Discussion:Jardin des plantes de Nantes

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Pierre Chirac[modifier le code]

Où peut-on trouver des renseignements sur l'action de Chirac dans la gestion du Jardin ? Il semble que ce personnage, chargé du Jardin botanique de Paris, se soit fort mal acquitté de sa tache, et qu'à Nantes, il ait été impliqué dans un projet de monopole de "coffres de marine" (?). On peut douter de son désinteressement dans l'embellissement du jardin botanique ...

Hélas mes recherches ne m'ont guère appris grand chose sur ce personnage. Peut-être que l'article cité en note (Yannick Romieux, « Le transport maritime des plantes au XVIIIe siècle », dans Revue d'histoire de la pharmacie (ISSN 0035-2349), n° 343, 2004) est plus précis mais j'ai eu accès qu'à un résumé de cet article. Cordialement --Pymouss [Tchatcher] - 11 juin 2008 à 17:24 (CEST)[répondre]

Passage à confirmer[modifier le code]

Pour alléger l'article, je reporte ici ce passage qui était conservé en commentaire :--Rehtse (d) 15 octobre 2010 à 01:33 (CEST)[répondre]

>!--NDLR: Je ne doute pas de l'exactitude de la description ci dessous mais elle me pose quelques pb : 1) on ne sait pas de quel site parle Hectot (jardin des apothicaires, jardin des Ursulines ou site actuel). 2) Il ne me semble pas qu'Hectot ait pris ses fonctions en 1793. 3) Quelle est la source ?
Le pharmacien et botaniste Jean Alexandre Hectot (1769 - 1843) devenu en 1793 responsable du "Jardin des Apothicaires" décrit les lieux en ces termes :
« le couvent constitue un corps de logis considérable avec un jardin potager entouré de murs d'une superficie de 2 journaux, (un journal correspond à la surface que pouvait cultiver un homme en une journée, soit 3.240 m²). Par une barrière située au milieu du mur, on accède à l'enclos contenant à peu près 8 journaux. Cet enclos est entouré de hauts murs ayant de 10 à 15 pieds de haut. Le mur exposé au Sud est garni d'abricotiers attachés à de mauvaises ganivelles. Certains troncs ont jusqu'à 25 pouces de circonférence et j'estime qu'ils ont au moins cent ans. Le terrain descendant en pente douce vers le Sud-Est est séparé en parcelles consacrées à différentes cultures, notamment de poiriers et de vignes.
A l'Est, une excavation de 150 pieds sur 30 laisse apparaître le roc après que la terre ait été décapée pour ensevelir les trop nombreux cadavres résultant de la guerre civile, de la terreur, mais plus encore de la "maladie de l'entrepôt" ; le typhus.
A l'Ouest, on trouve la cour des noyers et plus au Sud une pièce d'eau rectangulaire avec un pin parasol à deux têtes ».-->

La source est le Seve, sur un document écrit publié en 1986, infos reprise sur le site du seve (voir bibliographie et références dans l'article). Dans le passage Hectot parle du jardin des Ursulines, et en 1793 il seconde son prédécesseur à la direction du Jardin, Lemeignen (ou Le Meignen). Le passage ci-dessus commet une erreur sur la date de prise de fonction de responsable.--Rehtse (d) 8 janvier 2011 à 09:32 (CET)[répondre]