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Les productions de Sheer K sont marquées par plusieurs influences<ref>{{Article|titre=Agitation tribale : Sheer. K et Darlin'Nikki au Vauban|périodique=Le Telegramme|lire en ligne=http://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20040615&article=8186946&type=ar|consulté le=2016-11-30}}</ref> : |
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De l’univers [[Trip hop|trip-hop]], on retrouve des tempos majoritairement lents et une utilisation forte des machines, mais les morceaux de Sheer K sont régulièrement construits en rupture, permettant de libérer une énergie tantôt rock<ref>{{Lien web|titre=Grioo.com Mobile: Sheer.K, élévation trip hop aux doux parfums de soul.|url=http://mobile.grioo.com/article.php?id=5580|site=mobile.grioo.com|consulté le=2016-11-30}}</ref>, tantôt dub-[[Drum and bass|drum’n bass]]. |
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Les instrumentations sont hybrides : la formation instrumentale est composée d’un trio guitare/basse/batterie et rencontre des arrangements issus d’univers urbains<ref>{{Lien web|titre=Sheer.K : chroniques, biographie, infos, concerts.|url=http://www.w-fenec.org/indus/sheer-k.html|site=www.w-fenec.org|consulté le=2016-11-30}}</ref>, électros ou symphoniques. |
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Les voix sont également diverses : à la voix de chanteuse Sté, qui rappelle [[Erykah Badu]]<ref>{{Article|titre=Jeunes Charrues : Tahiti Bob ira faire la fiesta à Carhaix|périodique=Le Telegramme|lire en ligne=http://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20030414&article=5978706&type=ar|consulté le=2016-11-30}}</ref>, répondent les voix masculines de Seb, dont le débit évoque le [[hip-hop]] new-yorkais, et celle de Flow, mélancolique et posée. La plupart des textes sont écrits en anglais<ref>{{Article|titre=<span>Album.</span> Squiban + Sheer.K = «Mesk!»|périodique=Le Telegramme|lire en ligne=http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/album-squiban-sheer-k-mesk-06-11-2010-1106674.php|consulté le=2016-11-30}}</ref>. |
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Le groupe utilise également des instrumentations originales (trompettes, piano, instruments à cordes, percussions orientales) et propose régulièrement des collaborations avec des artistes d’univers différents (jazz, hip-hop, électro). |
Le groupe utilise également des instrumentations originales (trompettes, piano, instruments à cordes, percussions orientales) et propose régulièrement des collaborations avec des artistes d’univers différents (jazz, hip-hop, électro). |
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Sur scène, Sheer K apporte un éclairage différent sur ses productions : les prestations scéniques du groupe sont focalisées sur une énergie exaltée<ref>{{Lien web|titre=Association iMiouzik {{!}} Sheer-K|url=http://www.imiouzik.com/sheerk.html|site=www.imiouzik.com|consulté le=2016-11-30}}</ref> et le jeu live. |
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Sheer K est un groupe trip-hop français.
Origine et formation
En 2000, 2 amis guitaristes étudiants à l’université de Brest, Olivier et Seb, décident de créer un groupe de musique aux influences rock anglais.
Ils recrutent un bassiste, Flow, puis un batteur, Vince.
La formation, nommée « No rehearsal » effectue plusieurs concerts dans la région brestoise.
En 2002, un cinquième membre, Arturo Pop, rejoint le groupe et apporte une influence plus électro.
Le projet change alors d’identité et prend le nom de « Sheer K ».
En 2003, Sté rejoint la formation au chant, en remplacement d’Olivier, qui prend en charge le management.
Le projet Sheer K se stabilise sous cette forme et produit ses premières démos entre électro et musique instrumentale influencée par le trip-hop.
Carrière musicale
Après avoir envoyé une démo à l’association des Bars en Trans, le groupe est repéré par Jean-Louis Brossard, Directeur des Transmusicales de Rennes, qui décide de le programmer sur l’édition 2003 des Transmusicales[1].
En 2004, Sheer K remporte le tremplin des Jeunes Charrues[2], organisé par le Festival des Vieilles Charrues. La même année sort le premier LP « Elovation »[3]. Celui-ci est enregistré et mixé en Bretagne, et voit la collaboration avec le DJ Pierre Lucas (The Big Knife) et Arnaud Grosfilley (contrebassiste de Mix City).
En 2005, Sheer K est sélectionné pour jouer au Printemps de Bourges[4].
A l’été 2005, la formation joue en ouverture du Festival des Vieilles Charrues[5].
En septembre 2005, Sheer K effectue ses premiers concerts à l’étranger avec 2 dates dans le cadre du Festival des musiques émergentes à Rouyn-Noranda, dans la province d’Abitibi-Témiscamingue (Canada).
Durant les années 2005-2006, la formation exécute environ 50 représentations par an, sur toute la France.
Début 2007, Sheer K publie un EP, « Miximum remixed EP », qui réunit 5 titres choisis par les membres à l’issue d’un concours de remix d’un titre du premier album, «Miximum»[6].
À partir de 2006, le groupe prépare son deuxième LP. Dans le cadre de l’écriture de nouveaux morceaux, Sheer K sollicite le pianiste de jazz Didier Squiban pour jouer sur 2 morceaux.
Le reste de l’album est enregistré dans les studios Jarring Effects[7] à Lyon durant l’été 2006, et mixé en 2007 aux studios Passage à Niveaux à Rennes.
Le deuxième album « VIA » est publié en 2008[8].
En 2009, Sheer K renouvelle la collaboration avec le pianiste Didier Squiban pour la préparation d’un projet live intitulé «Mesk !». Ce projet se présente comme une rencontre entre la culture jazz, celtique, le trip-hop et les musiques électroniques[9]. Après plusieurs représentations, le projet est finalement scellé par la publication d’un album éponyme en 2012, enregistré et mixé au Studio Black Horses[10].
Sheer K prépare un quatrième projet, dont la sortie est prévue pour fin 2017[11].
Esthétique musicale
Les productions de Sheer K sont marquées par plusieurs influences[12] :
De l’univers trip-hop, on retrouve des tempos majoritairement lents et une utilisation forte des machines, mais les morceaux de Sheer K sont régulièrement construits en rupture, permettant de libérer une énergie tantôt rock[13], tantôt dub-drum’n bass.
Les instrumentations sont hybrides : la formation instrumentale est composée d’un trio guitare/basse/batterie et rencontre des arrangements issus d’univers urbains[14], électros ou symphoniques.
Les voix sont également diverses : à la voix de chanteuse Sté, qui rappelle Erykah Badu[15], répondent les voix masculines de Seb, dont le débit évoque le hip-hop new-yorkais, et celle de Flow, mélancolique et posée. La plupart des textes sont écrits en anglais[16].
Le groupe utilise également des instrumentations originales (trompettes, piano, instruments à cordes, percussions orientales) et propose régulièrement des collaborations avec des artistes d’univers différents (jazz, hip-hop, électro).
Sur scène, Sheer K apporte un éclairage différent sur ses productions : les prestations scéniques du groupe sont focalisées sur une énergie exaltée[17] et le jeu live.
Discographie
- « Elovation » LP (2004)
- Sincerity
- Try
- The Fall
- Cool Melody
- Rebirth
- Snakes
- BF03
- Bad Person
- Rush of Blood
- Miximum
- « Miximum Remixed » EP (2006)
- New Tone (Polarity Low) by Revo
- Miximummy by Saylenz
- Fragments Of Soul by The Big Knife
- Take my time by Mon Automatique
- Bonux Boy Push It Mix by Bonux Boy
- « VIA » LP (2008)
- In This Life
- Randon Fiction Xperience
- Broken Keys
- Apathy
- Passing By...
- Choices
- Combien
- F*ck You
- Gemini Jam
- ... By the Way
- Equivox
- Le Jour d’Avant
- Concrete on Earth
- « MESK ! » (2012)
- Ouverture
- In Search of
- Confusion
- All Day Long
- Miles Away
- Interlude 1
- Bullet
- Ganti
- Interlude 2
- Sad Mood
- Hiding
- La raison
- Better Days are Coming
- I’m in your Mind
Tous les disques de Sheer K sont des autoproductions
Récompenses et distinctions
- Tremplin des Jeunes Charrues 2004 : Vainqueur[2]
- Printemps de Bourges 2005 : Révélation Talents Scènes[4]
- Prix de la création artistique SACEM 2004[18]
- Prix du meilleur premier album Le Télégramme 2004[19]
- Prix spécial du Jury Produit en Bretagne 2012 pour le disque « Mesk ! »
Notes et références
- « Sheer.K - Mémoires de Trans », sur www.memoires-de-trans.com (consulté le )
- « Jeunes Charrues. Victoire de Sheer-K, bleus de Brest », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « « Elovation » : la musique de Sheer K enfin dans les bacs », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - Le Printemps de Bourges, « Le Printemps de Bourges 2005 - Fiche artiste », sur edition2005.printemps-bourges.com (consulté le )
- « Programmation du festival des Vieilles Charrues », Wikipédia, (lire en ligne, consulté le )
- « Sheer-K, de retour en 2007 en forme « Miximum » », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Electro : Sheer K et Wax Taylor jeudi 29 novembre au Vauban », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Cabaret Vauban. Sheer.K ressort ses griffes », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Mesk à l'Avel-Vor. Un mélange superbement réussi », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « «Mesk!». Détonnant mélange des genres », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Sheer K, trip hop à la brestoise », Ouest-France.fr, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Agitation tribale : Sheer. K et Darlin'Nikki au Vauban », Le Telegramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Grioo.com Mobile: Sheer.K, élévation trip hop aux doux parfums de soul. », sur mobile.grioo.com (consulté le )
- « Sheer.K : chroniques, biographie, infos, concerts. », sur www.w-fenec.org (consulté le )
- « Jeunes Charrues : Tahiti Bob ira faire la fiesta à Carhaix », Le Telegramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Album. Squiban + Sheer.K = «Mesk!» », Le Telegramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Association iMiouzik | Sheer-K », sur www.imiouzik.com (consulté le )
- « « L'électro-sensualité » de Sheer K récompensée », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Sheer K, la relève trip hop au Nova, aujourd'hui », Le Télégramme, {{Article}} : paramètre «
date» manquant (lire en ligne, consulté le )
