)-log10(3%-1))/2) ou (Je viens de vérifier sur courbe sensito). Cette référence se trompe, je retire le passage en question Éclusette (d) 10 février 2009 à 12:08 (CET)[répondre]

Oui, techniquement tu as raison, ces fameux 18% ne sont pas directement liés au rendu de la peau (blanche). Par ce que 18% est, le milieu d'une perception entre le blanc et le noir? Parce que cette norme relaterai un "gris réel", en gros ce que dit la courbe théorique. Pourquoi 18% et pas 15% ou 23% ? Pourquoi la charte grise est-elle assimilée à la peau claire, ce que l'on retrouve un peu partout ? (Allez une autre ref ici)
Mais en fait, c'est un peu plus compliqué.
Par ce que c'est une norme et comme toutes les normes, elle reflète son temps (et qu'a une époque que les moins de vingt quarante ans ne peuvent pas connaître, il à été décidé d'une référence).
La version politiquement correcte est aujourd'hui de parler de gris médian pour un rendu "neutre", mais il semble que la réalité soit un peu différente. Faire une mesure sur une charte 18% donnait au quidam la possibilité d'avoir une photo bien exposée. Avec, comme ton image le montre si bien, cet écart de diaph, qui n'est pas le fruit du hasard, mais la volonté de privilégier la peau (le visage) sur un fond moyen (Surtout blanche, à l'époque). Quitte à surexposer un peu (qui en plus allait bien avec les négatifs). En gros tu fais ton réglage sur la charte, et tu as une photo bien exposée de maman, papa, mon chéri, mon coeur... (Bon ça c'était avant l'arrivé du numérique, que les moins de...). Il reste que ce taux est une norme, quitte bien évidemment à l'adapter avec bon sens.
Tout ça pour dire que la référence à la peau blanche n'est pas si absurde, a des fondements et reste valable. (En gros, c'est la base et tu adapte, cf manuel des diverses cellules).
Par contre, je suis d'accord, cette notion de norme était très mal présentée et tu as bien fait de la supprimer telle quelle.
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J'en profite pour redire ce que je disais il y a deux ans ici, de ce que j'ai pu voir, TOUS les articles concernant les techniques cinématographiques (et photo, brrr ça fait peur ;-) ) sont sérieusement à revoir. -- Rhéto Jaser 11 février 2009 à 03:22 (CET)[répondre]
Le 18% est peut être pratique parce que proche d'un visage, mais ça reste une norme à différencier de la réflectance standard d'un visage. Si on mesure au spotmètre un 18%, effectivement on aura sa prise de vue(s) correctement exposée, c'est évidemment le but. Mais si on mesure au spotmètre un visage pas trop bronzé et qu'on prend cette valeur pour son diaph, on aura une sous-exposition d'environ 2/3 de diaph. Je pense qu'il n'y a aucun « politiquement correct » là-dedans. Et je suis d'accord avec toi sur les articles de techniques photo/ciné, mais ça progresse petit à petit quand même. Éclusette (d) 11 février 2009 à 19:30 (CET)[répondre]
Je viens de réécrire le calcul du 18%, si quelqu'un veut bien la LaTeXiser je suis pas contre. 12 février 2009 à 22:17 (CET)✔️Fait --Rhéto Jaser 16 février 2009 à 14:12 (CET)[répondre]
Je crois que l'on ne parle pas exactement de la même chose. Tu donne la densité moyenne sur une courbe sensito, je parlais plutôt du 18% de la charte et de son utilisation comme référence. Décrite ici, Exposure tools p 117, chez Kodak par exemple.
Qui dit :
« THE GRAY CARD »
« To achieve normal exposure for an incident or reflection reading, an assumption about the reflectance of an average scene is made—that an “average scene” reflects 16% of the light. (This value was empirically derived by analyzing the reflectance of numerous scenes and computing the average.) A standard definition of "average scene reflectance" allows camera and meter manufacturers to build equipment that provides consistent results. ANSI standard PH2.12 explicitly specifies 16% average scene reflectance as the metering constant for incident and reflection meters. »
« Kodak studio photographers preferred 18% reflectance, one-sixth of a stop more than 16%, because it provided better results. Given the superior latitude of today’s films, an exposure difference of one-sixth of a stop is insignificant. »
ou comme dans l'article anglais de WP.
Je suis entrain de reprendre l'article et j'espère que ce sera plus clair. --Rhéto Jaser 16 février 2009 à 14:12 (CET)[répondre]

Flashmètre[modifier le code]

J'ai remarqué qu'on répète deux fois la définition du flashmètre (première fois dans "Technologie des posemètres", la seconde dans la section 6 intitulé "flashmètre"). À moins qu'on m'explique clairement l'utilité d'avoir dans le même article une section et une sous-section traitant également (aucun n'est plus précis que l'autre) du même sujet, je supprime la section 6. Merci ! Lord05 (d) 27 mars 2009 à 19:38 (CET)[répondre]

Pocketwizards[modifier le code]

Lors du chapitre sur le flashmètre, il est indiqué le mode de fonctionnement sans fil utilisant des « pocketwizards ».

Je pense qu'il faut être plus général, en effet, Pocketwizard est une marque déposée et le terme générique serait "télécommandes sans fil à haute fréquence".

Utiliser des PocketWizards plutôt que quelque chose d’autre a probablement un certain nombre d’avantages mais ce n’est pas une obligation.

Jean-Luc Coulon 30 novembre 2013 à 14:44 (CET)