« Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications |
Généalogie des Dagoty |
||
| Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
[[Image:Arnaud-Éloi Gautier-Dagoty - Plate 11, Studies of Heads and Eyes - Google Art Project.jpg|vignette|''Étude de têtes et d'yeux'', gravure conservée au [[Musée des Beaux-Arts de Houston]]]] |
[[Image:Arnaud-Éloi Gautier-Dagoty - Plate 11, Studies of Heads and Eyes - Google Art Project.jpg|vignette|''Étude de têtes et d'yeux'', gravure conservée au [[Musée des Beaux-Arts de Houston]]]] |
||
'''Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty''' ou '''Arnauld-Éloi Gautier-D'Agoty''' est un graveur français, né en |
'''Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty''' ou '''Arnauld-Éloi Gautier-D'Agoty''' est un graveur français, né en 1744 à Paris et décédé le 8 mai 1783 à Florence<ref name=Geneal> [http://bouchard.genealogy.free.fr/DAGOTY.html Généalogie Dagoty en accès public, sur site de M Philippe Bouchard, descendant par son arrière-grand-mère de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty, père de Pierre-Louis Dagoty]</ref>. |
||
== Biographie et œuvre == |
== Biographie et œuvre == |
||
| Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
== Liens externes == |
== Liens externes == |
||
* {{autorité}} |
* {{autorité}} |
||
* [http://bouchard.genealogy.free.fr/DAGOTY.html Généalogie Dagoty en accès public, sur site de M Philippe Bouchard, descendant par son arrière-grand-mère de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty, père de Pierre-Louis Dagoty] |
|||
{{Portail|Histoire de l'art|gravure}} |
{{Portail|Histoire de l'art|gravure}} |
||
{{CLEDETRI:Gautier-Dagoty}} |
{{CLEDETRI:Gautier-Dagoty}} |
||
Version du 2 décembre 2020 à 17:47
Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Activités | |
| Période d'activité |
- |
| Père |
Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty ou Arnauld-Éloi Gautier-D'Agoty est un graveur français, né en 1744 à Paris et décédé le 8 mai 1783 à Florence[1].
Biographie et œuvre
Second des cinq fils de Jacques Gautier d'Agoty, il utilise comme son père et ses frères le procédé de la gravure à la manière noire imprimée en couleurs à quatre planches préparées au berceau : la première en manière noire, gravée au burin et à la roulette, apporte le noir ; la seconde et la troisième, en manière noire, apportent respectivement le bleu et le jaune ; la quatrième, en manière noire et gravée à la pointe, apporte le rouge[2].
Arnauld-Éloi a publié des planches d'anatomie et d'histoire naturelle.
Publications
- Cours complet d'anatomie, peint et gravé en couleurs naturelles par M. A. É. Gautier d'Agoty, second fils ; et expliqué par M. Jadelot, professeur d'anatomie, Nancy, Jean-Baptiste-Hyacinthe Le Clerc, 1773 ; avec une suite de quinze gravures[3] Lire en ligne sur Bibliothèque numérique Medic@.
- Barthélemy Faujas de Saint-Fond, Mémoire sur des bois de cerfs fossiles, trouvés en creusant un puits dans les environs de Montélimar en Dauphiné, Granoble, J. Cuchet, 1776 ; illustré par Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty de 4 planches[4] Lire en ligne.
Notes et références
- Généalogie Dagoty en accès public, sur site de M Philippe Bouchard, descendant par son arrière-grand-mère de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty, père de Pierre-Louis Dagoty
- Anatomie de la couleur : l'invention de l'estampe en couleurs, catalogue d'exposition, Paris, Bibliothèque nationale de France, Lausanne, Musée olympique de Lausanne, 1996.
- (en) Colin Franklin et Charlotte Franklin, A catalogue of early colour printing from chiaroscuro to aquatint, Oxford, 1977, p. 49-50.
- Inventaire du fonds français XVIIIe siècle 1968.
Bibliographie
- A. Bouchard, « Une famille d'artistes français au XVIIIe siècle : les Gautier d'Agoty », dans Mémoires de la Commission des Antiquités du département de la Côte d'Or, tome XXI, 1936-1937, p. 135-140 Lire en ligne.
- Michèle Hébert, Edmond Pognon et Yves Bruand, Inventaire du fonds français XVIIIe siècle, Paris, Bibliothèque nationale de France, 1968, tome X, p. 34-37.
- (de) Jan Lauts, « Arnauld-Eloi Gautier Dagoty, "graveur de la Cour de Bade". Zum botanischen Sammelwerk der Markgräfin Karoline Luise von Baden », dans Jahrbuch der Staatlichen Kunstsammlungen in Baden-Württemberg München, n° 16, 1979, p. 95-106.
