Barrage de Chatou
| Pays | |
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| Région | |
| Département | |
| Commune | |
| Coordonnées | |
| Cours d'eau |
| Vocation |
Régulation de niveau |
|---|---|
| Date du début des travaux |
2009 |
| Date de la fin des travaux |
2013 |
| Date de mise en service |
2014 |
| Coût |
69 millions d'euros[1] |
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Le barrage de Chatou est un barrage de régulation de la Seine en service en aval de Paris, en France.
Premier barrage[modifier | modifier le code]
Il s'agit d'un barrage mobile à vannes levantes doubles[2] de régulation de la Seine en service en aval de Paris, en France, de 1933 à 2013[3].
Mise en service en juillet 1932 sur un bras de la Seine[4], il est démoli entre mai et septembre 2014 à la suite de la construction d'un nouvel ouvrage le remplaçant[5].
Second barrage[modifier | modifier le code]
Construit entre 2009 et 2013, il remplace le précédent ouvrage situé quelques mètres en aval. Le barrage, dessiné par l'architecte Luc Weizmann, est un des plus gros chantiers de génie civil de Voies navigables de France (VNF) en Île-de-France, il est réalisé par Bouygues Construction. Il est deux fois moins élevé que le précédent, à clapets et non plus à vannes levantes, et donc un peu plus discret. Il comporte aussi une passe à poisson qui permet d'assurer la continuité piscicole[5],[6]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Barrage de Chatou (1933) » (voir la liste des auteurs).
- Notice sur le site Bassin de la Seine.vnf.fr
- « Dossier de presse : Inauguration du nouveau barrage de Chatou, un projet unique en France ! », sur www.vnf.fr, (consulté le )
- « Barrage de Chatou (Chatou, 1933) | Structurae », sur Structurae (consulté le )
- Michèle Merger, « La canalisation de la Seine », Mémoires de la Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Île-de-France, t. 45, , p. 107-124
- « Un nouveau barrage à Chatou », Environnement Magazine, (lire en ligne)
- Olivier Baumann, « Un barrage finement sculpté dans la Seine », Le Moniteur, (lire en ligne)
