Amicale du Nid
L'Amicale du Nid est une association française sous la loi de 1901 d’accompagnement à l'insertion des personnes en danger ou en situation de prostitution[1],[2],[3],[4],[5]. Elle existe depuis 1946[6].
Elle gère des structures d'accueil en région parisienne et à Lyon, Toulouse[7], Marseille[8], Grenoble, Chambéry, Montpellier[9]. Et depuis 2020 en Bretagne. L'association, abolitionniste, considère la prostitution comme une violence et se positionne donc en faveur de la loi du 13/04/2016 notamment en faveur des parcours de sortie de prostitution et la pénalisation des acheteurs d’actes sexuels en France[10],[11].
En 2014, l'association réalise une étude sur la prostitution en milieu étudiant à l'Université de Montpellier[10].
Delphine Jarraud en est la déléguée générale depuis .
Notes et références
- Emmanuelle Lucas, « Hélène de Rugy, pour la dignité des prostituées », la-croix.com, (consulté le ).
- SisypheGeneviève Duché, Marie-Hélène Franjou, Hélène de Rugy, « Sisyphe - Une politique publique pour combattre le système prostitutionnel », sur sisyphe.org (consulté le )
- « Un nouveau parcours pour aider les personnes à sortir de la prostitution », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le )
- France Inter, « Que prévoit le dispositif de sortie de la prostitution, dont le budget va être raboté ? », France Inter, (lire en ligne, consulté le )
- 6 Medias, « Le pas en arrière du gouvernement dans la lutte contre la prostitution », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- « L'Amicale du Nid, un refuge pour les victimes de la prostitution - One Heart », sur oneheart.fr,
- Lucie Fraisse, « Prostitution à Toulouse : une cinquantaine de clients ont été verbalisés depuis 2016 », Actu.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « A Marseille, le travail en intérim, une porte pour sortir de la prostitution », LExpress.fr, (lire en ligne, consulté le )
- rédaction Midi Libre, « Montpellier : l’amicale du Nid face à la nouvelle prostitution », midilibre.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Étudiants du master 2 de l'École de journalisme de Grenoble. Benjamin Arnaud, Aurélie Berland, Flore Danvide-Visso, Adeline Divoux, Florian Espalieu, Thibaut Faussabry, Matilde Gazave, Arnaud Gruet, Juliette Hay, Nicolas Joly, Anja Maiwald, Séverine Mermilliod, Juliette Mitoyen et Suzon Tisseau., « “J’avais plus de 18 ans et je voulais être autonome”: comment la prostitution étudiante se développe sur internet », Les Inrocks, (lire en ligne, consulté le ).
- Gaëlle Dupont, « A Montpellier, une prostitution étudiante bien réelle », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).