Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le château de Petra, également connu sous le nom de Mlakou, est un site historique ancien chateau du roi berbersNubel[1] situé près de Béjaïa en Algérie. Détruit au 4e siècle par le général romain Théodose[2],[3],[1], lors de la guerre contre Firmus, Petra était la résidence de Zammac roi Berber fils de Nubel[2],Selon l'historien romain Ammien Marcellin, Petra avait « la taille d’une ville[2],[4],[1]».
L’existence du site de Petra a été signalée en 1901 par l’historien et archéologue français Stéphane Gsell. La découverte d'une inscription gravée sur une pierre à Ighzer Amokrane, près de Petra, mentionne la construction par Nubel d’un « château fort qui s’élevait sur une montagne dominant la Soummam[1]».
Présenté par les archéologues comme « le siège de résidence et de gouvernance de la région », Petra fut rasée par Théodose après que Firmus soit révolté contre l’autorité de l’empereur Valentinien II[2],[1].Description par Stéphane Gsell Dans sa « Note sur une inscription d’Ighzer Amokrane », Stéphane Gsell décrit Petra comme un « éperon qui commande au nord le confluent de l’Oued-Seddouk avec l’Oued-Sahel (la Soummam) ». Il mentionne également la présence de « traces de murs, des chapiteaux, des colonnes bien conservées » et des « pierres portant des caractères et des dessins employés à des constructions voisines ».