Discussion:Dynamiterie de Paulilles

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les ouvriers chinois[modifier le code]

des anciens m'ont raconté qu'avant la main d'oeuvre espagnole il y avait des chinois qui ont travaillé à cette usine. il faudrait aussi toucher mot des conditions de travail, les travailleurs buvaient du lait pour aider l'organisme à lutter contre l'inhalation de vapeurs chimiques nocives... Olecrab (d) 9 décembre 2010 à 01:21 (CET)[répondre]

Après recherches, c'est ce que je pensais sans en être sûr. En guise de chinois, ces gens étaient des coloniaux originaires d'Indochine. J'ajoute ce fait dans l'article. Olecrab (d) 9 décembre 2010 à 02:49 (CET)[répondre]

Après recherches, il apparait que la consommation de lait ne possède aucune incidence ni sur l'effet vaso-dilatateur de la nitroglycérine, ni sur l'inhalation d'acide sulfurique ou d'acide nitrique (principaux éléments qui composent la dynamite et les fulmicotons où travaillaient les dits annamites Némésis, la voie des Albères

les allemands[modifier le code]

durant l'occupation l'usine est contrôlée par les allemands. Olecrab (d) 9 décembre 2010 à 01:45 (CET)[répondre]

En effet, Christian Sanxo, auteur d'un mémoire de maîtrise sur l'occupation de la commune de Port-Vendres par la Kriegsmarine (Marine allemande) de 1941 à 1944, indique d'une part que les allemands ont fait construire par les populations locales le mur anti-débarquement encore visible aujourd'hui (mur en béton séparant la plage du site rénové)et d'autre part que la dynamiterie passe sous le contrôle allemand. Christine Salles, auteur de 2 mémoire de master et de 3 livrets sur l'histoire de la dynamiterie m'a fait la précision suivante : "Oui, les allemands prennent le contrôle de la dynamiterie. Mais, cette usine ne les intéresse pas réellement. Bien sur, l'occupant ne peut laisser hors de contrôle une fabrique d'explosif. Cependant, les allemands ont leur propre réseau national de dynamiterie. Je signale que la dynamiterie de Krümmel, construite à proximité de la ville de Hambourg, a été implantée dès 1865. Les allemands n'ont donc pas besoin de la dynamiterie de Paulilles, ils ont déjà les leurs ! Et les anciens ouvriers m'ont indiqué qu'ils pratiquaient une résistance passive en faisant chuter de manière spectaculaire les quantités quotidiennes produites. . (Némésis, la voie des Albères)

Bonjour Monsieur Depardieu

Je me présente, je suis Christine Salles, détentrice d'un master 1 et 2 en Histoire, Histoire de l'Art et Archéologie des paysages et détentrice du prix jeune chercheur 2012 décerné par le CILAC pour l'ensemble de mes travaux universitaire sur la dynamiterie de Paulilles. Je me permet de vous contacter au sujet de "la première dynamiterie française bâtie à Liverdun". Cette affirmation allant à l'encontre de tous les documents traitant de ce sujet et disponibles aux Archives Départementales des Pyrénées-Orientales (Séries 8S167, 135J1 et 4Pnc5) ainsi que dans les archives de la NobelClad (entreprise ayant repris en 1991 l'activité de placage sur métaux auparavant faite à Paulilles), Pourriez-vous me préciser votre source qui m'intéresserait beaucoup de consulter ?

Merci Cordialement Christine Salles — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Némésis, la voie des Albères (discuter), le 5 juillet 2013 à 01:38 UTC+X