Dagny Lüdemann
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Cet article est orphelin. Moins de trois articles lui sont liés ().
Vous pouvez aider en ajoutant des liens vers [[Dagny Lüdemann]] dans les articles relatifs au sujet.
Pour les articles homonymes, voir Lüdemann.
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Activité |
Dagny Lüdemann (née à Hambourg en 1975) est une journaliste scientifique allemande, biologiste et reporter en chef pour la Science au Zeit Online. Elle écrit et est responsable d'articles dans les domaines de la conservation de la nature, de la zoologie, de la protection des espèces, de l'écologie, de la biologie des infections et de la santé.
Vie
[modifier | modifier le code]Lüdemann a étudié la biologie et le français à l'Université de Hambourg et les lettres modernes à l'Université Paul Valéry à Montpellier[1].Pendant ses études, Lüdemann a travaillé, entre autres, comme rédactrice en ligne pour des sujets de médecine et de santé à un agence hambourgeoise pour la communication Internet.
Après avoir obtenu un master, un séjour linguistique à Grenade, en Espagne et des stages éditoriaux chez Spektrum der Wissenschaft, Tagesspiegel et PM-Magazine, elle a écrit en tant qu'auteur indépendant pour les magazines GEO et Astronomie heute et pour le portail en ligne Spektrumdirekt.de. De 2005 à 2007, elle a effectué un stage au Tagesspiegel à Berlin, où elle a ensuite travaillé comme journaliste scientifique et était responsable de la rubrique santé du journal. En 2008, elle est passée du quotidien à Zeit Online et y a développé le département scientifique en tant que rédactrice. De 2011 à 2021,
Le journaliste vit à Berlin et à Hambourg, est plongeur et s'engage personnellement pour la protection marine. En 2015, elle a travaillé comme bénévole pour l'ONG Seaturtle Conservation Bonaire (STCB) aux Antilles néerlandaises pendant un congé sabbatique de trois mois[2],[3].
En 2015, Lüdemann et son équipe – dont les journalistes scientifiques Sven Stockrahm et Alina Schadwinkel – ont été nommés pour un Grimme Online Award et ont reçu un Lead Award[4] pour le dossier multimédia «Wer darf leben (Qui est autorisé à vivre?)[5]» . Le dossier, qui a été traduit en langage facile à lire et à comprendre[6], décrit les opportunités et les risques du diagnostic prénatal moderne et leurs conséquences pour les personnes atteintes d'anomalies chromosomiques telles que le syndrome de Down.
En 2017, elle a reçu le prix Universitas du journalisme scientifique[7]. La Fondation Hanns-Martin-Schleyer rend hommage à ses nombreuses années de travail en tant que bâtisseur de ponts entre la science et la société. C'est grâce à son engagement que "les sujets scientifiques sont de plus en plus perçus et réfléchis, notamment parmi la jeune génération", écrit la fondation dans sa justification[8].
En 2021, Lüdemann a remporté le prix de journalisme "Animaux sauvages et environnement" de l'Association allemande de chasse dans la catégorie "En ligne" pour son reportage "Wo Fledermäuse schlafen (Où dorment les chauves-souris)"[9]. Pour 2021, elle a été sélectionnée par Medium Magazin comme l'une des 10 meilleures journalistes scientifiques d'Allemagne[10].
En 2023, son article «Fischsterben in der Oder: Fischen nach Überlebenden (Morts de poissons dans l'Oder : pêche aux rescapés)» a été nommé pour le prix germano-polonais du journalisme[11].
Lüdemann est membre de la Science Press Conference (WPK)[12] et a siégé au conseil d'administration de 2011 à 2015[13]. Elle est membre du jury principal du Prix franco-allemand de journalisme[14] depuis 2013 et du Prix Memento pour les maladies négligées depuis 2014. De 2018 à 2020, elle fait partie du jury du festival du film NaturVision . En 2021, le journaliste en chef a été membre du jury du festival international du film sur la nature Green Screen et du jury de nomination du German Nature Film Award. En 2022, elle était membre du jury du festival du film océanique CineMare à Kiel.
Références
[modifier | modifier le code]- « ZEIT ONLINE », sur gosee.de (consulté le )
- (de) Dagny Lüdemann, « Sabbatical: Ich bin dann mal abgetaucht! », Die Zeit, (ISSN 0044-2070, lire en ligne, consulté le )
- (de) Dagny Lüdemann, « Apple Watch Ultra : 1.000 Euro unter dem Meer », Die Zeit, (ISSN 0044-2070, lire en ligne, consulté le )
- (de) « Die Preisträger »
[html], sur Lead Awards 2015, (consulté le )
- (de) SVEN STOCKRAHM, ALINA SCHADWINKEL UND DAGNY LÜDEMANN, « Wer darf leben? » [html], sur Wer darf leben?, (consulté le )
- (de) Anne Leichtfuss, « Wer darf leben? In leichter Sprache » [html], sur Wer darf leben? In leichter Sprache, (consulté le )
- (de) mh, « ZEIT-ONLINE-Wissenschaftsjournalistin ausgezeichnet » [html], sur Journalistenpreis, (consulté le )
- (de) « Verleihung des Universitas-Preises für Wissenschaftsjournalismus 2017 » [html], sur Verleihung des Universitas-Preises für Wissenschaftsjournalismus 2017, (consulté le )
- (de) « DJV vergibt Journalistenpreis „Wildtier und Umwelt“ » [html], sur Jagdverband, (consulté le )
- (de) « Deutschlands 10 beste Wissenschaftjournalisten » [html], sur newsroom.de, (consulté le )
- (de) Frieda Pirnbaum, « 29 Beiträge nominiert zum Finale des Deutsch-Polnischen Tadeusz-Mazowiecki-Journalistenpreises 2023 » [html], sur Deutsch-Polnischen Tadeusz-Mazowiecki-Journalistenpreis (consulté le )
- (de) « Mitglieder » [html], sur wpk (consulté le )
- (de) « WPK-Vorstand für 2 Jahre wiedergewählt » [html], sur wpk, (consulté le )
- (de) « Deutsch-Französische Journalistenpreis 2017 » [html], sur Deutsch-Französische Journalistenpreis, (consulté le )
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- (de) Psychisch krank: Wie Menschen mit dieser Diagnose leben
- (de) L'animal sous-estimé .
- (de) Page de l'auteur sur Zeit Online
