Askehoug
Nom de naissance | Matthieu Aschehoug |
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Activité principale | Chanteur |
Activités annexes | Auteur Compositeur |
Labels | Ulysse maison d'artistes |
Site officiel | http://www.askehoug.com |
Askehoug, de son vrai nom Matthieu Aschehoug, est un chanteur-compositeur français né en 1971.
Biographie
[modifier | modifier le code]Né en 1971 en Bretagne, d'une famille d'origine norvégienne du côté paternel, il effectue des études en Arts déco puis devient musicien, bassiste, notamment auprès de Louis Chedid et Stupeflip, avant d'opter à 35 ans pour une carrière solo de chanteur-compositeur[1]. Il adapte pour la scène son nom, Matthieu Aschehoug, en Askehoug[2],[3]. Mademoiselle K lui propose de faire sa première partie à La Cigale[4].
Un premier album est auto-produit en 2008. Les autres suivent dans des labels. Dès le deuxième, l'accueil critique est bon[3], Askehoug reçoit le prix Georges-Moustaki en 2013.
Accompagnement
[modifier | modifier le code]Il est accompagné de James Sindatry à la contrebasse, Nicolas Krassilchik aux percussions et Cyril Taieb occasionnellement au piano[4].
Style
[modifier | modifier le code]Il se distingue par une allure de dandy, des textes, un phrasé et une inspiration qui peuvent évoquer Bashung, un zeste de Gainsbourg dans l'allure et dans un certain détachement, une voix rauque et des arrangements sonores pop-rock[5],[6],[2],[3],[7].
Discographie
[modifier | modifier le code]- 2009 : Smart & Piggy (auto-produit)
- 2012 : Je te tuerai un jeudi
- 2017 : French Kiss (Ulysse Maison d’Artistes - L’Autre Distribution)
- 2023 : La Rivière (Au Raz Du Silence)
Références
[modifier | modifier le code]- « Artiste hybride entre les Beastie Boys et Serge Lama », sur L’atelier à spectacle
- Marie-Catherine Mardi, « Askehoug, crooner impertinent », Télérama, (lire en ligne)
- « Askehoug "French Kiss" », FIP, (lire en ligne)
- « Matthieu Aschehoug : En guerre comme un petit producteur », L’Humanité, (lire en ligne)
- Didier Varrod, « Askehoug », France Inter, (lire en ligne)
- « Askehoug : le dandy rock frappe encore », France info, (lire en ligne)
- Laetitia Bertoni, « Askehoug, le dandy trublion se joue des mots comme des notes », La Dépêche du Midi, (lire en ligne)