Liste d'espèces d'amphibiens décrites entre 1996 et 2000

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De nouvelles espèces vivantes sont régulièrement définies chaque année.

L'apparition d'une nouvelle espèce dans la nomenclature peut se faire de trois manières principales :

  • découverte dans la nature d'une espèce totalement différente de ce qui est connu jusqu'alors,
  • nouvelle interprétation d'une espèce connue qui s'avère en réalité être composée de plusieurs espèces proches mais cependant bien distinctes. Ce mode d'apparition d'espèce est en augmentation depuis qu'il est possible d'analyser très finement le génome par des méthodes d'étude et de comparaison des ADN, ces méthodes aboutissant par ailleurs à des remaniements de la classification par une meilleure compréhension de la parenté des taxons (phylogénie). Pour ce type de création de nouvelles espèces, deux circonstances sont possibles : soit une sous-espèce déjà définie est élevée au statut d'espèce, auquel cas le nom, l'auteur et la date sont conservés, soit il est nécessaire de donner un nouveau nom à une partie de la population de l'ancienne espèce,
  • découverte d'une nouvelle espèce par l'étude plus approfondie des spécimens conservés dans les musées et les collections.

Ces trois circonstances ont en commun d'être soumises au problème du nombre de spécialistes mondiaux compétents capables de reconnaître le caractère nouveau d'un spécimen. C'est une des raisons pour lesquelles le nombre d'espèces nouvelles chaque année, dans une catégorie taxinomique donnée, est à peu près constant.

Pour bien préciser le nom complet d'une espèce, le (ou les) auteur(s) de la description doivent être indiqués à la suite du nom scientifique, ainsi que l'année de parution dans la publication scientifique. Le nom donné dans la description initiale d'une espèce est appelé le basionyme. Ce nom peut être amené à changer par la suite pour différentes raisons.

Dans la mesure du possible, ce sont les noms actuellement valides qui sont indiqués, ainsi que les découvreurs, les pays d'origine et les publications dans lesquelles les descriptions ont été faites.

Espèces décrites en 1996[modifier | modifier le code]

Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.

Espèces décrites en 1997[modifier | modifier le code]

Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Ranidé.

Espèces décrites en 1998[modifier | modifier le code]

Mégophryidé.
Basionyme : Leptobrachium echinatum Dubois et Ohler, 1998
Léiopelmatidé découvert - et endémique - de l'île Maud, en Nouvelle-Zélande [1].
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.

Espèces décrites en 1999[modifier | modifier le code]

Ranidé.
Rhacophoridé
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.

Sous-espèces décrites en 1999[modifier | modifier le code]

Salamandridé découvert dans les Balkans.
Salamandridé découvert dans les Balkans.

Espèces décrites en 2000[modifier | modifier le code]

Leptodactylidé.
Leptodactylidé.
Leptodactylidé.
Hylidé.
Hylidé.
Pélodytidé découvert en Espagne et au Portugal. Populations primitivement confondues avec Pelodytes punctatus. Localité type : Réserve Biologique Doñana, province de Huelva (Espagne)[2].
Dendrobatidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.
Pléthodontidé.

Sous-espèces décrites en 2000[modifier | modifier le code]

Salamandridé découvert en Turquie.

Références[modifier | modifier le code]

  1. «Leiopelma pakeka, n. sp. (Anura: Leiopelmatidae), a cryptic species of frog from Maud Island, New Zealand, and a reassessment of the conservation status of L. hamiltoni from Stephens Island», Journal of the Royal Society of New Zealand, 28 (1) : 39-54 (mars 1998).
  2. Herpetologica, 56 : 111.

Voir aussi[modifier | modifier le code]