Discussion:Fièvre puerpérale

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Constatation[modifier le code]

  • (de) Cet article contient des portions de texte issues de l'article en allemand : « Kindbettfieber ».
  • (en) Cet article contient des portions de texte issues de l'article en anglais : « Puerperal fever ».
  • (nl) Cet article contient des portions de texte issues de l'article en néerlandais : « Kraamvrouwenkoorts ».

Et c'est ainsi que l'article français, naguère le plus court, est maintenant le plus long. La même chose s'est passée pour Rhinocéros blanc. Gustave G. 17 août 2006 à 13:03 (CEST)[répondre]

traduction du néerlandais[modifier le code]

Ce dernier paragraphe de wiki/ne semble intéressant :

Er is veel vordering gemaakt inzake kraamvrouwenkoorts door de preventieve aanpak. De thesis van de Fransman Nizier Anthelme Philippe (1849-1905), die hiermee promoveerde aan de universiteit van Cincinnati (Ohio), heeft hier veel toe bijgedragen. Hij behaalde op 23 oktober 1884 zijn doctoraat in de geneeskunde met zijn proefschrift: "Principes der hygiëne bij zwangerschap en bevalling".

peut-être serait-il bon d'en rajouter la traduction,
Archibald Tuttle 17 août 2006 à 20:31 (CEST)[répondre]

C'est que le bonhomme m'avait paru suspect, plus guérisseur que médecin. Je n'ai vu sur aucun site (autre que la wikipédia néerlandaise) qu'il eût passé son doctorat de médecine et il semble avoir davantage soigné par des prières. Il faudrait trouver des sources fiables attestant qu'il avait adopté l'antisepsie à un moment de sa vie. Je pourrai traduire, bien sûr, mais sous votre responsabilité. En ce qui me concerne je m'en lave les mains (à l'acide phénique bien sûr). Amicalement. Voici ce qu'on disait :

La prévention a permis de grands progrès en ce qui concerne la fièvre puerpérale. La thèse du Français Anthelme Philippe Nizier (1849-1905), qui a obtenu son diplôme à l'université de Cincinnati (Ohio), y a beaucoup contribué. Le 23 octobre 1884, il a passé son doctorat en médecine en présentant ses « Principes d'hygiène pendant la grossesse et l'accouchement ». Gustave G. 17 août 2006 à 21:33 (CEST)[répondre]

Il y a ici d'autres informations sur ce monsieur que je suis bien content de découvrir. Le site a l'air tout de même assez bien documenté et un paragraphe y confirme qu'il obtint son diplôme de Docteur en médecine de l'Université de Cincinnati (Ohio) en 1884 avec une thèse intitulée : « Principes d'hygiène à appliquer dans la grossesse, l'accouchement et la durée des couches ». Il est vrai qu'une thèse de 4 pages, cela ne fait pas très sérieux...
Archibald Tuttle 17 août 2006 à 21:54 (CEST)[répondre]

Et on ne voit nulle part qu'il ait prôné l'antisepsie ou l'asepsie. Quant au mot « hygiène » il ne signifiait pas nécessairement propreté au XIXe siècle. Savez-vous que Sissi détestait les relations sexuelles et que François-Joseph avait pour cela ses « comtesses hygiéniques » ?

Ce que dit la wikipédia néerlandaise d'Anthelme Philippe Nizier[modifier le code]

Anthelme Philippe Nizier (25 avril 1849 - 2 août 1905) est souvent désigné sous le nom de maître Philippe de Lyon. La vie et l'œuvre de ce guérisseur et de ce maître en spiritualité ont été particulièrement bien étudiées.

En 1884, il a obtenu son diplôme à l'université de Cincinnati (Ohio). Sa thèse de doctorat qui avait pour titre : « Principes d'hygiène lors de la grossesse et de l'accouchement » a été une contribution importante dans la lutte contre la fièvre puerpérale.

Au cours de sa vie, Philippe semble avoir guéri des milliers de personnes de manière miraculeuse. Dans de nombreux cas ces guérisons sont attestées par des certificats médicaux. Il a été un ami personnel du tsar Nicolas II et son aide a été réclamée par le Bey de Tunis, le prince de Monténégro, l'empereur d'Allemagne et le prince de Galles, futur roi d'Angleterre Édouard VII. Sa tombe au cimetière de Loyasse à Lyon reçoit encore tous les jours un grand nombre de visiteurs qui viennent de nombreux pays. Gustave G. 17 août 2006 à 22:26 (CEST)[répondre]

Vérification faite, il semble que le patronyme du personnage soit bien Philippe et que ses deux prénoms soient Anthelme, Nizier. Effectivement il s'agissait d'un guérisseur et magnétiseur considéré comme un charalatan par bien des médecins de son époque. L'affirmation selon laquelle sa « thèse » de 1884 a joué un rôle quelconque dans la prévention de la fièvre puerpérale demande a être sérieusement vérifiée et argumentée. A la limite il faudrait lire cette fameuse « thèse » pour vérifier quelle était exactement sa conception de l'hygiène (mais je ne pense tout de même pas que c'était celle de François-Joseph). Cela dit, ces informations ont leur place dans une encyclopédie, mais évidemment il convient de les placer dans la bonne catégorie (mesmérisme, rebouteux, médecines parallèles etc...). Je crois que vous avez eu bien raison de vous abstenir de placer ces assertions néerlandaises dans le texte français avant d'en savoir un peu plus.
Archibald Tuttle 18 août 2006 à 14:59 (CEST)[répondre]

Proposition de paragraphe[modifier le code]

Il m'a semblé que faire un paragraphe consacré à quelques personnalités féminines victimes de la fièvre puerpérale pourrait être une idée originale. Ce n'est qu'une tentative à laquellle je suis prêt à renoncer si cela déplaît à la majorité. Archibald Tuttle 18 août 2006 à 22:20 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas historien mais l'idée me semble intéressante : on verrait ainsi qu'une telle maladie pesait même sur des femmes de la haute société. Gustave G. 19 août 2006 à 04:56 (CEST)[répondre]

Pasteur ou Fehleisen ?[modifier le code]

L'article dit : "En 1879 Pasteur établit la présence du streptocoque dans le sang des femmes atteintes de fièvre puerpérale."

Henri Mondor, dans son Pasteur (1945, p. 116-117), raconte qu'agacé par des cliniciens attardés qui faisaient des hypothèses non microbiennes sur l'étiologie de la fièvre puerpérale, Pasteur « s'avança vers le tableau noir, dessina le microbe en grains de chapelet, en chaînettes, que Fehleisen avait isolé, et dit : 'Tenez, voici sa figure.' C'était le streptocoque. »

Quelqu'un sait-il quels furent les rôles respectifs de Fehleisen et de Pasteur ?

La Wikipedia allemande n'a pas d'article sur Fehleisen. D'après son article Bakteriologie, le Streptococcus pyogenes fut découvert (ou décrit pour la première fois) en 1882 par Friedrich Fehleisen. (Si je comprends bien, il s'agit du streptocoque de l'érysipèle.)

Merci d'avance à qui peut donner des précisions.

Marvoir (d) 9 février 2008 à 19:50 (CET)[répondre]