Discussion:Force 136

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Les deux articles ont le même sujet : si on retire tout ce qui concerne la force 136 du premier, il ne reste pratiquement rien. C'est une coquille vide. Autre indice sérieux : il n'a pas d'interwikis...

Les anglophones n'ont qu'un seul article, en:Force 136, qui fait six fois la longueur du nôtre, avec une description détaillée des opérations pays par pays : s'il y avait eu du contenu SOE-Sudestasiatique non-force 136 significatif, j'imagine qu'ils lui auraient consacré un article distinct, non ?

Je suppose donc que le titre Force 136 doit être maintenu après fusion, et le premier article ensuite transformé redirection. Qui a d'autres avis ? • Chaoborus 17 octobre 2010 à 18:43 (CEST)[répondre]

Avis favorable pour fusion + redirection vers Force 136, de façon à éviter le doublonnage du contenu. Ultérieurement, il restera loisible (et j'ai le sentiment que ce serait souhaitable) de créer des articles par pays (SOE en Birmanie, SOE en Chine, SOE en Thaïlande, etc.), de façon à retrouver une logique uniforme des articles sur le SOE du wiki fr., et d'améliorer la lisibilité. Fabrice Dury (d) 17 octobre 2010 à 20:43 (CEST)[répondre]
✔️ • Chaoborus 20 octobre 2010 à 12:32 (CEST)[répondre]
marek2 (d) 20 mai 2011 à 22:42 (CEST) Cet article, improprement intitulé "Force 136", ne reflète pas la réalité de ce corps telle qu'on peut la voir dans les musées d'histoire à Singapour (Fort Siloso dans l'île de Sentosa) et en Malaisie. Le rôle des Français y a été tardif et marginal. L'article "Force 136" de Wikipedia en anglais en revanche est plus proche de ce que j'avais compris du rôle de la Force 136. En Birmanie, la Force 136 avait du mal à manager les gros bataillons des Chindits. En Malaisie (encore Malaya à l'époque), le gros des troupes coordonnées par des SOE britanniques était constitué de deux gros régiments de partisans malais, qui présentaient l'inconvénient d'être constitués sur une base ethnique, les Chinois, et d'être d'obédience communiste (MCP Malaya Communist Party). Ces maquis redoutables pour les Japonais, deviendront l'ossature de la rébellion communiste qui durera en Malaisie jusque dans les années 60 au moment de l'indépendance du pays. Les derniers maquis s'éteindront au début des années 1970, permettant aux Britanniques et aux Australiens de mettre fin à leur assistance militaire et à leur présence en Malaisie.[répondre]

Marek2