Discussion:Histoire d'Arles

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Je consulte très souvent cette notice, qui est une véritable mine de questions très curieuses à se poser pour l'histoire générale du haut moyen age et de la féodalité. En effet Arles offre une véritable coupe stratigraphique sans lacune, à la différence des autres histoires locales, que ce travail très sérieux ne brouille jamais. Néanmoins ne vaudrait-il pas la peine de les poser de temps en temps de manière à ce que le lecteur reprenne son souffle et un intérêt pour la lecture complète? En particulier l'énigme de la République d'Arles, qui est un bel accroc dans l'installation de la féodalité dans le sud de la France, puisqu'Arles se trouve à l'origine de la croisade de Simon de Montfort, et miraculeusement excempte de toute entreprise militaire de celui-ci qui dévie son ire sur les seuls catholiques à peu près présentables à l'époque, les bittérois et les toulousains. En effet, et c'est tout de même un reproche que j'adresse au rédacteur, l'éviction de l'archevêque fait que voilà un siècle, que les arlésiens ne communient plus ni de célèbrent des mariages sous d'autres formes que civiles, la très longue tradition autocéphale du christianisme arlésien est allé beaucoup plus loin que de recevoir des évêques bogomiles en tournée, comme les autres villes du sud. Il faudrait tout de même tirer à chaque époque les conséquences sur le paysage social arlatan, des séries de faits d'armes et de déposition de prélats. C'est le reproche constant que font les languedociens aux provençaux: comment pouvez vous vous estimer ravis de l'arrivée des angevins, alors qu'il ont mis fin à toutes gloires et opulences magnifiques, qui nous ravissaient tant quand nous nous pelotonnions frileusement dans les arènes de Nîmes sur notre petite gothie ravagée par les francs, constamment détournés d'assiéger Arles par les pouvoirs miraculeux de vos archevêques monophysites qui disaient leur messe en grec.

L'article n'est pas figé et appartient à chacun d'entre nous. Si tu as des informations ou des points de vue complémentaires, je t'engage vivement à les rajouter pour enrichir le texte déjà présent. --Mbzt 18 janvier 2007 à 14:42 (CET)[répondre]