Discussion:Jean-Paul Renard

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Deux choses à propos des liens dans la rubrique sources[modifier le code]

Les deux premiers liens sont obsolètes. Le troisième lien fonctionne mais le document ne cite pas M. RENARD. On y parle de Jean-Paul A. puis de M. A.. Pourquoi ?

Bonjour,
J'ai corrigé les liens, en en rajoutant, dont une liste assez complète de plusieurs journaux.
L'article de Libération n'est plus en ligne, et je n'ai pas eu assez de temps pour chercher sa nouvelle adresse (qui a simplement dû changer). Si quelqu'un veut s'y coller, voici des extraits de cet article :
L'ex-juge Renard
Condamné à 5.000 euros d'amende pour «violation du secret professionnel». par A. Bo.(avec AFP)
Vendredi a pris fin un épisode du long feuilleton judiciaire dont Jean-Paul Renard, l'ancien doyen des juges d'instruction de Nice, est le personnage principal. Symbole de la compromission de la magistrature de la côte d'Azur avec des intérêts privés, cet homme âgé de 55 ans a été condamné vendredi à 5.000 euros d'amende pour «violation du secret professionnel».
La 17e chambre correctionnelle de Paris l'a en effet sanctionné pour avoir consulté, entre 1998 et 1999, 43 bulletins de casier judiciaire national au profit de la Grande loge nationale française, à laquelle il appartient. [...]
Il a en effet été confondu pour corruption dans l'affaire Marcel Allieis, aviseur des douanes, proche des francs-maçons, et escroc notoire. Moyennant finance, Marcel Allieis a obtenu du juge Renard l'effacement du casier judiciaire de l'un de ses associés.
Jean-Paul Renard a également demandé, en juillet 1998 puis en février 1999, à Emile Zuccarelli, le ministre de la Justice de l'époque, d'intercéder en sa faveur afin qu'il obtienne le poste de procureur général de Monaco. Ce type de démarche parallèle est formellement proscrit au sein de la magistrature.
Autre affaire : en avril 2001, le juge libère en catimini, sans procès verbal ni avocat, un détenu visé dans un réseau de cocaïne qui menaçait d'impliquer une magistrate… collègue du juge Renard.
A tout ceci, il faut ajouter une affaire de conflit d'intérêt quand Jean-Paul Renard s'est saisi, en 1998, du dossier de son ami et «frère» franc-maçon, Michel Mouillot, maire de Cannes, poursuivi pour une affaire de corruption dans le milieu des casinos.
Autant de faits graves «non seulement en raison de leur énormité, mais encore par leur effet désastreux sur l'image de la Justice», avait conclu le CSM dans son rapport d'octobre 2004.
Pour le nom de « Jean-Paul A. » sur Légifrance, il s'agit bien d'un nom anonymisé. Cet arrêt du CE concerne bien Jean-Paul Renard. --Papa6 (discuter) 13 septembre 2014 à 20:28 (CEST)[répondre]