Discussion:Maître de la Légende de sainte Ursule
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Réécriture de l'article
[modifier le code]1. L’ article (tel qui était le 8 décembre 2008) reposait sur une confusion entre deux retables différents Celui conservé à Bruges ( correspondant à l’image de Wikimedia commons) et celui dispersé entre plusieurs musées cité par le site du Louvre
Ainsi l’image importée de Wikimedia Commons montrait bien les volets du retable du Groeninge Museum de Bruges. Le début du chapitre expliquait (à juste titre) qu’ils provenaient du couvent des Sœurs noires de Bruges, Mais la suite du chapitre était une description de l’autre retable (exécuté d’après la notice de la base Joconde pour l’église sainte Brigide de Cologne), celui dispersé entre plusieurs musées.
2. Je me suis donc attaché à rétablir les faits en rappelant comment Friedländer en se basant sur les volets du retable de Bruges (et non celui dispersé entre plusieurs musées) a identifié le maître de la légende de sainte Ursule puis a recréé le corpus de ses œuvres.
3. Wiikipedia étant souvent un jeu de miroir où le Wiikipedia d’un pays reprend (sans les vérifier) les informations des Wiikipedia des autres pays, je n’ai cité comme œuvres du maître de la légende de sainte Ursule que celles citées (avec une notice retraçant la provenance, la bibliographie et une analyse du tableau) dans le catalogue de l’expo Memling/ Bruges. Pour la même raison, je n’ai pas cité le retable dispersé entre plusieurs musés de la base Joconde. Cette fiche (anonyme) présentant le maître de la légende de sainte Ursule comme étant actif entre 1840 et 1525 (?) à Bruxelles, et non à Bruges (?), ne retraçant pas la genèse de ce polyptyque (est-il antérieur ou postérieur à celui de Bruges ?), m’a laissé sceptique. Toute personne pouvant consulter G. Marlier, Le Maître de la légende de sainte Ursule. dans : Jaaakbook Koninkjlijke Museum voor Schone Kunsten Antwerpen est invité à éclaircir ce point et à enrichir le chapitre consacré aux œuvres du maître de la légende de sainte Ursule.
4. Difficile de considérer Rogier van der Weyden et Hans Memling.comme les élèves du maître de la légende de sainte Ursule a) Faute d’indications biographique sur le maître de la légende de sainte Ursule b) C’est plutôt le maître de la légende de sainte Ursule qui s’est inspiré de Memling.
5. Sur le chapitre sur les artistes « ayant traité des sujets similaires » [la légende de sainte Ursule] : J’ai cité les œuvres avec le lieu où elles sont conservées (ce qui devrait être la règle) et donc ôté le Maître de la Légende de sainte Lucie et le Maître de la légende de la sainte Mère de cette liste puisque les musées où ces tableaux (ou retables) sont conservés n’étaient pas indiqués. Cordialement--Richter-Rauzer (d) 9 décembre 2008 à 16:51 (CET)