Joséphine Guillon
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Joséphine Guillon, née le à Lyon[1] et morte le [1] dans « sa » maison de retraite à Miribel, est une « bienfaitrice » de Miribel où se trouve l'institution qui porte son nom[2].
Biographie
[modifier | modifier le code]Son père, médecin, s'installe en 1821 à Miribel[1], deux ans après sa naissance. Après la mort de son père (en 1853), elle s'investit particulièrement dans l'aide aux déshérités[1]. Sa mère s'oppose alors à sa volonté de création d'un orphelinat à Miribel[1] ; ce n'est qu'à la mort de celle-ci, en 1875, que Joséphine Guillon créé une institution caritative à Miribel, un hospice[1].
En 1894, débute la construction de la maison de retraite « Bon séjour »[1]. Celle-ci est inaugurée le par l'évêque de Belley, Monseigneur Luçon[1]. C'est dans cette maison que décède Joséphine Guillon, le [1].
Hommages
[modifier | modifier le code]Il y a une avenue Joséphine-Guillon à Miribel ; de plus l'institution dont le principal établissement est la maison de retraite « Bon Séjour », porte son nom.
En , débute des travaux de réalisation d'un trompe-l'œil de 90 m2 (45° 49′ 25″ N, 4° 57′ 06″ E) donnant sur la place Henri-Grobon ; il représente quatre personnalités liées à Miribel : Henri Deschamps, Jean Moulin, Joséphine Guillon et Henri Grobon[3].
Références
[modifier | modifier le code]- Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Miribel : Miribel, Beynost, Neyron, Saint-Maurice-de-Beynost, Thil, , 207 p. (ISBN 2-907656-27-9), p. 70-71.
- « Institution Joséphine Guillon - maison de retraite "Bon Séjour" », sur ain.fr, Conseil général de l'Ain.
- « Un mur en trompe-l'œil sur la place Grobon », Journal de la Côtière, no 888, , p. 6.